Hellopposum! Hello Stegos et Siam. Opposum a écritOu se joue alors la lenteur et la complexité de Windows ?Quand je suis revenu hier soir, j'ai visuellement complètement zappé ta question. Pas vu donc. Bien que je partage pas mal d'opinion avec Stegos, je vais répondre ce matin à ta question en des termes les plus clairs, les plus concis et les plus éclairés, techniquement y a toujours 2 aspects dans un ordinateur. La partie physique hardware qui la machine proprement dite. Et la partie logiciel software qui comporte à la fois le système d'exploitation, les logiciels, les réglages et les données utilisateurs. Pour répondre à la question du plantage ou de la lenteur, il faut savoir que c'est deux parties hardware et software peuvent en être à l'origine. Parfois, une seule des deux parties en sera le cause. Parfois les deux parties se superposent et cumulent les problèmes. De plus, et pour finir sur ce point, il y a un nombre très large de configurations hardware+software possible au monde, ce qui fait que, aucun ordinateur ne ressemble à son voisin. Il a donc 100 000 000 possibilités et plus de pannes et de lenteurs partie 1 Où se peut se donc se jouer la lenteur de windows?Quelques exemples possibles parmi de très nombreuses L'utilisation d'un disque dur d'ancienne génération hdd accouplé avec un Windows très récent qui demande beaucoup d'accès fréquent, et donc monopolise le disque sans cesse. ou/et- L'installation d'un Windows très récent sur une machine dont le processeur est très ancien. Ce n'est d'ailleurs pas l'âge du processeur qui rentre en compte mais bien sa capacité technique, figée dans le temps lors de sa fabrication, à bosser en brassant beaucoup de données. Beaucoup trop de données, en fait pour sa capacité de calcul, et donc, ce qui ne peut être calculé tout de suite, demeure quelque temps en file d'attente, y compris, les sollicitations immédiates de l' L'utilisation d'une génération de barrettes de RAM et/ou d'une quantité de cette RAM insuffisante par rapport aux besoins des logiciels démarrés par l'utilisateur. Dans ce cas, souvent, le système va recourir à une barrette de RAM artificielle qui, sous Windows s'appelle "mémoire virtuelle" et sous Linux, "swap". Puisque cette fausse barrette de secours est en réalité un espace réservé sur le disque dur, celui-ci se met alors à gratter de manière quasi continue et fait s'effondrer d'un seul coup les performances et le temps de réaction de la Un logiciel de type défragmenteur ou antivirus résident tourne en continu sur la machine en plus du système d'exploitation obligatoire et d'autres logiciels annexes, définis ou pas par l'utilisateur. Quand un seul ou plusieurs de ces logiciels consomment abusivement les ressources de la machine, c'est à dire l'espace en RAM, l'espace dans la "mémoire virtuel", l'accès disque très fréquent et/ou l'accès processeur trop important, les disponibilités finales pour l'utilisateur s'effondrent et celui-ci ne peut que voir ses requêtes exemple, un simple clic de souris être mise en file d'attente et disposer d'une priorité de traitement assez basse. D'où des délais d'attente qui disparaissent souvent au redémarrage de la machine, mais reviennent après quelques heures ou minutes, L'installation, souvent involontaire, voire masquée, d'un logiciel malveillant dont le but prédéfini par son/sa programmeur/meuse sera soit, de faire volontairement effondrer les ressources de la machine, soit d'utiliser ces mêmes ressources pour faire sortir des données régulièrement de la machine à l'insu de l'utilisateur, soit aussi d'utiliser toujours et encore ces mêmes ressources pour une mission de calcul dédiée à un usage externe cryptomonnaie. Ces programmes sont tous répertoriés sous l’appellation générique malwares. Mais en réalité, c'est une famille extrêmement large dont la nature légale peut être licite comme L'utilisation d'un programme par l'utilisateur, ou parfois "sous-traité" de manière transparente par le système d'exploitation, et dont la programmation aurait été mal réalisée dès le départ. Là, présentement, on ne parle pas forcément de bug, qui serait quelque chose davantage de l'ordre de faire planter simplement la machine ou le programme en lui-même, mais plutôt de redondances cycliques. C'est à dire en mots clairs, des lignes de programmation qui demanderaient au processeur de calculer puis recalculer presque indéfiniment un processus qui va de l'opération A à l'opération B, avant de passer enfin à l'opération C. Tout le temps passé de A à B est du travail réel pour le processeur, mais pour l'utilisateur qui patiente, ce n'est finalement que du temps perdu. Et puisque qu'ils sont quand-même très nombreux, ces logiciels qui présentent ce type de défauts techniques, il s'avère alors que l'expérience utilisateur soit vite dégradée au point de devenir gênante et que tout un chacun se prenne tôt ou tard l'envie de dire face à son écran "mais pourquoi ça rame autant?"Question, partie 2 Où se peut se donc se jouer la complexité de Windows?Cette partie de question est impossible à répondre de manière simple. Je vais donc toucher à l'essentiel. Déjà, il faudrait savoir de quel Windows on parle 95, 98 SE, seven, 10?... version serveur, OEM, pro ou Home?, et surtout installé sur quelle type de machine? très vieux Thinkpad sous Pentium 3, ou PC ATX de gamer sous core i9 overclocké? Aussi, de combien de cores et threads dispose-t-on dans le processeur? Combien de barrettes de RAM et quelle taille pour chacune? Quel slot d'accès de type IDE 100 ata, SATA3, ou PCIe, pour la partie stockage, autrement appelée, disque dur? Si la tendance générale veut que plus la machine est récente et plus Windows est rapide, il s'avère que ce n'est pas toujours le cas, et parfois un vieux Xp de 20 ans couplé à un processeur mono-coeur pas tout jeune puisse avoir des performances supérieures en terme de rapidité par rapport à un Windows 10 installé sur une machine moderne, mais notamment empêtrée dans des accès disque médiocres, parasitée aussi par des logiciels embarqués de mauvaise conception tout autant que des logiciels non-invités les malwares qui sont venu là foutre le bazar à cause d'une sécurité informatique particulièrement modo, le tout est de produire une situation d'équilibre entre la partie hardware la machine et la partie software l'OS+les logiciels+les réglages, ce que Linux pour sa part - même s'il n'est pas exempt de défauts, loin de là - a presque réussi à produire, en s'appuyant prioritairement sur une éthique forte en matière de programmation et de diffusion de ses pour qu'un Windows fonctionne bien et durablement, la recette presque idéale est celle-ciUne machine équipée de- Un processeur plutôt très puissant, même s'il est d'occasion ou de fabrication un peu Une quantité de RAM deux fois plus conséquente que les besoins réels, pour éviter facilement la mauvaise surprise du message indiquant "qu'il n'y a pas assez de mémoire pour exécuter une tâche".- Un disque dur de type SSD qu'importe la taille. Même un petit fonctionna rapidement. vous n'aurez simplement pas beaucoup d'espace pour vos grosses données personnelles. Au passage, qui dit SSD dit abandon des outils de défragmentation dédié exclusivement aux HDD, leurs prédécesseurs, qui sont de plus en plus des consommateurs de ressources en temps réel. Une vraie plaie dont il faut apprendre à se débarrasser rapidement!- Une carte graphique qui soit en corrélation avec l'usage et la diagonale de votre dalle d'écran. Surtout ne jamais sous-dimensionner les performances du GPU le processeur de la carte graphique si on a l'intention de s'adonner à des jeux modernes. - Un Windows compatible avec la génération du matériel désiré. C'est malheureusement souvent un choix qu'on ne peut pas vraiment faire et on doit se contenter de ce qui est en vigueur à l'instant T, ou bien de ce qui peut soutenir officiellement les configurations requises de ses programmes personnels. Là dessus, Linux est bien plus souple, même si ses versions sont largement plus encadrées et extrêmement directives dans les versions des logiciels proposés. en clair, à de rares exceptions, on ne greffe pas un bout de Linux sur un autre, à la volée. Il faut respecter des numéros de versions et des protocoles d'installation très droits.- Des mise à jour pour l'OS et pour les logiciels qui soient raisonnés, car parfois, les mises à jour mineures font plus de mal que de bien. Le total-update est parfois une erreur, et il ne faut pas céder systématiquement aux sirènes alarmistes des médias. Il faut donc faire preuve de discernement, souvent au cas par Des logiciels plutôt bien supportés nativement par Windows et dont la réputation est fiable dans le temps. Il est donc inutile de télécharger à tout va pour disposer d'un milliers d'outils qui ne font parfois pas plus que les propres outils de l'OS lui-même. Également, il ne faut pas installer systématiquement tout ce qui peut vous être proposé sur internet, c'est vraiment là la source du début des ennuis qui vont augurer une complexité de plus en plus grande de votre système, ainsi que parfois de nombreux ralentissements à venir et des bugs à Toujours à propos des logiciels, il est important de ne pas confier aveuglément sa sécurité à un antivirus résident qui va s'emparer de votre machine et en dévorer les ressources pour tout surveiller, sans discernement. Pour cela, il vaut mieux adopter des comportements plus safes et plus responsables, et recourir massivement moins à des assistants qui ne sont en fait que des vitrines commerciales, souvent payantes et chères, et dont la structure est parfois aussi bourré de failles et de défauts de programmation qui exposent à plus de risques que, comparativement, lorsque ces logiciels ne sont pas présents. Donc, moins c'est mieux! Et moins votre machine est encombrée de processus inutiles ou exotiques, et moins elle passera du temps à ramer. siamois93 a écritMais où en serait l'informatique sans Microsoft ?J'aurais plutôt dit Intel, AMD, IBM, Apple et Microsoft. Les trois premiers pour les puces, le quatrième pour l'apport démocratique de la souris qu'ils ont volé à Xerox et enfin Microsoft pour le côté enfin user-friendly qui a fait passer les ordinateurs de grosses machine barbares des scientifiques à blouse blanche au petit PC de salon... Il n’empêche, si Gates et Jobs n'avaient pas été de la partie, un autre fou serait de toute façon entré en lice et aurait proposé une autre approche de la chose. C'était quand même une sacré époque de bouillonnement intellectuel et on oublie un peu vite tous les petits ateliers dans des garages qui ont périclité en quelques années seulement, sans laisser de trace dans l'Histoire. Et ça n'aurait pas forcément été moins bon perso, j'ai encore du mal à accepter que nos cartes graphiques en slot ventilent par le bas à cause de standards AT complètement dépassés techniquement. Il y a peut-être un gars qui aurait pensé le truc différemment, et mieux. Édifiante aussi l'économie de moyen débile qui est à l'origine de la création du port USB faussement détrompeur. Qui ne s'est jamais trompé de sens en voulant insérer le bouzin dans son port? ^^ "Tiens, ça rentre pas! Et si je retourne? Ça rentre toujours pas! ??? Ha ben non, finalement c'était dans le bon sens."Si on a des PCs avec les performances actuelles c'est quand même grâce à plutôt une question de fondeurs. On aurait peut-être des processeurs moins balaises, certes, mais leur demanderait-on les mêmes les jeunes sont formés très jeunes de 30 ans et +, oui. Moins les vingtenaires, hélas. Ça commence à se sentir malheureusement. Certains commencent déjà à ne plus se projeter du tout sur le hardware, car ça, c'est l'affaire de Samsung et Huawei. Pour eux, le PC, c'est dépassé et tout doit migrer, dans les dix ans qui viennent vers les smartphones et autres tablettes qui accueillent des roms complètes ou custom "sur demande", et dans lesquels on ne modifie pratiquement plus les settings, même quand c'est rooté. Je suis de plus en plus en train de me mettre à la page de ces technologies là et je vois bien que le rapport à l'auto-formation des jeunes n'est pas le même que pour ma/notre génération de quadra. En fait, ils sont davantage demandeurs de modèles aux prefs sans cesse plus grosses pour installer sans peiner jeux et multimédia. Ne leur parle même pas d'un traitement de texte! Mais peu s'occupent concrètement de mettre les mains dans le code et les ressources. C'est pour ça qu'ils me délèguent le bordel à chaque fois, même s'il veulent m'épater ensuite avec le smartphone à 999 € qu'ils se sont payé, 3 jours avant, et le comparer à mes 3 modèles perso dont les prix varient entre 75€ maximum... et, le fond de la poubelle. Pour ça, c'est bien le confinement. Parce qu'ils ne viennent pas m’embêter avec leurs Androids à la noix, à mettre à jour avec des APK rétro-ingénieurée en mode manuel... C'est vraiment la plaie à faire, je te jure!Les petits patrons ont été très contents d'avoir un serveur sous Windows où ils pouvaient faire leur compta/gestion clients/sauvegardes/ étaient aussi moins contents des coût corollaires et des contrats d'entretien qui leurs tombaient sur les reins au bout de quelques années. Certains on voulu passer tardivement sous Linux. Mais ils ont raté le coche à cause d'une mise en oeuvre plus trop en adéquation avec leur culture informatique vieillissante. Du coup, nombreux sont restés sous Windows en espérant tenir comme ça jusqu'à la fin d'activité. Windows, durant la période 2000, n'a pas laissé que des bons souvenir chez les pros. J'étais parfois utilisateur par délégation chez des clients qui jouaient tout sur windows pour leurs sécurités. J'ai le souvenir d'avoir assisté à quelques violation d'adresse IRQ qui ont générées des sueurs froides aux gestionnaires de site, puis des angoisses quand ils ont compris que les partenaires de maintenance ne savaient pas ce qu'ils faisaient, ou bien avait mis la clé sous la porte. Stupeurs et tremblements! Et puis Linux, c'est un peu hardos. Le paramétrage X-windows où tu risques de cramer ton écran, bonjour. N'écrit pas ça, Siam, sinon, il y a vraiment des personnes sur le forum qui vont croire que l'écran peut prendre feu! Pour rétablir un peu la vérité, on peut dire que Linux nécessite encore un bagage technique un peu trop important pour s'y mettre sans échec quand on est tout seul. Toutefois, cela se résorbe de plus en plus et il y a même des distributions faites pour permettre à présent le passage aisément de Windows vers pour les débutants qui ont une très bonne configuration matérielle, ils peuvent toujours se tourner vers KDE qui se fait presque tout à la souris. Ce windows manager est certes plus lourd, mais quand tu as compris comment fonctionne le dossier /home et que tu as pigé comment synaptic se démerde avec les paquets et les sources avec la volonté de se passer définitivement des logiciels windows ou de retrouver autrement les grands classiques inter-plateformes tels que VLC ou libreoffice, la prise en main se fait alors ensuite très vite. Ce que je n'aime pas dans Linux c'est tout le pas grave que Linux soit parfois un folk de Windows sur l'aspect esthétique. Moi non plus je n'aime pas, mais qu'importe. Il en faut pour tout le monde. Ceux/celles qui n'ont besoin que d'un terminal et ceux/celles qui cliquent compulsivement. Linux, pour ça, est assez plastique pour satisfaire tout les besoins. A chacun-e son windows-manager, à chacun-e son bientôt. Hig..
Linteraction que je vais vous décrire est édifiante je trouve, en tout cas absolument caractéristique des difficultés relationnelles que j'ai pu avoir avec les gens tout au long de ma vie. Mon amie me propose un morceau à jouer ensemble. Déjà, il faut que je lui extorque la grille (la suite d'accords). Une fois en possession du précieux sésame qui nous permet de jouer laRounard fait partie des personnages connus d'Animal Crossing, permettant d'obtenir des oeuvres d'art pour le Musée ! Comment savoir si la tablette édifiante est vraie ou fausse ? Si vous jouez à Animal Crossing New Horizons, vous ferez rapidement la connaissance de Rounard, un des personnages emblématiques de la licence ! En vous rendant auprès de lui, vous pourrez notamment acheter des oeuvres d'art, qui sont souvent des tableaux ou des certaines de ces oeuvres sont des contrefaçons, et ne seront pas acceptées au Musée ! Parmi ces oeuvres, on retrouve la tablette édifiante. Mais comment faire la différence entre la vraie et la fausse ? On vous explique ci-dessous. À lire aussi Comment savoir si la tablette édifiante est vraie ou fausse sur Animal Crossing ?Les oeuvres vendues sur le stand de Rounard sont nombreuses, et beaucoup d'entre elles peuvent être des contrefaçons ! Si c'est le cas, elles seront refusées au Musée, et le prix de revente sera très faible comparé au prix d'achat. Mais du coup, comment différencier les vraies oeuvres des fausses ?Ces oeuvres existent toutes en vrai, et lorsqu'il s'agit de contrefaçon, un gros défaut est toujours présent. C'est le cas de la tablette édifiante, qui devient bleue sur la contrefaçon Si vous ne connaissez pas cette tablette, il s'agit de la Pierre de Rosette. Il est facile de repérer sa couleur complètement bleue, et de savoir s'il s'agit d'une contrefaçon ou d'un vrai ! Si vous apercevez ce défaut, il est donc déconseillé de l'acheter auprès de Rounard. Attendez que la vraie tablette soit mise en vente ! Rejoignez la communauté Breakflip sur Discord, jouez à Animal Crossing avec les autres joueurs tout en étant informé de nos derniers articles ! À lire aussi Vraiou faux, quiz animalier, très difficile(no.4) 27144 maargeorges Sciences nat. 322 0 1 4 June 21st, 2015; Vrai ou faux, quiz animalier, très difficile(no.3) 27123 maargeorges Sciences nat. 38 0 1 4 June 20th, 2015; La Nature/ 2 16339 dridrou Sciences nat. 68 0 6 4 March 17th, 2014; Vrai ou Faux 19800 JeremyTheTiger Culture G 134 6 3 3.
Derrière la toile nacrée se cache un portrait de femme aussi beau qu’intriguant. Découvrez comment ajouter cette œuvre à votre musée dans Animal Crossing New Horizons. Dans le monde d’Animal Crossing New Horizons, le musée permet d’avoir un bel aperçu de la diversité des arts. En se promenant dans la galerie, on peut voir des paysages, des estampes ou encore des scènes avec plusieurs personnages. Il est également possible de voir quelques portraits d’hommes et de femmes. Sur les 30 peintures que compte le jeu, seuls 3 sont des portraits de femmes. On trouve la toile célèbre de Léonard de Vinci, la toile royale et enfin la dernière la toile nacrée. Une œuvre qui a inspiré un film et un romanComment obtenir la toile nacrée dans Animal Crossing New Horizons ?Faire affaire avec RounardUne toile qui fait partie d’une rotationDistinguer la vraie toile nacrée de la fausse dans Animal Crossing New HorizonsDeux indices à repérerUne contrefaçon qui a évolué avec le temps Une œuvre qui a inspiré un film et un roman La toile nacrée reste un surnom donné dans le jeu. En réalité, œuvre s’appelle La Jeune fille à la perle » et est exposée au Mauritshuis, un musée de la ville de La Haye. L’œuvre a été peinte vers 1665 par le peintre néerlandais Johannes Vermeer. Cependant, et même si le regard de cette jeune femme a conquis le monde entier, on ignore qui elle est. D’après plusieurs hypothèses, il pourrait s’agir d’une filles des Vermeer, d’une servante ou d’une simple habitante de Delft, ville où résidait le peintre. D’ailleurs, ce détail a inspiré la romancière Tracy Chevalier. Elle a écrit le roman La jeune fille à la perle » où elle raconte la vie imaginaire d’une servante ayant travaillé pour les Vermeer au moment où le tableau est réalisé. Riche en détails historiques, le livre sera un succès au point d’être adapté au cinéma. Comment obtenir la toile nacrée dans Animal Crossing New Horizons ? Avant de pouvoir ajouter la toile nacrée à votre galerie des beaux-arts, votre île doit remplir certaines conditions. Tout d’abord, le musée doit être construit. Vous devez pour cela avoir proposé à Thibou au moins 60 spécimens et fossiles différents. Ce n’est qu’à ces conditions qu’il décidera d’ouvrir la galerie dédiée aux beaux-arts. Faire affaire avec Rounard Dès que la galerie d’art est ouverte, le plus difficile commence alors la recherche de la toile nacrée. S’il est possible d’échanger des œuvres d’art avec d’autres joueurs, la méthode la plus simple reste de les acheter à Rounard, le vendeur ambulant qui passe de temps à autre sur votre île. Célèbre dans tous les jeux, le plus fourbe des renards n’est pas forcément le bienvenu sur votre île. Pour le rencontrer, il faut donc faire preuve de patience. Cependant, quand il est de passage, Marie l’indique dans les annonces du jour. Elle précise alors qu’un bateau étrange a accosté sur la petite plage au nord de l’île. Le bateau en question s’appelle le Rounarama et il s’agit de la boutique ambulante du renard. Rounard se déplace sur votre île une fois par semaine de cette manière. Mais depuis la mise à jour et l’arrivée de l’île de Joe, vous pouvez lui rendre visite tous les jours. Il suffit pour cela d’acheter sa boutique physique pour 100 000 clochettes. Une toile qui fait partie d’une rotation Que ce soit dans son bateau ou à la boutique sur l’ile de Joe, Rounard propose une sélection de 2 à 4 œuvres différentes. Celle-ci change régulièrement et ne dépend d’aucun critère spécifique. Il faut donc être très patient avant de voir la toile nacrée apparaître. Si vous avez de la chance, elle sera proposée lors de vos premières visites chez Rounard. Mais dans la plupart des cas, il faudra attendre plusieurs semaines voire plusieurs mois avant de voir passer le regard de cette jeune fille à la perle. Et même si celle-ci apparaît un jour, rien ne garantit qu’il s’agira du vrai tableau. Distinguer la vraie toile nacrée de la fausse dans Animal Crossing New Horizons Deux indices à repérer La toile nacrée est un cas un peu particulier dans la liste des œuvres contrefaites. En effet, pour savoir si le tableau proposé par Rounard est vrai ou faux, deux options sont possibles. Tout d’abord, il suffit de se souvenir du vrai nom de la toile nacrée. S’appelant La jeune fille à la perle », le premier détail à surveiller est la perle que la jeune fille porte à son oreille. En temps normal, la perle a une forme de goutte. Mais sur la contrefaçon, elle a une forme d’étoile. Le deuxième détail à surveiller demande un peu plus de patience ou de chance. Car la toile nacrée fait partie de la liste des œuvres dites hantées » du jeu tout comme la tablette édifiante ou la toile gracieuse. Cela signifie qu’elle peut changer ou s’animer sous certains conditions. Pour la toile nacrée, son animation hantée est qu’elle ferme les yeux. Cependant, ce détail ne concerne que la toile contrefaite. Si la jeune fille a une perle en forme d’étoile ou les yeux fermés et que vous l’achetez, elle sera refusée par Thibou et ne vous rapportera que 100 pièces chez Méli et Mélo. Une contrefaçon qui a évolué avec le temps En revanche, si elle a bien une perle en forme de goutte, vous pourrez l’acheter sans crainte. L’œuvre vous coûtera alors 4 980 clochettes. Vous pourrez également l’amener à Thibou et il l’ajoutera à la galerie d’art. Toutefois, les joueurs les plus anciens savent que la toile nacrée a eu une autre contrefaçon par le passé. L’œuvre est disponible depuis Let’s Go to the city, l’opus Wii. Mais il a fallu attendre l’opus 3DS New Leaf pour repérer facilement les contrefaçons. Et il faut savoir qu’à l’époque, la contrefaçon de la toile nacrée n’était pas la même. À cette époque, il fallait regarder le turban de la jeune fille. Au lieu d’être bleu, il était orange. Mais quelle que soit la version du jeu auquel vous jouez, vous savez désormais comment reconnaître la toile nacrée et l’ajouter au musée !
Ce billet est le 8° d’une série sur les limites des tests de QI pour les personnes dites surdouées » ou Haut Potentiel Intellectuel / HPI, Haut Quotient Intellectuel / HQI rédigée par Stéphanie Aubertin – Neuropsychologue. Il est temps de regarder de plus près le profil des personnes surdouées car l’on croit souvent à tort que ces personnes réussissent de manière significative tous les tests et leurs subtests. Or, il existe de nombreuses différences, que celles-ci soient intra-individuelles thème de ce billet ou inter-individuelles thème du prochain billet. 1. Dyssynchonie Terrassier 1981 a mis en exergue le décalage que l’on observe chez les enfants précoces entre la rapidité du développement de leur intelligence, et le développement normal des capacités psychomotrices et socio-affectives. Ce décalage crée un contraste que Terrassier a nommé dyssynchronie. Selon cet auteur, il existe deux types de dyssynchronies la dyssynchronie interne et la dyssynchronie externe. La dyssynchronie interne concerne à son tour 2 aspects le premier aspect affecte le couple intelligence/psychomotricité tandis que le second aspect touche la sphère intelligence/affectivité. La dyssynchronie intelligence/psychomotricité se traduit par des crispations musculaires, une hypertonie au niveau de la motricité fine, notamment dans les activités d’écriture car la main ne va pas aussi vite que la pensée. Cette difficulté amène souvent l’enfant à réaliser des fautes car toute son attention est focalisée sur la tâche d’écriture au détriment de la grammaire. La dyssynchronie intelligence/affectivité, quant à elle, laisse penser que l’enfant est immature au vu de ses réactions qui contrastent avec son intelligence. En fait, l’enfant est sensible aux événements explicites mais aussi aux non-dits comme à ses interrogations sur le monde, ce qui le rend sujet aux anticipations anxieuses et aux débordements affectifs débordements affectifs qui sont d’ailleurs normaux pour son âge. La dyssynchronie externe ou sociale concerne le décalage dont souffrent les enfants mais aussi les adultes dans leurs rapports aux autres. Il s’agit d’abord d’une différence dans les intérêts avec autrui, puis d’un décalage entre les besoins éducatifs du jeune et ce que propose l’école, enfin chez les adultes, cette différence d’exigence et d’épanouissement dans la vie professionnelle. Revenons maintenant au fameux test de QI et analysons les résultats des personnes à Haut Potentiel à ce test. En effet, et contrairement à ce que l’on peut croire, les personnes surdouées ne performent » pas à tous les subtests du WISC ou de la WAIS et un certain profil type bien caractéristique se dessine. 2. Différences entre les indices Silver & Clampit 1990 ont comparé à partir du WISC-R la fréquence d’observation d’écarts significatifs ie. plus de 12 points d’écart entre les QI verbal et performance au sein d’un échantillon de plus de enfants américains. Ils ont observé chez les enfants précoces QIT > 130 une fréquence d’écarts 4 fois plus élevée entre les QI verbal et performance que chez les enfants dont le QI est moyen. Cette fréquence était même jusqu’à 5 fois plus élevée chez les enfants dont le QI était supérieur à 140. Les auteurs en concluent que la différence intra-individuelle n’est pas rare chez les personnes Haut Potentiel et qu’elle ne doit pas être considérée comme provenant d’un trouble cognitif. Hollinger & Kosek 1986 précisent que pour 34% des enfants à Haut Potentiel, il existe un écart significatif entre les deux échelles du WISC-R. Dans 15% des cas, le QI verbal est supérieur au QI performance, et dans 19% des cas, le QI performance est supérieur au QI verbal. Cependant on regrette que leur échantillon soit très faible n = 26 enfants. Plus récemment, deux études se sont attachées à analyser le profil psychométrique des enfants à Haut-Potentiel au WISC III, en comparaison avec celle parue dans le manuel d’interprétation du WISC III et dont le nombre de sujets reste par définition faible cf. la loi normale c’est-à-dire ici n= 80. Ces deux études sont celle de Bessou et al. 2005 dont le nombre de sujets est 245, et celle de Morin 2011 dont le nombre de sujets est 273. Concernant cette dernière étude, et contrairement aux autres études, les critères d’inclusion ne correspondent pas à un seuil de QIT 130, ni de QIT 125 comme le suggère Terrassier, mais un seuil de 125 à au moins un des indices, afin, selon l’auteur de ne pas risquer de laisser de côté les enfants surdoués les plus en difficulté en raison de profils hétérogènes et de tester les différents seuils comme déterminant du surdouement». Source Pierre Morin Dans chacune des 3 études, on remarque que les courbes présentent le même profil une échelle Verbale haute au détriment de l’échelle Performance, plus faible. L’auteur souligne qu’avec des critères d’inclusion différents seuil à 125 à l’un des trois QI seulement, la courbe des performances présente la même forme, avec une baisse logique des valeurs. Le fait que le QIP soit plus bas – donc moins stable – dans l’étude de Bessou alors que le seuil d’inclusion est pourtant supérieur ne signifie pas, selon l’auteur, que ces compétences sont moins efficaces chez les enfants à Haut Potentiel, mais qu’elles représentent une fragilité d’expression des aptitudes en raison des pressions normalisatrices, notamment du milieu scolaire ». 3. Différences au niveau des subtests Revenons un instant à l’étude de Hollinger & Kosek 1986 sur le WISC-R. Les auteurs ont observé que pour 86,4% des enfants de l’étude, les performances à certains subtests étaient soit significativement supérieures soit significativement inférieures aux performances moyennes. C’est ainsi qu’ils ont mis en évidence que les subtests suscitant le moins de variabilité intra-individuelle font tous appel au raisonnement, alors que les subtests dont la variabilité intra-individuelle est la plus importante font partie de l’échelle Performance et font appel à la mémoire visuelle, à la motricité fine et à l’aptitude à traiter visuellement des stimuli abstraits. Subtests Pourcentage de sujets qui ont un score plus bas que le score moyen Pourcentage de sujets qui ont un score plus haut que le score moyen Pourcentage total Cubes 19 27 46 Code 23 12 35 Complètement d’images 19 4 23 Assemblage d’objets 0 15 15 Arrangement d’images 4 4 8 Arithmétique 12 0 12 Vocabulaire 4 8 12 Similitudes 0 8 8 Compréhension 4 4 8 Information 12 4 16 Pourcentage de sujets dont le score est significativement plus élevé ou plus faible que le score moyen selon les différents subtests du WISC-R Hollinger & Kosek 1986 Pour Kaufman 1992, cette hétérogénéité s’explique par le système de cotation basé sur l’attribution de points bonus en fonction de la vitesse de réponse. Selon lui, les enfants à Haut Potentiel seraient sous-évalués dans ces subtests, non pas en raison d’un niveau de performance moindre, mais parce que la vitesse de réponse n’est pas importante pour ces enfants, ce que suggère d’ailleurs Morin dans son étude. Ce dernier met en évidence dans son étude comparative Morin, 2011 l’existence d’un profil identique, caractéristique des surdoués, qui est bien différent de celui des personnes dont le QI est dans la norme courbe grise et plate ci-dessous. Certains subtests sont particulièrement bien réussis Similitudes, Compréhension, Vocabulaire, alors que d’autres sont moins réussis, voire juste » dans la norme Arithmétique et Code. Source Pierre Morin Si l’on analyse ces résultats en fonction du QIT, on observe que les courbes présentent une forme similaire du QIT 110 au QIT 160 rappelons que le seuil fixé ici est de 125 à au moins un des trois QI – QIV, QIP ou QIT – et que dans ce cas, le QIT peut être égal à 110, seul le niveau baisse. Source Pierre Morin L’auteur conclut que si cette courbe est bien significative du surdon, il y a lieu de s’interroger sur l’utilisation du seul QIT comme technique d’identification, tout comme les seuils à 130 ou à 125. Il propose alors, pour les QIT n’atteignant pas les 130 fatidiques, d’étudier de manière plus précise le profil de la courbe des notes standard. Le prochain billet s’attardera à décrire les différences inter-individuelles et mettra ainsi en avant l’influence de l’environnement et des stéréotypes sociaux. Sources Bessou, A., Montlahuc, C., Louis, J., Fourneret, P., & Revol, O. 2005. Profil psychométrique de 245 enfants intellectuellement précoces au WISC-III. 81, 23-28. Hollinger, Kosek S., 1986 – Beyond the use of full scale IQ scores – Gifted Child Quaterly, 30 2. Kaufman, 1992. Evaluation of the WISC III and the WPPSI-R for gifted children. Roeper Review, 14 3, 154-158. Morin, P. 2011. Étude du profil psychométrique de 273 enfants surdoués. Terrassier, J-C. 1981. Les enfants surdoués ou la précocité embarrassante. Editions ESF. Silver Clampit 1990 – WISC-R profiles of high ability children interpretation of verbal-performance discrepancies – Gifted Child Quaterly, 34 2. Partager la publication " or not ? L’identification du surdon 8/ 12 – Différences intra-individuelles Hétérogénéité des profils HP dans le QI" FacebookTwitter
Avecdes morceaux comme Georgia on my mind ou I've got a woman, Ray Charles le musicien n'est plus à presenter.\nCependant, ce film relate l'histoire de l'homme, celle d'un noir américain des années 50, aveugle de surcroit, et fraichement débarqué\ndans le monde de la musique, rempli de chacals et de personnes peu fréquentables \nEt pour notre plus grand bonheur, Prix de vente 828 Prix d'achat Pas à vendre Tableaux/Sculptures🎨 VzDG.