LeChili a rendu un dernier hommage au poĂšte et prix Nobel de littĂ©rature Pablo Neruda, dont les restes exhumĂ©s en 2013 pour dĂ©terminer s’il avait Ă©t
Qui sommes-nous ? Nous sommes 48 Ă©lĂšves de deux classes 6Ăšmes du collĂšge Pablo Neruda Ă  Aulnay-sous-Bois, dans le dĂ©partement de la Seine-Saint-Denis, et nous avons le projet de partir en voyage linguistique et culturel Ă  Londres. Notre collĂšge accueille 720 Ă©lĂšves et fait partie des rĂ©seaux d'Ă©ducation prioritaire de l'acadĂ©mie de CrĂ©teil REP+. Pour nous tous, ce sera la premiĂšre fois qu'on visite l’Angleterre et qu'on pratique l'anglais "pour de vrai". Nous sommes aussi motivĂ©s que nos enseignants pour concrĂ©tiser ce beau projet. Ce dernier n'est pas seulement un projet pĂ©dagogique, c'est aussi une aventure humaine pour nous tous ! Quel est notre projet ? Notre voyage est prĂ©vu pour une durĂ©e de 5 jours et 3 nuits. Un car sera Ă  notre disposition du dĂ©part jusqu'Ă  la fin du voyage. la traversĂ©e se fera en train Ă  l'aller et en bateau au retour. L’hĂ©bergement se fera en familles d'accueil par groupe de 2/3/4 Ă©lĂšves, ce qui renforce notre motivation quant Ă  l’apprentissage de la langue anglaise tout au long de l’annĂ©e et nous permet de dĂ©couvrir rĂ©ellement le mode de vie anglais. InitiĂ© depuis la rentrĂ©e de Septembre avec la visite que nous avons effectuĂ©e au musĂ©e du Louvre Ă  Paris, notre projet pĂ©dagogique pluridisciplinaire anglais, histoire et gĂ©ographie, mathĂ©matiques et science de la vie et de la terre nous permettra de mieux apprĂ©hender la langue, mais aussi l’histoire, la culture et les sciences et technologies. En effet, notre voyage a un triple objectif linguistique, culturel et scientifique. 1- Nous allons vivre une immersion dans la langue anglaise, ce qui nous permettra d'investir nos acquis en situation rĂ©elle et renforcer nos compĂ©tences. 2- Nous allons approcher intimement les rĂ©alitĂ©s culturelles de ce pays, ce qui nous permettra d’apprĂ©hender l'histoire et la culture de l'Angleterre, plus gĂ©nĂ©ralement du Royaume Uni. 3- Nous allons approfondir notre travail en SVT sur le thĂšme Le vivant, sa diversitĂ© et les fonctions qui le caractĂ©risent ; et mieux comprendre les particularitĂ©s anglo-saxonnes, notamment la conversion des unitĂ©s Livre Sterling / Euro, mille / mĂštre 
 , que nous avons travaillĂ©e en mathĂ©matiques. AU PROGRAMME 1er jour, lundi 20 mai DĂ©part Rendez-vous au collĂšge Pablo Neruda Ă  20h30 . Mise en place 21h15, dĂ©part de l'autocar Ă  21h30 2Ăšme jour, mardi 21 mai PrĂ©sentation au terminal Eurotunnel. DĂ©part de la navette Ă  03h25. ArrivĂ©e Ă  Londres Ă  6h00 petit dĂ©jeuner sur place Promenade dans le quartier de Westminster pour dĂ©couvrir les principaux monuments Big Ben, Trafalgar Square, la colonne de Nelson, 
 Nous assisterons Ă  la relĂšve de la garde. AprĂšs-midi visite du Science Museum. PrĂ©sentation des familles hĂŽtesses. DĂźner et nuit. 3Ăšme jour, mercredi 22 mai Matin visite du British Museum. AprĂšs-midi route vers le cĂ©lĂšbre quartier de Camden et visite de Camden Market DĂźner et nuit en famille. 4Ăšme jour, jeudi 23 mai Matin dĂ©couverte libre de la ville visite du quartier de Tower Bridge. AprĂšs-midi visite du London Transport Museum DĂźner et nuit en famille 5Ăšme jour, vendredi 24 mai Matin visite du Natural History Museum. AprĂšs-midi dĂ©couverte du quartier de Covent Garden. DĂźner fish and chips dans le quartier de Piccadilly. Rendez-vous avec le conducteur Ă  20h00 et route vers Douvres 6Ăšme jour, samedi 25 mai Retour DĂ©part du ferry Ă  01h00. ArrivĂ©e Ă  Calais Ă  03h30. ArrivĂ©e au collĂšge vers 07h30 Pourquoi nous aider ? Le budget de notre voyage est de 12676 €. La participation de nos familles prĂ©vue est de 11472 €, Ce voyage revient Ă  240 € par Ă©lĂšve ce qui reprĂ©sente un coĂ»t trop important pour nos familles. Pour nous aider, le collĂšge, le Foyer socio-Ă©ducatif du collĂšge, l'association des parents d'Ă©lĂšves se mobilisent et montent des actions pour trouver l'argent nĂ©cessaire. Mais nous avons besoin de votre soutien pour pouvoir rĂ©aliser notre projet. Nous comptons beaucoup sur vous ! L'objectif minimum de 1900 €, s'il est atteint grĂące Ă  vous, permettrait de rĂ©duire de 40 € la participation demandĂ©e Ă  nos familles. Si nous atteignons notre objectif optimum de 4 800 euros, nous pourrons la rĂ©duire de 100 € . Elle passerait Ă  140 € par Ă©lĂšve au lieu de 240 € . Nous avons besoin de vous pour faire que notre rĂȘve devienne rĂ©alitĂ© ! Merci mille fois Ă  tous ceux qui nous aideront ! T H A N K Y O U La prĂ©sentation et le contenu de cette page ont Ă©tĂ© Ă©laborĂ©s par et sous la responsabilitĂ© du porteur de projet et de ses Ă©lĂšves. Un texte de prĂ©sentation, s'il est original, est protĂ©gĂ© par le droit d'auteur Les dons effectuĂ©s au bĂ©nĂ©fice d’un projet ouvrent droit Ă  la dĂ©duction fiscale Ă  hauteur de 60% du don effectuĂ© et de 0,5 % du chiffre d’affaire annuel pour les entreprises et 66% du don effectuĂ©, dans la limite de 20% du revenu imposable annuel pour les particuliers Ă©ligibles, dans le cadre de la rĂ©glementation en vigueur. Si vous appartenez au mĂȘme foyer fiscal qu’un Ă©lĂšve bĂ©nĂ©ficiaire d’un projet de sortie avec nuitĂ©e, votre don n’ouvre droit Ă  la dĂ©fiscalisation que s’il s’ajoute Ă  la contribution que vous avez payĂ©e par ailleurs pour la participation de votre enfant au projet.
Présentationde la formation : PremiÚre PremiÚre S - SVT, Sciences de la Vie et de la Terre Lycée polyvalent Pablo Neruda Lyon, inscription, presentation, objectifs, debouchées S'abonner Le Parisien Etudiant
Bonjour Ă  tous! Vous allez pouvoir dĂ©couvrir les poĂšmes de vos camarades. Je les mets en ligne petit Ă  petit, au rythme des corrections qui arrivent
 Je rappelle les deux poĂšmes entre lesquels vous avez choisi pour les deux activitĂ©s que sont l’écriture et la rĂ©citation. Premier poĂšme Quinze ans », tirĂ© du recueil L’Adolescence en poĂ©sie, publiĂ© aux Ă©ditions Gallimard il n’est plus Ă©ditĂ©, quel dommage!. J’ai appris qu’effectivement, c’est une adolescente qui l’a Ă©crit! Elle s’appelle Catherine. Quinze ans, dĂ©jĂ  on quitte un peu l’enfance, Ou, du moins, on le croit !
 On se prend pour quelqu’un ». On aime critiquer, s’opposer Ă  outrance. On veut tout dĂ©molir et crĂ©er Ă  la fois. On aime furieusement, Sans nuance, sans remords, Puis tout Ă  coup, on n’aime plus. On regrette de vivre et on souhaite la mort. On sombre alors dans un grand abattement. On se sent seul, incompris ; Et on a mal. On rĂȘve d’évasion, de bonheur vite gagnĂ©, D’üles merveilleuses oĂč l’on vit sans soucis. On ne parle Ă  personne, on boude et on se plaint. C’est l’ñge des tourments. Mais voilĂ  qu’un beau matin, On se rend compte enfin Que l’on ne connaĂźt rien !
 Alors on balaie les tourments, Et, bien vite, on se prĂ©pare Ă  devenir grand En abandonnant ses quinze ans
 CATHERINE, Quinze ans », tirĂ© de Adolescence en poĂ©sie, Éditions Gallimard Second poĂšme Il meurt lentement
 », de la poĂ©tesse et journaliste brĂ©silienne Martha Medeiros. Allez savoir pourquoi, mais ce poĂšme a Ă©tĂ© attribuĂ© Ă  tort au poĂšte chilien Pablo Neruda
 Il meurt lentement celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de musique, celui qui ne sait pas trouver grĂące Ă  ses yeux. Il meurt lentement celui qui dĂ©truit son amour-propre, celui qui ne se laisse jamais aider. Il meurt lentement celui qui devient esclave de l’habitude refaisant tous les jours les mĂȘmes chemins, celui qui ne change jamais de repĂšre, ne se risque jamais Ă  changer la couleur de ses vĂȘtements ou qui ne parle jamais Ă  un inconnu. Il meurt lentement celui qui Ă©vite la passion et son tourbillon d’émotions, celles qui redonnent la lumiĂšre dans les yeux et rĂ©parent les cƓurs blessĂ©s. Il meurt lentement celui qui ne change pas de cap lorsqu’il est malheureux au travail ou en amour, celui qui ne prend pas de risques pour rĂ©aliser ses rĂȘves, celui qui, pas une seule fois dans sa vie, n’a fui les conseils sensĂ©s. Vis maintenant ! Ne te laisse pas mourir lentement ! Ne te prive pas d’ĂȘtre heureux ! Je vous cĂšde la place, Ă  prĂ©sent. ——————————————————- —————————————————— PoĂšme de Domitille Il meurt
 mais peut aussi revivre. Il meurt lentement Celui qui n’ouvre pas son cƓur Ă  une discipline inconnue, Ne reconnait pas les bienfaits mĂ©lodieux qu’apporte aux cƓurs la musique ; Celui qui n’en Ă©coute pas, n’en joue pas, Celui-ci n’aura pas de but ni de passion. Il meurt lentement Celui qui n’apprend pas, Qui passe ses journĂ©es Ă  se morfondre Alors que tout prĂšs de lui flotte un petit air, Entrainant et joyeux Qu’il pourrait Ă©couter s’il le voulait. Celui-ci mourra bien vite sans passion. Il meurt lentement, Celui qui ne veut pas, MalgrĂ© tout ce qui lui est proposĂ©, Etudier ni le solfĂšge ni mĂȘme le chant. Celui-ci n’aura ni but ni vie heureuse. Mais il revit lentement, Celui qui aime la vie, Au point de vouloir partager ses merveilles, Celui qui joue pour son bonheur, Et pour celui des autres. Celui-ci vivra heureux, passionnĂ© par la vie. Il revit lentement, Celui qui partage sa joie en faisant rire les autres, Celui qui vit pour quelqu’un, pour quelque chose, Celui pour qui la vie est seulement un jeu, Passionnant et risquĂ©, important mais beau. Celui-ci, il vivra, puis mourra dans longtemps. Profite de la vie tant qu’il en est encore temps, Car bien vite ses bienfaits s’estomperont, Et bientĂŽt tout, autour de toi, ne sera que poussiĂšre. —————————————————————- —————————————————————- PoĂšme de Marie J. Treize ans, l’adolescence, C’est entre l’enfance, Et lorsque la vie commence. Un jour on se comporte comme un enfant, Un autre en adulte indĂ©pendant On se cherche, On se trouve, On s’oublie, Puis on se perd
 Savoir ce que l’on souhaite, Changer d’avis Ă  tout bout de champ. On se donne une image, Pour plaire aux autres, Ă  tout prix. On s’échappe
ou du moins on essaie
 On oublie, tout, pendant un moment, dans une quelconque activitĂ©, Qu’on ne pourra nous enlever. On se rĂ©volte contre l’autoritĂ© parentale
 On part les doigts de pieds en Ă©ventail, On arrive les cheveux emmĂȘlĂ©s, Et les idĂ©es mal placĂ©es. Les parents, qu’on considĂ©rait auparavant, Comme parfaits, Vivent Ă  prĂ©sent, Sur une autre planĂšte lointaine
 Mais proche Ă  la fois. On ne sait oĂč se placer, Comment se comporter, Ni comment s’habiller Ou encore comment penser et parler. L’adolescence se rĂ©sume Ă  cela
 Faire des erreurs, Pour mieux repartir. Remplir notre coeur, Un dĂ©but de vie Ă  bĂątir. Il faut profiter Ă  fond, Il n’y aura longue occasion. Celui qui ne profite pas, le regrettera. ——————————————————- ——————————————————- PoĂšme de Mathilde B. Il revit lentement, Celui qui Ă©crit, Celui qui rit, Et celui qui sourit Il revit lentement, Celui qui rĂȘve, D’une trĂȘve, Avec soi-mĂȘme Il revit lentement, Celui qui dĂ©couvre la passion, Les Ă©motions
 Celui qui prend des risques, Pour montrer son courage, Pour partir les cheveux au vent, Le souffle coupĂ©, Et pour ne pas mourir lentement. ——————————————————- —————————————————— PoĂšme de Juliette Il meurt lentement celui qui
 Il meurt lentement celui qui ne s’intĂ©resse pas Ă  la vie, Celui qui laisse les livres sur le cĂŽtĂ©, Celui qui ne danse pas, Celui qui ne donne ni ne reçoit d’amour, Celui qui ne sort pas de chez lui. Il revit lentement celui qui fait du sport, Celui qui court, danse, saute, Celui qui voit ses amis, Celui qui a une passion, Celui qui est douĂ© pour ce qu’il aime faire. Il revit lentement celui qui fait du piano, Celui qui aime la musique, Celui qui aime l’art, Celui qui aime dessiner ou peindre, Celui qui aime les Ɠuvres des gens qui partagent la mĂȘme passion. Il revivra celui qui aimera les autres, Celui que les autres aimeront, Celui qui rĂ©ussira Ă  l’école, Celui qui sera heureux. ————————————————— ————————————————— PoĂšme de Sarah Il meurt, il revivra, il vit Il meurt lentement Celui qui se renferme Qui se dit que vivre ne sert Ă  rien Celui qui n’a pas de loisir ou de sport Il meurt lentement Celui qui ne profite pas de sa famille En se laissant mourir sous leurs yeux Et sans qu’il ne puisse intervenir Il revivra lentement Celui qui revit des ses cendres comme le Phoenix Qui vit pas dans le passĂ© Celui qui ne se renferme pas Qui pense positivement Qui a un loisir ou un sport Il revivra lentement Celui qui a quelque en quoi il peut croire Qui ne pense pas qu’à lui Et celui qui ne prend pas tout mal A ce moment lĂ  on pourra dire , Qu’il profite de la vie ! —————————————— —————————————— PoĂšme d’OcĂ©ane R. Il revit lentement, Celui qui prend le temps D’écouter ses enfants Riant, jouant, pleurant. Il revit lentement, Celui qui, percevant la musique Se met Ă  chanter doucement. Il revit lentement, Celui qui, en marchant Retrouve le goĂ»t du sport Et de l’effort. Il revit lentement, Celui qui ressent les Ă©motions d’un amour perdu Avec le temps. Il revit lentement, Celui qui accepte intelligemment Les remarques et les critiques Qui pourraient changer son comportement. Et maintenant, il vit pleinement —————————————————– —————————————————- PoĂšme de Pierre-Emmanuel Il meurt lentement celui qui 
 N’ouvre pas son cƓur Ă  ses proches Celui qui n’écoute pas de musique Ou ne fait nulle activitĂ© artistique Celui qui trouve qu’aucune idĂ©e n’est bonne Ă  prendre A part ses idĂ©es personnelles Celui qui n’a pas le temps d’ĂȘtre heureux Et de profiter de la vie Ă  plein temps Meurt lentement. Il revit lentement celui qui
 Voyage autour du monde et dĂ©couvre la terre Celui qui verra la mer Celui qui lit des ouvrages complets Et apprend Ă  chaque fin de roman Ne trouvera pas la vie ennuyeuse Celui qui accepte l’aide des autres Et prendra tout conseil comme bon Sera sage et bon. Celui qui prend le temps d’avoir une bonne vie Et a des amis Sera lui qui tout au long de sa vie revit. —————————————————— —————————————————— PoĂšme d’Alexis Il revit lentement celui-qui Celui-qui ouvre son cƓur A son Ăąme-soeur Sans prendre peur Peur de l’amour Il revit lentement celui qui Danse Celui qui danse face Ă  la mort Celui qui danse pour la vie ou Pour l’amour Il revit lentement celui qui Joue au football Celui qui tape dans la balle Jusqu’à ce qu’il ait mal Il revit lentement celui qui Rigole face Ă  la douleur Rire contre la peur Rire face Ă  la Mort Afin de pouvoir Revivre —————————————— ——————————————- PoĂšme d’OcĂ©ane B. Il meurt lentement Celui qui ne vit pas, Celui qui ne sort pas, Celui qui ne prend pas de risques, Celui qui n’a pas confiance en lui. Il meurt lentement Celui qui ne croit pas en l’amour, Celui qui se renferme sur lui mĂȘme. Il meurt lentement Celui qui n’écoute pas de musique, Celui qui ne change pas de direction, Celui qui n’a pas de passion, Celui qui n’a pas son propre avis. Il meurt lentement Celui qui fuit les conseils des autres, Celui qui fuit ses amis, Celui qui se fuit lui mĂȘme. RĂ©agis maintenant! Prends un nouveau dĂ©part, Ne te prive pas du bonheur. ———————————————————– ———————————————————— PoĂšme de Marion Quinze ans, dĂ©jĂ  et on moins, L’impression d’ĂȘtre perdu, Ne nous quitte plus. On se croit invincible, Alors qu’en fait on est juste sensible. On a des pensĂ©es noires, Sans jamais vraiment y croire. On a des pensĂ©es suicidaires, Quand l’on repense Ă  qui l’on Ă©tait, On se rend compte que nos espoirs, N’étaient que des rĂȘves inaccessibles. On voudrait ĂȘtre moins jeunes, Et avoir l’air plus vieux. On veut vivre dangereusement. Savoir oĂč sont nos limites. On voudrait comprendre qui l’on est, Sans avoir Ă  attendre. On aimerait ĂȘtre libre. On se donne un style, Sans vraiment l’aimer. On voudrait ne pas ĂȘtre nous, On aimerait ĂȘtre comme toutes ses stars. Et puis vient le jour de nos seize ans, Et on quitte un peu plus l’enfance. Et puis enfin on comprend, Qui l’on est rĂ©ellement. KessyMac Queen – de 17h Ă  18h30, parc Pablo Neruda. La Fanfare des MakabĂ©s (Ă©tudiants en mĂ©decine de la facultĂ© du Kremlin-BicĂȘtre) – de 18h30 Ă  Flamenco et hommage Ă  Neruda au centre Albert Poncet. PrĂšs de 200 personnes Ă©taient prĂ©sentes au centre municipal Albert-Poncet pour un spectacle placĂ© sous le double signe de l'Espagne, avec le flamenco, et de l'AmĂ©rique latine, avec le poĂšte chilien Pablo Neruda. Selon Lucien Coubaillon, adjoint dĂ©lĂ©guĂ© Ă  la culture, il s'agissait de clĂŽturer une saison consacrĂ©e en grande partie au Chili et de faite dĂ©couvrir au public un aspect de la culture ibĂ©rique souvent mĂ©connu, la danse flamenca. Deux composantes ayant pour point commun de tĂ©moigner des valeurs de ce qu'on peut appeler l'hispanitĂ©. Richesse Pendant un peu plus d'une heure, au fil d'un programme alternant les danses interprĂ©tĂ©es par le groupe nĂ©risien Delunares et les textes de Pablo Neruda, dits par Jean-Michel Deshuis, le public a pu se familiariser avec les valeurs d'une culture qui dĂ©passe les images d'Epinal un peu rebattues des espagnolades Ă  base de castagnettes et de robes Ă  volants. Françoise, Chantal, Camille, Marjolaine et Martine les cinq danseuses dirigĂ©es par CĂ©line Ferranti ont, lors des sĂ©quences consacrĂ©es aux diffĂ©rentes facettes du flamenco, montrĂ© toute la richesse de cette musique et de la danse qui l'accompagne. On y retrouve l'influence des trois cultures arabo-musulmane, juive et chrĂ©tienne qui ont cohabitĂ© en Andalousie. Autrefois, mode d'expression musical des dĂ©shĂ©ritĂ©s, le flamenco, diffusĂ© par les gitans, peut accompagner les tĂąches de la vie quotidienne, comme l'ont montrĂ© certaines scĂšnes de femmes en robes de paysannes travaillant puis dansant dans 3 cortinas de humo ». Il peut aussi donner naissance Ă  des tableaux d'une grande beautĂ© plastique, comme cette chorĂ©graphie sur Siguiriya » oĂč des voiles jouant dans la lumiĂšre et la fumĂ©e amplifient et magnifient les attitudes des danseuses. Bien entendu, le classique Vestido de lunares », la robe Ă  pois traditionnelle, est aussi lĂ  pour une version plus classique du flamenco. Quant Ă  Jean-Michel Deshuis, sa belle voix de baryton basse a su rendre la profondeur et la sensibilitĂ© des textes de Pablo Neruda. PoĂšmes d'amour Tu es comme la nuit, silencieuse et constellĂ©e », poĂšmes de douleur dĂ©diĂ©s Ă  son pays opprimĂ©, Dans ma patrie, on emprisonne les mineurs et le soldat commande au juge » toujours vibrants de force et d'Ă©motion contenue. Il a su y joindre un double hommage au poĂšte disparu. Avec Utile », une chanson d'Etienne Roda-Gil, A quoi sert une chanson si elle est dĂ©sarmĂ©e, me disaient les chiliens, bras ouverts, poings serrĂ©s ? », et la Complainte de Neruda », composĂ©e par Jean Ferrat. CĂ©line Ferranti avait tenu Ă  accompagner le PoĂšme 15 » de sa traduction en langage des signes, rĂ©alisĂ©e par Fabienne Jaquy, chorĂ©graphie envoĂ»tante dans laquelle les mots deviennent gestes et presque danse. Le spectacle s'est terminĂ© par un final accompagnĂ© d'orgue de barbarie qui a Ă©tĂ© longuement applaudi. NoĂ«l Champomier Nese risque jamais Ă  changer la couleur. De ses vĂȘtements « Vous pouvez lire le poĂšme entier si cet extrait vous a plu. Vous pouvez aussi ne pas mourir lentement et casser vos habitudes direction le pays de Pablo Neruda : le Chili. 2.Viajar, Gabriel Garcia Marquez. L’extrait « Voyager, c’est partir de chez soi. c’est quitter ses amis PABLO NERUDA LORSQU’IL SE DÉSISTE EN FAVEUR DE LA CANDIDATURE PRÉSIDENTIELLE DE SON CAMARADE ET AMI SALVADOR ALLENDE, 1970. Mon peuple a Ă©tĂ© le peuple le plus trahi de notre temps. Du fond des dĂ©serts du salpĂȘtre, des mines du charbon creusĂ©es sous la mer, des hauteurs terribles oĂč gĂźt le cuivre qu’extraient en un labeur inhumain les mains de mon peuple, avait surgi un mouvement libĂ©rateur, grandiose et noble. Ce mouvement avait portĂ© Ă  la prĂ©sidence du Chili un homme appelĂ© Salvador Allende, pour qu’il rĂ©alise des rĂ©formes, prenne des mesures de justice urgentes et arrache nos richesses nationales des griffes Ă©trangĂšres. Partout oĂč je suis allĂ©, dans les pays les plus lointains, les peuples admiraient Allende et vantaient l’extraordinaire pluralisme de notre gouvernement. Jamais, au siĂšge des Nations unies Ă  New York, on n’avait entendu une ovation comparable Ă  celle que firent au prĂ©sident du Chili les dĂ©lĂ©guĂ©s du monde entier. Dans ce pays, dans son pays, on Ă©tait en train de construire, au milieu de difficultĂ©s immenses, une sociĂ©tĂ© vraiment Ă©quitable, Ă©levĂ©e sur la base de notre indĂ©pendance, de notre fiertĂ© nationale, de l’hĂ©roĂŻsme des meilleurs d’entre nous. De notre cĂŽtĂ©, du cĂŽtĂ© de la rĂ©volution chilienne, se trouvaient la constitution et la loi, la dĂ©mocratie et l’espoir. De l’autre cĂŽtĂ© il ne manquait rien. Ils avaient des arlequins et des polichinelles, des clowns Ă  foison, des terroristes tueurs et geĂŽliers, des frocs sans conscience et des militaires avilis. Tous tournaient dans le carroussel du mĂ©pris. Main dans la main s’avançaient le fasciste Jarpa et ses neveux de Patrie et LibertĂ©, prĂȘts Ă  casser les reins et le coeur Ă  tout ce qui existe, pourvu qu’on rĂ©cupĂšre l’énorme hacienda appelĂ©e Chili. A leur CĂŽtĂ©, pour Ă©gayer la farandole, Ă©voluait un grand banquier danseur, Ă©claboussĂ© de sang. Gonzalez Videla, le roi de la rumba, lequel, rumba par-ci, rumba par-lĂ , avait depuis belle lurette livrĂ© son parti aux ennemis du peuple. Maintenant c’était Frei qui livrait le sien aux mĂȘmes ennemis, et qui dansait au son de leur orchestre, avec l’ex-colonel Viaux, son complice Ăšs forfaiture. Ils Ă©taient tous tĂštes d’affiche dans cette comĂ©die. Ils avaient prĂ©parĂ© le nĂ©cessaire pour tout accaparer, les miguelitos, les massues et les balles, ces balles qui hier encore avaient blessĂ© notre peuple Ă  mort Ă  Iquique, Ranquil, Salvador, Puerto-Montt, JosĂ© Maria Caro, Frutillar, Puente Alto et autres nombreux endroits. Les assassins d’Hernan Mery dansaient avec ceux qui auraient dĂ» dĂ©fendre sa mĂ©moire. Ils dansaient avec naturel, avec leurs airs de bondieusards. Ils se sentaient offensĂ©s qu’on leur reproche ces petits dĂ©tails». Le Chili a une longue histoire civile qui compte peu de rĂ©volutions et beaucoup de gouvernements stables, conservateurs et mĂ©diocres. De nombreux prĂ©sidaillons et deux grands prĂ©sidents Balmaceda et Allende. Curieusement, l’un et l’autre sortent du mĂȘme milieu la bourgeoisie riche, qui se fait appeler chez nous aristocratie». Hommes de principes, obstinĂ©s Ă  rendre grand un pays amoindri par une oligarchie mĂ©diocre, ils eurent la mĂȘme fin tragique. Balmaceda fut contraint au suicide parce qu’il refusait de livrer aux compagnies Ă©trangĂšres nos riches gisements de salpĂȘtre. Allende fut assassinĂ© pour avoir nationalisĂ© l’autre richesse du sous-sol chilien le cuivre. Dans les deux cas, les militaires pratiquĂšrent la curĂ©e. Les compagnies anglaises sous Balmaceda, les trusts nord-amĂ©ricains sous Allende, fomentĂšrent et soulĂšvements d’état-major. Dans les deux cas, les domiciles des prĂ©sidents furent mis Ă  sac sur l’ordre de nos distinguĂ©s aristocrates». Les salons de Balmaceda furent dĂ©truits Ă  coups de hache. La maison d’Allende, avec le progrĂšs, fut bombardĂ©e par nos hĂ©roĂŻques aviateurs. Pourtant, les deux hommes se ressemblent peu. Balmaceda fut un orateur fascinant. Il avait une nature impĂ©rieuse qui le rapprochait chaque jour davantage du pouvoir personnel. Il Ă©tait sĂ»r de la noblesse de ses intentions. Les ennemis l’entouraient Ă  chaque instant. Sa supĂ©rioritĂ© sur son entourage Ă©tait si grande, et si grande sa solitude, qu’il finit par se replier sur lui-mĂȘme. Le peuple qui aurait dĂ» l’aider n’existait pas en tant que force, c’est-Ă -dire n’était pas organisĂ©. Ce prĂ©sident Ă©tait condamnĂ© Ă  agir comme un illuminĂ©, comme un rĂȘveur son rĂȘve de grandeur resta Ă  l’état de rĂȘve. AprĂšs son assassinat, les trafiquants Ă©trangers et les parlementaires du cru s’emparĂšrent du salpĂȘtre , les Ă©trangers, en concessions; les reprĂ©sentants du cru, en pots-de-vin. Les trente deniers perçus, tout rentra dans l’ordre. Le sang de quelques milliers d’hommes du peuple sĂ©cha vite sur les champs de bataille. Les ouvriers les plus exploitĂ©s du monde, ceux des zones du nord du Chili, ne cessĂšrent plus de produire d’immenses quantitĂ©s de livres sterling pour la City de Londres. Allende ne fut jamais un grand orateur. Gouvernant, il ne prenait aucune dĂ©cision sans consultations prĂ©alables. Il Ă©tait l’incarnation de l’anti-dictateur, du dĂ©mocrate respectueux des principes dans leur moindre dĂ©tail. Le pays qu’il dirigeait n’était plus ce peuple novice de Balmaceda, mais une classe ouvriĂšre puissante et bien informĂ©e. Allende Ă©tait un prĂ©sident collectif; un homme qui, bien que n’étant pas issu des classes populaires, Ă©tait un produit de leurs luttes contre la stagnation et la corruption des exploiteurs. C’est pourquoi l’oeuvre rĂ©alisĂ©e par Allende dans un temps si court est supĂ©rieure Ă  celle de Balmaceda ; mieux, c’est la plus importante dans l’histoire du Chili. La nationalisation du cuivre fut une entreprise titanique. Sans compter la destruction des monopoles, la rĂ©forme agraire et beaucoup d’autres objectifs menĂ©s Ă  terme sous son gouvernement d’inspiration collective. Les oeuvres et les actes d’Allende, d’une valeur nationale inapprĂ©ciable, exaspĂ©rĂšrent les ennemis de notre libĂ©ration. Le symbolisme tragique de cette crise se manifeste dans le bombardement du palais du gouvernement; on n’a pas oubliĂ© la Blitzkrieg de l’aviation nazie contre des villes Ă©trangĂšres sans dĂ©fense, espagnoles, anglaises, russes; le mĂȘme crime se reproduisait au Chili; des pilotes chiliens attaquaient en piquĂ© le palais qui durant deux siĂšcles avait Ă©tĂ© le centre de la vie civile du pays. L’occasion Ă©tait belle et il fallait en profiter. Il fallait mitrailler l’homme qui ne renoncerait pas Ăą son devoir. Ce corps fut enterrĂ© secrĂštement dans un endroit quelconque. Ce cadavre qui partit vers sa tombe accompagnĂ© par une femme seule et qui portait toute la douleur du monde, cette glorieuse figure dĂ©funte s’en allait criblĂ©e, dĂ©chiquetĂ©e par les balles des mitrailleuses. Une nouvelle fois, les soldats du Chili avaient trahi leur patrie. Patrie douce et dure, J’avoue que j’ai vĂ©cu, Pages 513-517 Editions Gallimard, 1975, Traduction de Claude Couffon PubliĂ© par Araucaria Ă  2038 Envoyer par e-mailBlogThis!Partager sur TwitterPartager sur FacebookPartager sur Pinterest

RĂ©sumĂ© 1948. La Guerre Froide s’est propagĂ©e jusqu’au Chili. Au CongrĂšs, le sĂ©nateur Pablo Neruda critique ouvertement le gouvernement. Le prĂ©sident Videla demande alors sa destitution et confie au redoutable inspecteur Óscar Peluchonneau le soin de procĂ©der Ă  l’arrestation du poĂšte. Neruda et son Ă©pouse, la peintre Delia del

Le collĂšge ouvre ses portes le 9 fĂ©vrier 1976 sous le nom du CollĂšge d’Enseignement Secondaire de La Morinerie » aprĂšs de longs mois de dĂ©bats et travaux. Les prĂ©fĂ©rences des Ă©lus de Saint-Pierre-des-Corps et de leurs administrĂ©s vont plus Ă  une rĂ©novation du CollĂšge d’Enseignement GĂ©nĂ©ral Stalingrad qu’à la construction d’un Ă©tablissement aux limites Est de la commune. Les Ă©diles municipaux considĂšrent, en effet, que cette crĂ©ation est coĂ»teuse en infrastructures, l’emplacement Ă  proximitĂ© de la Loire et d’entreprises pĂ©troliĂšres et gaziĂšres peu judicieux et une rĂ©ponse aux besoins de la population corpopĂ©trussienne insuffisante. C’est en ce sens que le maire, lors de l’inauguration officielle du collĂšge Pablo-Neruda » le 22 janvier 1977, annonce la nĂ©cessitĂ© d’un troisiĂšme Ă©tablissement sur la commune. Une mosaĂŻque gĂ©ante de 60 m2 dĂ©core le fronton du collĂšge. Cette Ɠuvre artistique est le fruit de l’imagination de l’artiste chargĂ© d’exprimer un vers de Pablo Neruda, le cĂ©lĂšbre poĂšte chilien mort quelques jours aprĂšs le coup d’état du 11 septembre 1973 Et tous tournaient leurs yeux vers la lumiĂšre ». Le collĂšge se trouve sis rue du 23 fĂ©vrier 1950 » en hommage Ă  une militante du parti communiste qui, ce jour-lĂ , occupe les voies de chemins de fer pour empĂȘcher un train transportant du matĂ©riel militaire de partir et, ainsi, protester contre la guerre d’Indochine. Cest GaĂ«l Garcia Bernal, hilarant dans sa quĂȘte dĂ©sespĂ©rĂ©e d’arrĂȘter le mythe irrattrapable. NERUDA - Bande-annonce VOST - Un film de Pablo Larrain. Watch on. Neruda. RĂ©alisĂ© par Pablo LarraĂ­n. Avec Luis Gnecco, Gael GarcĂ­a Bernal, Mercedes MorĂĄn. Date de sortie : 4 janvier 2017 (1h48). Ecrit par Michel Santo le 21 fĂ©vrier 2017. PubliĂ© dans Accueil, ActualitĂ©s, Chroniques narbonnaises, Culture, poĂ©sie Il est montĂ© dans la voiture du train qui, samedi dernier, me menait Ă  Montpellier, puis s’est assis dans le fauteuil qui me faisait face, sans le moindre petit mot, ni sourire, de courtoisie. Rien ! Transparent, je n’existais pas
 Ou alors comme une chose » collĂ©e Ă  son siĂšge. Raide et froid, son sac Ă  dos posĂ© bien Ă  plat sur ses genoux, pendant que sa main fouillait dans son bagage, j’observais son visage dur et tannĂ©, aux formes parfaitement sculptĂ©es sous un large front dĂ©garni. Ses yeux, sombres, semblaient fixer je ne sais quelle image enfouie sous son crĂąne. D’un bloc, sec et robuste, il me faisait l’effet d’habiter ce mince espace d’humanitĂ© en passager clandestin. HermĂ©tiquement clos ! Puis vint ce geste de la main pour installer entre nous, comme une clĂŽture, un livre de poĂšmes
 de Pablo Neruda Vaguedivague » ! Pablo Neruda et sa poĂ©sie tournĂ©e vers le monde et l’amour ; et cet homme, le lisant, lĂšvres serrĂ©es, dans son orgueilleuse solitude. Et ce souvenir aussi, examinant ce visage, de scĂšnes lues je ne sais plus quand, ni oĂč, du grand poĂšte chilien racontant ses lectures publiques dans des salles ferventes de beautĂ© et d’espoir qui, lentement, remontait Ă  ma mĂ©moire pendant que mon voyageur, impassible, tournait mĂ©caniquement des pages de lumiĂšres
 Il est descendu en gare de SĂšte, sous un beau ciel bleu, sans le moindre petit mot, ni sourire, de courtoisie. Rien ! Pour quel autre voyage, et avec qui ?
 Transparent, je n’existais toujours pas
 Mots-clefs Pablo Neruda, SĂšte, Vaguedivague RĂ©trolien depuis votre site. Articles rĂ©cents Lefilm devient vaste et vibrant comme le Chant gĂ©nĂ©ral, que Pablo Neruda est alors en train d’écrire. A la poursuite de l’artiste, Oscar Peluchonneau , raide comme la mort, d’une sinistre drĂŽlerie, que Gael GarcĂ­a Bernal rend Ă  la fois pathĂ©tique et inquiĂ©tant , commente en voix off l’étrange jeu de cache-cache — des RĂ©servation avec36SituĂ© Ă  2 km de la pittoresque ville historique du Mans, Ă  6 km de la sortie n° 23 de l'autoroute A28, le Campanile Le Mans Centre Est se trouve Ă©galement Ă  5,5 km du circuit du Mans. Cet Ă©tablissement dispose d'un bar, d'une terrasse ainsi que d'un restaurant proposant des repas sous forme de buffet. Les chambres sont dotĂ©es d'une tĂ©lĂ©vision, d'un plateau/bouilloire et d'une salle de bains privative. Lors de votre sĂ©jour, vous pourrez visiter la cathĂ©drale Saint-Julien, dĂ©diĂ©e Ă  Saint-Julien du Mans, le premier Ă©vĂȘque de la ville. Vous aurez aussi la possibilitĂ© de dĂ©couvrir les vestiges d'une enceinte romaine dans la vieille ville ainsi que des thermes romains au bord de la riviĂšre. Tous les matins, le Campanile Le Mans Centre Est sert un petit-dĂ©jeuner buffet moyennant des frais supplĂ©mentaires. Cet hĂŽtel possĂšde Ă©galement des salles de rĂ©union et des installations pour les personnes Ă  mobilitĂ© 24h/24ParkingAnimaux acceptĂ©sTerrasseAccĂšs handicapĂ© JlQrgH.
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