Jelui trouve un charme fou Adorable petit pose pieds en bois noirci et tapisserie au point. 25 cm de diamètre. Envie de l'adopter ? Envoyez moi un MP #charme #posepieds #tapisserie #napoleon3
Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Stand With Ukraine! Artiste Hoshi •Artiste invité Gaëtan Roussel Traductions anglais 1 français français Je vous trouve un charme fou ✕ Je regarde en arrière, je vous vois Les yeux vers la terre, je vous vois Même le nez en l'air, je vous vois Je regarde la mer, je vous voisSur la route côtière, tout en bas Au bord de la rivière, je vous vois Même quand tout est noir, je vous vois Et dans la lumière, je vous voisJe vous trouve un charme fou Ce petit je ne sais quoi Moi qui va me rendre floue Je vous trouve un charme fou Ce petit je ne sais quoi Moi qui va me rendre floueJe regarde devant, je vous vois Là sur le divan, je vous vois Même en noir et blanc, je vous voisQuand arrive le soir, je vous vois Je regarde en arrière, je vous vois Je sors boire un verre, je vous vois Même en noir et blanc, je vous vois Je regarde devant, je vous voisJe vous trouve un charme fou Ce petit je ne sais quoi Moi qui va me rendre floue Je vous trouve un charme fou Ce petit je ne sais quoi Moi qui va me rendre floueJe vous trouve un charme fou Ce petit je ne sais quoi Moi qui va me rendre floue Je vous trouve un charme fou Ce petit je ne sais quoi Moi qui va me rendre floue ✕ Droits d’auteur Writers Gaetan RousselLyrics powered by by Ajouter une nouvelle traduction Ajouter une nouvelle demande Traductions de Je vous trouve un ... » Music Tales Read about music throughout historycoverde Franck reprise de la chanson interprétée par Hoshi et Gaëtan Roussel
Ipsaous Tablature Français Variété Française Acoustique Rythmique Du même prof La Montagne Jean Ferrat Rythmiques Faciles Stolen Dance Milky Chance Wrecking ball Miley Cyrus Indila Pas là Vianney Dans le même style Ma Liberté Georges Moustaki J'ai tout oublié Marc Lavoine Elle Attend Jean-Jacques Goldman Céline Hugues Aufray Les Mains d'Or Bernard Lavilliers La Ballade Nord-Irlandaise Renaud tablatureje vous trouve un charme fou – hoshi - capo: 3 c je regarde en arriÈre, je vous vois em les yeux vers la terre, je vous vois am mÊme le nez en l'air, je vous vois g je regarde la mer, je vous vois c sur la route cÔtiÈre, tout en bas em au bord de la riviÈre, je vous vois am mÊme quand tout est noir, je vous vois g c et dans la lumiÈre, je vous vois refrain vous craquez sur mon charme fou .... vous avez raison ! je suis Zack, un petit Jack Russel de 11 ans .... et j'ai le droit de prétendre au bonheur malgré mon âge. Ce n'est pas un abandon comme ceux de d'habitude, c'est un cri du coeur de mon maître, qui est cardiaque et qui craint qu'en cas de malheur, je sois placé n'importe où et peut être mal traité. Alors il a fait appel à l'Association pour me trouver d'aussi bons adoptants que celui que j'ai eu pendant ces années..... Je suis un chien parfait, très gentil, très calme et oui cela arrive même chez les Jacks Russels. Mais j'aime aussi courir, alors je préfère un jardin. J'adore les caresses et je suis câlin. J'aime tous les humains du plus jeune au plus âgé. Euh ..... oui presque parfait .... je déteste les chats ! Et je préfère être le seul, car j'ai mes têtes avec mes congénères. J'aime jouer et détruire mes jouets, alors prévoyez en un stock en m'adoptant ! Je suis dans l'Yonne ! Vous voulez que mon bonheur continue auprès de vous, alors contactez Sylvane au 06 38 42 97 07 DécouvrezJe vous trouve un charme fou (En duo avec Gaëtan Roussel) de Hoshi, Gaëtan Roussel sur Amazon Music. Écoutez de la musique en streaming sans publicité ou achetez des CDs et MP3 maintenant sur Amazon.fr. Mardi matin, quand nous avons mis le cap vers le sud, il faisait un froid de canard surpris par l’hiver. Nous avons d’ailleurs vu un peu de neige le long de la 401, en Ontario. Je ne vous le souhaite pas, mais il devrait y en avoir bientôt sur le Québec. Pourtant, on s’en foutait un peu, car on savait que, dans quelques jours, nous pourrions faire sauter manteau, gants, bonnet et écharpe. Si nous avions eu la chanson de Charlebois dans notre iPod, nous l’aurions fait jouer. Demain l´hiver, je m´en fous. Je m´en vais dans le sud, au soleil, Me baigner dans la mer Et je penserai à vous En plantant mes orteils dans le sable doux. Nous nous sentions le cœur léger. Pourtant, un peu plus tôt, en allant dire au revoir à nos amis Daniel et Louise, nous avons tous les quatre vécu un grand moment d’émotion. C’est comme si nous avions pris conscience, d’un coup, que nous ne nous reverrions pas avant un an et demi, ou 18 mois, ou 546 jours. Comptez-le n’importe comment, c’est énorme! Nous sommes heureux de partir, mais il reste difficile de laisser ceux qu’on aime. Deux jours plus tôt, nous étions allés faire une dernière visite à Étienne, à Marie-France et aux petits-enfants. Quand nous reviendrons, Gabriel aura presque 12 ans et Laurence, 10 ans. Je crois qu’ils ne se rendent pas compte à quel point nous serons absents longtemps. Bonne route, mauvais resto Le premier jour s’est bien déroulé. La grande bleue a avalé cinq cents kilomètres en six heures. Il n’y a eu qu’un petit pépin, aux douanes, où nous nous sommes engagés du côté des camions. Le douanier américain m’a fait la leçon, me faisant jurer, deux fois plutôt qu’une, de ne jamais recommencer. Mais cette erreur avait un avantage. Bien au chaud et haut perché, le douanier des camions n’avait pas du tout envie de sortir de sa cabine. Il s’est donc contenté d’enregistrer nos passeports et de vérifier mon permis de conduire. Pas de fouille indiscrète dans l’autocaravane comme les fois précédentes. Le soir venu, nous sommes allés dans un hôtel plutôt que dans le parc-autos d’un Wal-Mart. Primo, parce que notre véhicule était encore hivernisé. Secundo, parce qu’il faisait vraiment froid. L’ennui, ce n’est pas le coût de l’hôtel, mais le fait qu’il faut manger au restaurant. Et au pays de la malbouffe, c’est presque toujours l’aventure pour deux épicuriens. Nous sommes d’abord entrés dans une pizzéria. C’était bruyant et les grosses pizzas à l’américaine n’étaient pas ragoûtantes. J’ai dit à Lise Allons ailleurs.» Nous avons fini par trouver, pas trop loin de l’hôtel, un restaurant qui avait l’air pas trop mal. De fait, la soupe était bonne. Mais le poulet à la grecque» trempait dans une épaisse sauce au citron et à l’ail. À l’ail surtout. Il y en avait tellement que ça tuait tout le reste. Quant au vin italien, il était pétillant, plutôt sucré et peu alcoolisé. Il n’avait qu’une qualité son prix, 18$ pour la bouteille. Aussitôt ressortis, nous sommes entrés dans une épicerie pour acheter deux yaourts, que nous avons mangés à la chambre. Ils contenaient trop de sucre et pas assez de gras. Mais c’était quand même mieux que le souper. Et il nous restait du chocolat noir. Aux antipodes du Québec et de l’Italie Nous roulons depuis quelques jours sur les routes américaines. Comme c’est agréable! D’abord, il n’y a pas tous ces nids-de-poule qui rendent la conduite si chaotique au Québec. Il y a quelques exceptions, il est vrai. La 81, au niveau de la Pennsylvanie, rappelle par moments les routes tiers-mondistes de la Belle Province. Mais dans l’ensemble, la chaussée est aussi douce pour les pneus que pour les oreilles et le postérieur. En général, les haltes ne manquent pas. Elles sont jolies, propres et ne sentent pas le pipi. Comme les nôtres, par contre, le café y est infect. De ce point de vue, on est loin de l’Italie, où l’espresso et le cappuccino sont partout délicieux, même le long des autoroutes. En revanche, contrairement à l’Italie, les conducteurs américains ne se prennent pas pour des pilotes de formule 1. Sur les highways» de l’oncle Sam, tout le monde roule à peu près à 110 km/h, une belle vitesse pour un caravanier. Personne ne vous double comme si vous étiez arrêtés et à peu près personne ne zigzague d’une voie à l’autre. Les choses se compliquent un peu quand on traverse de grandes agglomérations, où les routes s’élargissent à quatre ou cinq voies. Il arrive que des mémés frisées roulent au ralenti au beau milieu, forçant les uns et les autres à les doubler, qui sur la droite, qui sur la gauche. Mais comme je l’écrivais il y a quelques années lors de la traversée de Houston, cet impressionnant ballet sans chorégraphe n’est qu’apparemment chaotique. Un petit coup de frein par ci et un petit coup d’accélérateur par là et voilà que chaque véhicule trouve sa place et tient bien son rôle. C’est vachement cool!» diraient les Cousins. C’est d’autant plus cool» que La grande bleue, comme tous les sprinters Mercedes sans doute, se conduit tellement bien. Le moteur ronronne, gravissant les côtes sans même avoir besoin de rugir. La tenue de route est impeccable. Même dans le vent, il est facile de garder le cap. Les sièges sont confortables. La vision est parfaite. Ajoutez Louis Armstrong chantant What a Wonderful World, comme on l’a fait cette semaine, et c’est le bonheur. Eh oui, le bonheur est sur la route. Opération déshivernisation Le troisième jour, après deux jours d’hôtel, nous nous sommes enfin arrêtés sur un camping près de Bristol, au Tennessee, à 1 500 kilomètres de Montréal. Sitôt arrivés, nous nous sommes lancés dans la déshivernisation. Comme nous n’avions pas réalisé cette opération depuis presque trois ans, nous avons buté sur quelques détails. D’ailleurs, je n’ai toujours pas réussi à changer le filtre à eau. J’ai eu beau forcer comme un diable, le couvercle a refusé de s’ouvrir. Comme il est en plastique, j’ai eu peur de le casser. Mais peut-être ai-je juste essayé de le dévisser du mauvais côté. Bof! Je me suis dit magnana». Je me suis plutôt mis au souper. Au menu les spaghettis à la Paolo. Accompagnés d’un petit vin de Californie trouvé chez Wal-Mart, c’était délicieux. De quoi nous faire oublier l’horrible poulet à la grecque» mangé deux jours plus tôt. Lise vous fait ses amitiés. À samedi prochain. bœufaprès le concert. merci pour la voix (ludivine) et la captation (baloo)Paroles de la chanson Coule mascara par Hoshi Il y a des bombes dans les rues, et je parle pas de filles Les colombes ne volent plus, elles tombent comme des quilles C’est pas le soleil qui nous plombe, on se prend des balles en jouant aux billes Il y a des soirées aux catacombes, le monde part en vrilles Coule, oui coule mascara Roule, et roule entre les bombes On nous dit que ça ira Cherche le sourire de la Joconde Coule, oui coule mascara Roule, et roule entre les bombes On nous dit que ça ira Est-ce qu’ils pleurent dans leur tombe Est-ce qu’ils pleurent dans leur tombe Les médias sont bien gentils, ils nous apprennent la misère Ici les soldes n’ont pas de prix, à part celui de nos salaires Il y a plus de place de parking, mais il en reste en enfer Il y a plus de place au paradis, mais il en reste pour le dessert Coule, oui coule mascara Roule, et roule entre les bombes On nous dit que ça ira Cherche le sourire de la Joconde Coule, oui coule mascara Roule, et roule entre les bombes On nous dit que ça ira Est-ce qu’ils pleurent dans leur tombe Est-ce qu’ils pleurent dans leur tombe Mes mots sonnent creux, à chaque conversation Les infos me cassent en deux, je suis comme un arbre sans tronc Je n’ai rien trouvé de mieux que de me plaindre dans une chanson Faites semblant d’être heureux, pendant qu’ils nous prennent pour des cons J’ai peur, j’ai peur, dites-moi où est-ce que l’on va Je pleure, je pleure, écoule, écoule mon mascara J’aimerais que ça ne soit qu’une mascarade J’aimerais que ça ne soit qu’une mascarade
Quandarrive le soir, je vous vois Je regarde en arrière, je vous vois Je sors boire un verre, je vous vois Même en noir et blanc, je vous vois Je regarde devant, je vous vois Je vous trouve un charme fou Ce petit je-ne-sais-quoi, moi, qui va me rendre flou Je vous trouve un charme fou Ce petit je-ne-sais-quoi, moi, qui va me rendre flouIl est probable que certaines d’entre vous me prennent pour un fou. Point de problèmes pour moi j’assume l’adjectif, et en porte fièrement l’étendard. Car à mon sens, la vie ne présente de sens que si elle revêt le contour de celleux qui osent porter de folles idées, au mépris des conventions et des regards, à contre-courant des tendances dont on voudrait parfois souvent nous imposer le diktat, comme la mode tend à imposer les siens propres. Avant de vous présenter cette jeune » artiste qui fait aujourd’hui son apparition impromptue sur la scène musicale, je vous avouerai qu’il y a encore douze jours, je ne la connaissais pas, au contraire des dizaines de milliers de followers qu’elle arbore sur Instagram. Il a suffi d’un samedi soir pour tout faire basculer. La minute vie de Rémi – que vous affectionnez tant, je l’espère – c’est maintenant J’étais donc en soirée parisienne lorsque nous décidâmes avec mes amies, de nous rendre à la Nuit Blanche, évènement annuel et automnal emblématique de la vie culturelle et nocturne de la capitale. Il était alors 23h45 et la pluie battait son plein. Après deux excursions avortées et surtout m’être bien pris la flotte », je me décidais à écourter ma Saturday Night Fever, la mort dans l’âme ou presque, tellement j’étais trempé de la tête aux pieds et des pieds à la tête, et à rentrer dans mon humble demeure, où je m’empressais de me faufiler sous un plaid et d’allumer ma télévision, destination France 2 et le duo Ruquier/Salamé. On est en direct touchait alors à sa fin. Sur le plateau, Cyrielle Clair faisait revivre Marlene Dietrich, tandis qu’à ses côtés se tenait une artiste pimpante et flamboyante, nommée Hélène in Paris. Née Hélène Benhamou le 21 décembre 1955 à Meknès Maroc dans une famille aisée, elle arrive en France à l’âge de treize ans. Celle qui se définit comme une femme à sept ou huit ou neuf ou dix vies » mène sa scolarité dans un grand établissement de la capitale, avant d’obtenir une maîtrise de gestion à l’Université de Paris-Dauphine, tout en enchaînant les soirées chez Régine. En 1980, alors âgée de 25 ans, elle décide alors de filer outre-Atlantique, direction les Etats-Unis, où elle s’installe à Los Angeles. En Californie, elle créé sa propre marque de mode, Pistachios, qui rencontre un grand succès. Elle ouvre alors plusieurs showrooms à travers les Etats-Unis, de Los Angeles à New York, en passant par Dallas ou Miami. Changement de cap dix ans plus tard suite à un mariage déçu, direction la Côte Est cette fois, et plus précisément New-York, où Hélène ouvre une grande boutique de décoration, À la maison, sur la très réputée Madison Avenue. Nouveau succès pour la frenchy, dont l’entreprise devient l’adresse fétiche des stars. Elle devient même chroniqueuse dans Today, l’émission matinale de NBC, aux côtés de la légendaire Katie Couric, et présente Home Shopping Network, l’occasion pour elle de vendre ses propres collections. Crédits photographiques Quelques années plus tard, déstabilisée par les attentats du 11 septembre 2001, un nouveau défi s’ouvre à notre femme de défis redécorer entièrement un appartement à Londres. Cap sur l’Angleterre donc, où elle s’installe pour mener à bien cette mission, une nouvelle fois avec succès. Elle est dès lors chargée de plusieurs chantiers, qu’elle suit dans l’ensemble du monde, de Bahreïn à Moscou, en passant par Doha. C’est ainsi qu’en 2011, elle créé le groupe Benhamou designs, chargé de la décoration d’intérieur de maisons et d’appartements de particuliers et de grands hôtels, avec des bureaux implantés à Londres, Sydney et Dubai, ce avant que de grandes marques comme Dior ou Gucci ne lui confient l’organisation d’évènements mondains. En 2019, après plus de trente années passées loin de Paris, elle décide de faire son grand retour dans la capitale, dont elle retombe amoureuse, craquant sur un somptueux appartement de la célèbre rue de Rivoli, non loin du Musée du Louvre et face au Jardin des Tuileries. Elle s’y installe en fin d’année, et fait de son habitat une véritable galerie d’art où s’entrecroisent oeuvres de design, peintures et sculptures. Mars 2020. Une chape de plomb s’abat sur la planète entière. Un virus nommé covid-19 met le monde à l’arrêt. C’est alors le temps du confinement. Face à l’ennui, et décidée à égayer ses amies déprimées pendant cette période inédite, cette inénarrable optimiste, qui n’avait jusqu’alors pas conscience de son talent de chanteuse, décide alors de piocher dans son vaste dressing riche en robes d’allure et d’envergure, et de réaliser ses propres vidéos musicale. Devant le nombre pléthorique d’oeuvres d’art qui peuple son appartement, elle se met en scène de façon humoristique, et avant tout en chansons. Le succès devient viral. Les commentaires sont extrêmement dithyrambiques, les spectateursrices comblés de joie et emplis d’énergies positives en redemandent, et c’est ainsi qu’Hélène continue d’enregistrer ponctuellement des vidéos une fois le déconfinement proclamé. C’est alors que la riche femme d’affaires, devenue une star des réseaux sociaux, est encouragée par une amie à enregistrer une chanson. Quelques semaines après, la voilà alors en studio d’enregistrement pour son premier single. Autoproduit, Just Be You est dévoilé sur YouTube le 15 septembre 2020 et compte à jour plus de 100 000 vues. Love life and no routinePassion is your gasolineLa vie est belle, just play againLove life and no routineMa chemise, your gasolineYou have the fire in youSo just be youJust Be You – septembre 2020 Être bourgeoise bohème ou mondaine, l’important est d’être soi-même »La vie est belle – décembre 2020 Just Be You est un hommage direct aux comédies musicales de Broadway des années 50-60, avec ce qu’il contient de délicieusement kitsch et intemporel à la fois, tout en nous emplissant d’ondes positives. Dans ce titre, Hélène – dont l’un des films fétiche est étrangement My Fair Lady de George Cukor avec Audrey Hepburn – nous invite ni plus ni moins à être nous-mêmes et nous laisser emporter par notre passion. Aimons la vie et disons non à la routine tel est le leitmotiv qu’elle n’a eu de cesse de suivre tout au long de sa vie et qu’elle nous invite à nous appliquer à nous-mêmes. Pas étonnant alors qu’à l’approche des fêtes de Noël, alors que la France s’apprête à vivre au rythme du couvre-feu et de nouveaux confinements dans les mois suivants, Hélène adapte son titre en version française sous le titre La vie est belle. – Votre devise ?– Dream big ! » Il faut rêver grand. Le rêve, c’est le point de départ de la suite. J’ai toujours rêvé grand et l’idée est d’atteindre cet objectif, c’est la richesse de la vie. La passion est mon essence, ce à quoi je travaille tous les aux Filles de Paname, 11 octobre 2020 Peu à peu, médias et réseaux sociaux s’emballent, tandis que le public en redemande. C’est ainsi qu’un an plus tard, elle publie un nouveau titre. Dans la droite lignée musicale de ses deux précédents titres, Hélène nous propose cette fois My Big Love Affair, ou l’histoire de son retour dans la capitale française. Paris y apparaît comme une ville dont elle retombe amoureuse après plusieurs années de tensions et de tumultes dans leur relation. À l’instar d’Emily in Paris, la célèbre série Netflix, c’est une véritable déclaration à la Ville Lumière qu’elle nous livre, du Jardin des Tuileries aux Colonnes de Buren, en passant par les mythiques toits surplombant la capitale. Je suis revenue parfois et tu m’as ouvert les brasPuis je suis repartie oui, et ainsi va la vieJe ne regrette rien, non, no i have no regretsBut my real love, is not in New York, nor London or LAMy Big Love Affair – septembre 2021 Il y a quinze jours de cela, Hélène in Paris se produit pour la première fois en live à la télévision française avec son dernier titre sur le plateau de Laurent Ruquier et Léa Salamé. Ne manque plus qu’un premier album, et le tour sera joué ! **** Je disais donc que ma proposition était folle, et probablement au moins aussi folle que l’aventure dans laquelle s’est lancée Hélène in Paris. Dans son extravagance et sa hauteur en couleurs, Hélène est une reine, une diva, qui s’offre aujourd’hui un cadeau avec cette expédition musicale à contre-courant de tout ce qu’elle a accompli jusqu’alors dans sa vie. Hélène ose, Hélène n’a peur ni des regards ni des jugements, et surtout elle n’a pas peur, à près de 66 ans, de se lancer dans l’inconnu. À travers le personnage d’Hélène in Paris, je pense à Florence Foster Jenkins. Riche héritière, épouse de médecin, cette personnalité s’était construite une carrière de cantatrice grâce à sa fortune… sauf qu’elle chantait faux. L’aventure de notre héroïne du jour est en ce sens un véritable plaisir qu’elle peut se permettre financièrement de vivre, avec une différence notable toutefois – et non des moindres Hélène est pétrie de talent. Hélène chante, et elle chante très bien. Qu’elle l’ait ignoré pendant de si longues années m’est juste inconcevable, tellement l’évidence est là . L’univers d’Hélène in Paris, c’est celui des lumières de la capitale qui brillent de mille feux et éblouissent le monde entier. C’est celui de ces comédies musicales mythiques et légendaires qui nous mettent des étoiles dans les yeux et nous plonge dans la magie de l’imaginaire, celui-là même qui nous emplit d’ondes positives et nous réchauffe le coeur. C’est celui des paillettes, de celles qui nous font décoller dans un autre monde et oublier notre quotidien, qui n’a souvent rien d’un long fleuve tranquille, à l’instar de la vie. Hélène est une star née. Hélène est une étoile. Hélène brille autant que la Ville Lumière. Hélène est irrésistible. Hélène est so frenchy, avec la pointe d’accent si charmante qu’elle arbore lorsqu’elle s’empare de la langue de Shakespeare. Hélène me fait craquer, tant de par son talent que sa personnalité, d’une innommable sympathie et ô combien solaire. Bref, je suis tombé sous le charme d’Hélène, et la voir sur la scène d’Eurovision France serait un cadeau digne de ces grands paquets dorés et enrubannés que l’on voit dans les films hollywoodiens, et dont sortent de belles surprises. Celle-ci s’appelle Hélène in Paris, et outre le véritable crush que j’ai pour elle, j’éprouve également une sincère admiration pour l’audace qu’elle a de se lancer dans la plus folle et la plus incroyable des aventures à cette étape de sa vie. Respect Madame. Et vivement l’album ! **** Je ne résiste évidemment pas au plaisir de partager avec vous la dernière cover d’Hélène. Crédits photographiques page Facebook officielle d’Hélène Benhamou dite Hélène in Paris
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