QuandHarry arrive au square Grimmaurd lors de la premiĂšre semaine d’aoĂ»t, tout laisse penser que Hermione y est dĂ©jĂ  depuis un bon moment, si ce n’est pas TOUT l’étĂ© (OP1 d’aprĂšs les lettres qu’elle et Ron envoient Ă  Harry, et OP3. Harry arrive quelques jours aprĂšs l’attaque des DĂ©traqueurs du 2 aoĂ»t). Donc, soit elle a La mandragore est une des plantes les plus mystĂ©rieuses et aussi l’une des plus importantes en magie. Elle fut apprĂ©ciĂ©e il y a trĂšs longtemps, par les alchimistes. Mais actuellement c’est surtout en magie qu’elle a le plus d’utilitĂ©, pour ses multiples pouvoirs extraordinaires
 La mandragore fait partie de la famille des solanĂ©es, tous comme la jusquiame et la belladone. Elle possĂšde une grande rĂ©putation magique dans l’univers des sorciĂšres. Et en magie possĂ©der une mandragore c’est possĂ©der le joker des plantes magiques. Cette merveilleuse plante a en elle les vertus d’un puissant aphrodisiaque, et la rĂ©putation de soigner la stĂ©rilitĂ©. Ceci Ă  cause de la forme de ses racines, qui ressemblent Ă©trangement Ă  un corps humain muni d’organes gĂ©nitaux, parfois masculin, parfois fĂ©minin. Parfois la mandragore toute entiĂšre semblait humaine, et certains alchimistes arrivaient mĂȘme Ă  lui donner une vie animale
D’ailleurs dans la mythologie on prĂ©tend qu’elle poussait Ă  l’ombre de l’arbre de vie. Mais de nos jours on en trouve facilement dans les lieux incultes et lugubres de toute l’Europe mĂ©ridionale
 Comment cueillir la Mandragore pour qu’elle ne perde pas ses pouvoirs magiques Pour trouver une mandragore il faut d’abord se munir d’un trĂšs bon livre de plantes mĂ©dicinales, ceci afin de bien reconnaĂźtre son image. Ses feuilles ressemblent trĂšs fort aux feuilles d’un chĂȘne et elle dĂ©gage une trĂšs forte odeur assez une fois la mandragore repĂ©rĂ©e on attendra la nuit pour la cueillir, on se mettra toujours le dos au vent et on tracera un petit cercle magique autour, avant d’arracher les feuilles avec la racine
 Utilisation de la Mandragore en encens Pour l’utiliser sous forme d’encens, dans un premier temps on coupera la racine en morceaux, et ensuite on la mettra sĂ©chĂ©e au soleil. Ensuite il sera trĂšs facile pour la sorciĂšre de la faire brĂ»ler sur des petites pastilles de charbon incandescentes, que l’on peu se procurer facilement dans n’importe quelle bonne boutique de mandragore sera surtout utilisĂ© pour toutes les incantations magiques, ou les Ă©vocations d’esprits. Car elle a la facultĂ© de les faire apparaĂźtre la nuit dans sa fumĂ©e
 On utilise Ă©galement son encens pour acquĂ©rir temporairement des pouvoirs magiques trĂšs puissant. Pour cela il suffit de placer en encens quelques petits morceaux de sa racine sur une pastille de charbon, au milieu d’une petite sous-tasse. Ensuite baigner votre corps complĂštement nu dans sa fumĂ©e. Ceci augmentera temporairement l’énergie de vos chakras et vous transformera pendant une heure en une puissante sorciĂšre
 Utilisation de la racine de Mandragore pour la conception d’un philtre d’amour Pour acquĂ©rir l’amour d’une personne, on prĂ©parera le philtre de la maniĂšre suivante On place dans un bocal quelques morceaux de racine de mandragore fraĂźche avec un peu de votre sang, une mĂšche de vos cheveux, et vous recouvrez le tout de la mĂȘme quantitĂ© de sucre. Vous placerez ce bocal durant trois mois dans un lieu Ă  l’abri de la lumiĂšre, ensuite vous filtrerez ce prĂ©cieux liquide au travers d’une passoire. Il suffira de verser trois gouttes de ce puissant philtre magique dans un verre de vin rouge ou de champagne, accompagnĂ© d’un bon dĂźner. Quelques minutes plus tard, le philtre dĂ©clenchera l’amour chez la personne dĂ©sirĂ©e
 *Vous pouvez tĂ©lĂ©charger ou Ă©couter le replay de l’émission Godmentica ci-dessous
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lapatience est d'or signification; objectifs d'une entreprise de nettoyage; circuit autriche 15 jours; comment démasquer un sorcier dans la maison. Home Uncategorized comment démasquer un sorcier dans la maison. By 31/05/2022 fixation phare megane 3 Comments Off. comment démasquer un sorcier dans la maisontuto amigurumi grenouille au crochet
Les malĂ©dictions familiales RECONNAITRE ET BRISER LES LIENS DE FAMILLE les malĂ©dictions familiales ne sont plus une fatalitĂ© si nous sommes en Christ. I- DĂ©finition Les liens de familles sont un ensemble de maladies, de malĂ©dictions, de frustrations, opĂ©rant au sein d’une famille principalement, d’un peuple, par le canal d’esprits appelĂ© esprits de familles. Ces liens se manifestent souvent par des similitudes qui vont d’une gĂ©nĂ©ration Ă  une autre. C’est pourquoi nous remarquons souvent certaines familles dans lesquelles les membres sembles ĂȘtre sujets par exemple Ă  la mort prĂ©coce, c'est-Ă -dire que les membres de cette famille meurent trĂšs souvent jeunes et dans presque les mĂȘme conditions. Et cela de pĂšre en fils. Le simple fait d’appartenir Ă  cette famille vous fait directement hĂ©riter de cette situation qui semble ĂȘtre propre Ă  votre famille. Dans d’autres familles on a comme l’impression que les membres sont vouĂ©s Ă  l’échec de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration, aucun d’eux ne finit jamais ce qu’il entreprend. Il y a comme un mur invisible qui les empĂȘche d’aller au-delĂ  de la position dans laquelle ils se trouvent. On entend souvent dire personne dans ma famille n’a jamais rĂ©ussit Ă  atteindre l’universitĂ© » ou dans ma famille tout le monde souffre de l’ulcĂšre » ou je suis endettĂ© comme mon pĂšre l’a Ă©tĂ© avant sa mort ». En Ă©coutant ces affirmations , on a l’impression qu’il y a une perpĂ©tuation d’évĂšnements malheureux qui sont propres Ă  cette famille, c’est comme s’il avait des forces invisibles qui Ă©taient chargĂ©es de faire revivre aux enfants ce que les pĂšres ont vĂ©cu. Les vecteurs de cette continuation sont les esprits de familles. Ils ont pour but de faire durer les souffrances de familles en nous faisant revivre les Ă©checs ou difficultĂ©s que nos parents ou ancĂȘtres ont connu. Certaines personnes pensent qu’elles tiennent certaines maladies ou problĂšmes de leur gĂ©nĂ©tique, mais elles ne savent pas qu’il y a des esprits de familles qui agissent de maniĂšre subtile pour les maintenir dans ce cercle de malĂ©diction, maladies et Ă©checs qu’ils ont imposĂ©s Ă  leurs parents. C’est ce qui a Ă©tĂ© le cas pour la famille d’Abraham qui Ă©tait liĂ©e par un esprit de mensonge, jusqu’à la troisiĂšme gĂ©nĂ©ration Abraham a menti que Sarah Ă©tait sa sƓur GenĂšse 20 ; 2-5 Isaac le fils d’Abraham a menti que Rebecca Ă©tait sa sƓur GenĂšse 26 ; 7 Jacob a usĂ© de mensonge pour usurper la bĂ©nĂ©diction de son frĂšre GenĂšse 27 ; 20-23. Pour cette famille le mensonge Ă©tait une plaie qui se propageait de pĂšre en fils et nous remarquons que les mĂȘmes problĂšmes d’Abraham ont Ă©tĂ© transmis Ă  son fils Isaac. Ce lien influençait aussi la vie de Jacob, mais c’est Ă  partir de lui que Dieu Ă  dĂ©cider de dĂ©livrer cette famille .C’est pourquoi il a changĂ© le nom de Jacob en IsraĂ«l pour marquer un nouveau dĂ©part. Il y aussi la famille de David qui Ă©tait influencĂ©e par l’esprit l’immoralitĂ© sexuelle David le pĂšre commis l’adultĂšre avec la femme d’Urie 2 sam 11 ; 2-4 Son fils Amnon a commis l’inceste avec sa demi-sƓur 2 sam 13 ; 10-14 Absalom fils de David a couchĂ© avec les femmes de son pĂšre devant le peuple 2 sam 16 ; 22 Salomon dans sa vieillesse a eu le cƓur dĂ©tournĂ© de Dieu Ă  cause des femmes 1rois11 ; 1-7. En voyant ces deux familles, on comprend que si ce n’était l’intervention de Dieu, elles Ă©taient soumises Ă  des forces invisibles les esprits de familles qui se chargeaient de transmettre les malĂ©dictions du pĂšre au fils. II- Les origines des esprits de familles Chaque famille a un passĂ©, un arriĂšre plan qui peut ĂȘtre dĂ©finit comme le fondement de celle-ci. C’est le socle sur lequel est bĂątit son prĂ©sent et son futur. Mais il est important de savoir que tout ce qui nous arrive en bien ou en mal a une origine antĂ©rieure Ă  notre vie actuelle. Ainsi les esprits de famille dont il est question sont issus Des diffĂ©rentes adorations et alliances que nos familles ont contractĂ©e avec eux. En le faisant, nous nous sommes mis sous leur protection et avons mis Ă  leur disposition tous nos biens et richesses afin de les servir et les honorer EsaĂŻe26 ; 13, c’est pourquoi, ils nous rĂ©clament aujourd’hui pour nous dĂ©truire Luc 22 ; 31-32. Les esprits de familles sont souvent les messagers des destructeurs sorciers de nos familles , pour nous empĂȘcher de suivre le chemin que Dieu a tracĂ© pour nous, mais aussi pour nous obliger Ă  revenir en arriĂšre afin de les adorer. La Bible nous Ă©claire en ce sens par l’exemple de Pharaon qui lorsqu’il s’est rendu compte qu’il n’y aurait plus d’esclaves pour construire son Pays et que les Juifs Ă©taient sortis pour adorer leur Dieu, a dĂ©cidĂ© de les ramener de forces Exode14 ; 5-8 Ă  son service. De mĂȘme il existe dans nos familles des esprits qui tiraient profit de notre ignorance en nous soumettant Ă  leurs Ɠuvres. Certaines mĂ©chantes personnes de nos familles qui veulent nous empĂȘcher de vivre heureux et nous maintenir dans la malĂ©diction les envoient dĂ©truire nos vies afin de nous obliger Ă  revenir Ă  l’adoration de nos ancĂȘtres. Mais celui qui est en nous est plus fort et s’oppose Ă  eux JÉSUS de Nazareth. III- Comment opĂšrent-ils ? Les esprits de familles agissent de maniĂšre trĂšs subtile Ă  travers Les paroles nĂ©gatives Les pensĂ©es mĂ©chantes Les divisions et querelles L’ignorance de nos parents Les paroles nĂ©gatives Nos paroles sont de puissants vecteurs de bĂ©nĂ©dictions et de donc en faire usage, car les paroles nĂ©gatives donnent droit et pouvoir aux esprits de familles d’opĂ©rer dans nos vies, surtout quand elles Ă©manent de nos parents pĂšre, mĂšre. Lorsqu’un pĂšre, dans sa colĂšre dit Ă  son fils tu seras toujours bon Ă  rien », il vient sans le savoir de donner droit Ă  un esprit de honte de suivre la vie de celui-ci. OĂč qu’il aille et quoi qu’il fasse cet enfant se sentira inutile, voir rejetĂ©, car il sera combattu par cet esprit Ă  qui son pĂšre a donnĂ© la mission de le combattre». Les pensĂ©es mĂ©chantes En tant qu’Hommes, nous sommes aussi esprit et nous travaillons souvent avec notre esprit, nos pensĂ©es. Ce Ă  quoi nous pensons fortement peut arriver. C’est pourquoi la Bible nous dit de veiller sur nos pensĂ©es car c’est de lĂ  que viennent les sources de la vie Prov 4 ; 23. Lorsque nous avons des pensĂ©es nĂ©gatives contres nos frĂšres ou nos enfants, nous sommes en train de crĂ©er autour d’eux une atmosphĂšre favorable aux Ɠuvres des esprits de familles. C’est pour cela que la jalousie entre frĂšres dĂ©truit plus vite que les armes Ă  feu. Quand je pense du bien de mon frĂšre, de ma mĂšre, de mon pĂšre, c’est comme une priĂšre que je fais monter Ă  Dieu en sa faveur, par contre quand j’ai en mon cƓur le dĂ©sire le voir Ă©chouer, j’invite un esprit d’échec Ă  agir dans sa vie. Les esprits de familles agissent trĂšs souvent Ă  travers les humeurs, les caractĂšres des membres de notre famille. La division, les querelles Dans une famille oĂč il y a l’amour, la paix et l’entente, lĂ  se trouve l’Esprit de Dieu et les esprits de famille ne peuvent agir convenablement. Ils ont besoin d’un total climat de confusion et division pour mieux s’infiltrer et rĂ©gner. C’est eux qui sont Ă  la base des haines et de la jalousie dans nos familles. Ils choisissent pour cela des personnes dont le cƓur y est naturellement disposĂ©. Veillons sur les pensĂ©es de nos cƓurs. L’ignorance de nos parents L’Éternel dit faute de connaissance, mon peuple pĂ©rit ». L’ignorance est comme un grand voile noir qui couvre ceux qui en sont esclaves. Être ignorant dans un domaine donnĂ© vous expose aux escroqueries et piĂšges relatifs Ă  ce domaine. Si je suis ignorant de tout ce qui est relatif au droit, je suis exposĂ© aux tromperies de certains avocats vĂ©reux qui sont capables d’exploiter mon ignorance pour me dĂ©pouiller de mes biens. De mĂȘme certains de nos ancĂȘtres croyant nous mettre Ă  l’abri en adorant les esprits dĂ©moniaques, ont sans le savoir, vendu la libertĂ© de leurs descendants Ă  des esprits qui aujourd’hui tiennent plusieurs de nos richesses. Dieu soit louĂ© car par la connaissance de son fils JÉSUS, nous avons la victoire et la puissance nĂ©cessaire pour rĂ©clamer notre hĂ©ritage volĂ©. IV-Comment combattre les esprits de famille ? Il est important de comprendre que JÉSUS-CHRIST nous a donnĂ© la victoire sur les esprits et qu’aucune autoritĂ© dĂ©moniaque ne peut rĂ©sister en face de son Nom. Mais malheureusement, il arrive parfois que les chrĂ©tiens ne savent pas contrĂŽler ou faire agir cette puissance qui leur Ă  Ă©tĂ© confĂ©rĂ©e pour glorifier Dieu. Nous devons aussi savoir que sans la Puissance et la Force du Seigneur, nous serons toujours des victimes pour le diable, malgrĂ© notre amour pour Dieu et notre zĂšle. C’est donc une obligation pour nous d’ĂȘtre puissant ton Dieu ordonne que tu soit puissant » Psaume 68 ;29/ 2timothe 1 ;7. Les chrĂ©tiens doivent se rendre compte qu’ils le veuillent ou pas, que le combat spirituel est une rĂ©alitĂ© Eph. 6 ;12 et que le projet de satan est de les dĂ©truire Jn 10 ;10/ 1 Pierre 5 ;8 d’oĂč l’importance de veiller et de lui rĂ©sister 1Pierre 5 ;9/jacques4 ;7 par la foi et la priĂšre. Comme dans le livre de GenĂšse 3, satan n’a eu de pouvoir sur la terre que parce que Adam le lui a donnĂ©, car c’est lui que Dieu avait Ă©tabli pour gouverner la terre. Mais, par sa ruse, satan, lui a volĂ© ce commandement et cette domination. Par la dĂ©sobĂ©issance d’un seul, l’humanitĂ© entiĂšre Ă  perdu LA GLOIRE qu’Élohim lui a donnĂ©e, mais celui-ci dans amour infini a voulu que par l’obĂ©issance d’un autre homme le dernier Adam, JÉSUS elle retrouve sa place et son identitĂ© originelle. C’est ce qui est arrivĂ© Ă  nos ancĂȘtres qui par ignorance ont vendu la libertĂ© et le bonheur de leurs enfants Ă  des dĂ©mons, en les adorant. Ainsi, nous avons perdu la santĂ©, le mariage, la prospĂ©ritĂ©, le succĂšs, etc.., que Dieu accorde Ă  chaque famille une vie Ă©panouie. Notre Seigneur est un Dieu de restauration, c’est pourquoi Il a suscitĂ© quelqu’un pour libĂ©rer ta famille ; TOI ! Puisque c’est un membre de ta famille qui a vendu la libertĂ© de celle-ci aux esprits, qui en sont devenus les maĂźtres ». C’est donc un autre membre de cette famille qui peut les dĂ©pouiller de leur autoritĂ© TOI ! Chaque chrĂ©tien doit prendre conscience de la mission que Dieu lui a confiĂ©e pour sa famille, car il a Ă©tĂ© Ă©clairĂ© et Ă©quipĂ© pour la libĂ©rer de l’esclavage. Tout comme Dieu s’est approchĂ© de Jacob pour libĂ©rer les gĂ©nĂ©rations aprĂšs lui du mensonge qui liait sa famille, ainsi Il s’approche de nous pour libĂ©rer nos familles, de l’échec, de la frustration, du cĂ©libat, des maladies incurables, qui semblent les avoir rĂ©duits au silence et Ă  l’impuissance. Dieu sait que nous ne pouvons pas y arriver par nos forces, c’est pourquoi, Il nous propose son aide, d’oĂč l’importance de bien Le suivre et Lui obĂ©ir, car IL nous donne les stratĂ©gies pour triompher de nos ennemis. C’est un processus qui nĂ©cessite la patience, la persĂ©vĂ©rance et qui dĂ©pend du timing du Seigneur. Une guerre bien prĂ©parĂ©e est synonyme de victoire, car dans le combat que nous menons, notre victoire dĂ©pend Ă  la fois de la connaissance que nous avons de Dieu, et de celle que nous avons de l’adversaire. Je voudrais avec vous Ă©taler certaines de ces Ă©tapes qui mĂšnent Ă  la victoire. voir la 3Ăšme partie Ă  suivre. Content created and supplied by JonathanGnagbo via Opera News Opera News is a free to use platform and the views and opinions expressed herein are solely those of the author and do not represent, reflect or express the views of Opera News. 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Avantde commencer Ă  comprendre comment reconnaĂźtre une sorciĂšre,il faut comprendre que la magie appartient Ă  la fois Ă  la sphĂšre spirituelle de la vie et Ă  la sphĂšre scientifique. À cet Ă©gard, nous pouvons dire que les personnes pratiquant la magie devraient bien connaĂźtre les principes de la physique et de la mĂ©taphysique. Ils sont utilisĂ©s dans des activitĂ©s magiques.

Nous vivons dans un monde marquĂ© par la haine, la jalousie et l’envie. Les sortilĂšges se multiplient. Combien de gens sont disposĂ©s Ă  payer pour maudire quelqu’un. Malheureusement, la magie noire ou toutes actes de sorcellerie ne sont pas proscrites par la loi. Ces pratiques Ă©sotĂ©riques sont Ă  la disposition de nombreux noire Partie 1Malheureusement, pour certain, jeter un sort Ă  quelqu’un est devenu une chose banale. De plus, vous ne pouvez rien prouver lĂ©galement et utiliser la lĂ©gislation, il est prĂ©fĂ©rable de vous dĂ©fendre avec vos propres moyens. C’est pourquoi, nous nous intĂ©resserons aux diffĂ©rents symptĂŽmes de magie noire et Ă  la façon de se protĂ©ger des des temps immĂ©moriaux, les gens ont fait usage de la magie. C’est mĂȘme mentionnĂ© plusieurs fois dans la Bible. La souffrance est terrible. Les symptĂŽmes d’une malĂ©diction sont plus graves que le mauvais Ɠil. Les rituels malĂ©fiques provoquent la stĂ©rilitĂ©, l’impuissance, les fausses amoureux ou ligaments amoureuxCertaines personnes n’hĂ©sitent pas Ă  faire de la magie pour faire tomber une personne amoureuse. Les sortilĂšges amoureux rendent fou !La victime d’un sortilĂšge amoureux n’a plus son libre arbitre ! La magie amoureuse est un viol maĂźtrise des pensĂ©es Ă  distance est typique des sortilĂšges d’amour. D’autres sorts et malĂ©dictions peuvent Ă©galement ĂȘtre lancĂ©s pour sĂ©parer les contrĂŽles des pensĂ©es Ă  distance sont plus courants lors des envoĂ»tements amoureuxPour savoir si nous sommes envoutĂ©s par la magie noire ou victime de sorcellerie, posez-vous les questions ci-dessous afin d’éliminer une simple dĂ©pression Ai-je vĂ©cu une rupture ?Avez-vous perdu un de vos proches ?Suis-je malheureux en coupleSuis-je victime de harcĂšlement ?Est ce que je n’ai pas confiance en moi ?Est-ce que je suis de nature angoissĂ©e ?Si vous rĂ©pondez Ă  l’une de ces questions par l’affirmative, dites-vous que vous traversez une pĂ©riode de dĂ©pression. Ce ne sont pas des symptĂŽmes de magie que peu de personnes possĂšdent les compĂ©tences pour faire de la vĂ©ritable sorcellerie. Les magiciens sorciers doivent avoir une parfaite maitrise de l’astrologie et connaitre l’influence de la lune dans chaque signeEn effet, au-delĂ  des rituels de la magie, d’autres Ă©lĂ©ments doivent ĂȘtre pris en considĂ©ration. Par ailleurs, le magicien doit disposer d’une Ă©nergie trĂšs puissante pour vous larves astralesLes entitĂ©s du bas astral larves astrales se nourrissent de l’énergie humaine. Les larves astrales provoquent de mauvaises pensĂ©es revenant en boucle dans l’esprit. Les larves astrales sont prĂ©sentes lĂ  oĂč sĂ©vissent la haine et la cruautĂ© ou dans les lieux de souffrance et de hantĂ©e par les entitĂ©s Une consultation de voyance par tĂ©lĂ©phone encore plus Ă  domicile mal prĂ©parĂ©e peut provoquer des infestations larvaires. Par exemple, une cartomancienne peu expĂ©rimentĂ©e qui ne se protĂšge pas assez se retrouve avec une entitĂ© collĂ©e sur les individus fragiles ou hypersensibles sont plus susceptibles d’attirer les larves astrales. Dans ce cas, une purification spirituelle et une purification de la maison s’ sont les symptĂŽmes de magie noire ?Les symptĂŽmes sont similaires au mauvais Ɠil ou malĂ©fice. La personne est constamment fatiguĂ©e, elle ressent un malaise gĂ©nĂ©ral. Elle ne peut plus se concentrer, des pensĂ©es obsessionnelles l’envahissent et les cauchemars premiers symptĂŽmes de la magie noire ou d'un travail occulte sont Manque d’énergieLe contrĂŽle des pensĂ©es Ă  distanceActes sans rĂ©flĂ©chir aux consĂ©quencesLa frĂ©quence Ă©nergĂ©tique de la personne est devenue nĂ©gative, tous le monde agit comme une marionnette envoĂ»tement amoureux.Comportement irrationnelN’arrive plus Ă  penserPerte de motivationLes yeux sont videsImpuissance ou frigiditĂ© envoĂ»tement amoureuxChangements d’ constanteLes ruptures sont systĂ©matiques et trĂšs rĂ©pĂ©titif dans le domaine professionnelAbandon de la part de ses prochesUne grande solitudePour confirmer l'envoĂ»tement, les symptĂŽmes doivent ĂȘtre associĂ©s Ă  ceux un sortilĂšge avec ces symptĂŽmes !Si vous ĂȘtes rĂ©ellement victimes de magie noire, vous aurez des problĂšmes avec les champs Ă©lectromagnĂ©tiques. En effet, le sortilĂšge va Ă©mettre des ondes telluriques et impacter tous les courants ampoules explosent ou bien elle court-circuite appareils tombent souvent en votre vĂ©hicule peut prĂ©senter des dysfonctionnements sans accidents divers et rĂȘves Ă©tranges ou des cauchemars;RĂ©veil nocturneTeint blafardSensation d’ĂȘtre suivi ou observĂ©Marque ou griffure sur la peauApparition de boutonsSensation d’ĂȘtre touchĂ© pendant son sommeil ou tirĂ© du d’amis ou familleEntreprise qui s’écroule du jour au lendemainCandidoseSensation d’ĂȘtre oppressĂ©PhĂ©nomĂšnes paranormaux ou surnaturelsMaladie non explicable par les mĂ©decinsQuels sont les sorts utilisĂ©s en magie ?Sachez qu’il existe de nombreuses magies, elles sont diverses et variĂ©es voici la liste Des projections astralesEgrĂ©gore ou serviteur astralPoupĂ©e vaudoue Invocation des esprits ou entitĂ©s du bas astralManipulation Ă©nergĂ©tique agissant sur le taux vibratoireSort chamaniqueLigaments amoureuxAttaques psychiquesLes sorts des vĂ©ritables nomsSortilĂšge d’attractionJe ne vous donne pas la liste complĂšte des rites de magie noire pour des raisons que vous vĂ©ritables magiciens ne jettent pas un sort n’importe quand et n’importe comment. En effet, les travaux occultes ont lieu Ă  des jours trĂšs vĂ©ritables sorciers se servent de la position des planĂštes pour jeter le mauvais Ɠil Ă  une dans 99,9% des cas, les sorts sont exĂ©cutĂ©s par des novices avec toutes les consĂ©quences dramatiques pour leur personne mais ne touchent pas la est le but d’un envoĂ»tement ?Le but d’un envoĂ»tement est de vous mettre Ă  terre et de vous rendre fou, voire mĂȘme de vous faire mourir. Les sorts sont utilisĂ©s pour attirer la affaires vont mal, vous perdez tous vos clients du jour au lendemain attention tout de mĂȘme, en ce moment, c’est la crise, alors pas de conclusions hĂątives.Quand la poisse nous poursuit. On vit un divorce brutal ou on perds tout ses amis. Des souffrances inexpliquĂ©es et sans diagnostiques outre, les dĂ©fenses immunitaires sont Ă©galement attaquĂ©es, il n’est pas rare de voir une candidose se dĂ©clencher quand un travail occulte Ă  Ă©tĂ© fait Ă  notre existe plusieurs possibilitĂ©s pour se protĂ©ger de la magie noire afin de dĂ©tourner les forces occultes. La premiĂšre est de prier. Vous avez des priĂšres puissantes contre les sortilĂšges. De plus, vous avez la possibilitĂ© de consulter un prĂȘtre exorciste Ă  votre diocĂšse ou un Imam pour annuler une malĂ©diction
Pour se protĂ©ger contre la magie noire ou les attaques occultes, je recommande fortement ce meilleure protection contre la sorcellerie, c'est la foi. Il n’y a personne de plus puissant que Dieu. Mais nous avons chacun nos propres convictions. Avoir la foi et croire en Dieu n’implique pas forcĂ©ment d’avoir une religion. Si vous ĂȘtes allergique Ă  la croyance divine, soyez assurĂ© qu’il Ya d’autres mĂ©thodes. En ce qui concerne les croyants, je recommande ce livre de existe d’autres alternatives pour se protĂ©ger d’un sort tel que le Bouclier de Protection Spirituelle ou la Bulle d’ pouvez Ă©galement vous protĂ©ger Ă  l’aide de talismans et d’amulettes pour Ă©loigner le mauvais Ɠil. Vous pouvez vous adressez Ă  une personne spĂ©cialisĂ©e dans le domaine de l’ésotĂ©risme. Mais, mĂ©fiez-vous les arnaques sont nombreuses !Attention aux apprentis sorciersCertains mages maitrisent parfaitement l’occultisme. Mais ces spĂ©cialistes de l’ésotĂ©rismes sont rares. En gĂ©nĂ©ral, les vrais initiĂ©s travaillent pour des personnes trĂšs haut placĂ©es ou des chefs d’Etat se donnent toutes les possibilitĂ©s dont ils disposent pour remporter les Ă©lections. Ceux-ci n’hĂ©sitent pas Ă  recourir Ă  ce genre de pratique occulte ! Tout est bon Ă  prendre pour gagner !DĂ©senvouteur Cela ne s’improvise pas !Beaucoup se prĂ©sentent comme des guĂ©risseurs, des marabouts ou des occultistes. L’improvisation est insuffisante pour se protĂ©ger de la vĂ©ritable magie des gens qui se sentent envoutĂ©es ne le sont pas. Si vous ĂȘtes une vĂ©ritable victime d’un travail occulte attention Ă  ne pas ĂȘtre pris en charge par un apprenti sorcier, y compris gracieusement. Les rĂ©percussions sont souvent dramatiques pour la victime et pour celui qui s’improvise dĂ©senvouteur ou forces occultes abiment un peu plus le taux vibratoire de la planĂšte chaque jour qui passe !Consultez un prĂȘtre exorciste rattachĂ© Ă  son diocĂšse ou un vĂ©ritable Imam. Ils seront quoi faire, ils sont formĂ©s pour Ă©loigner le mal !Voici la liste des mĂ©thodes pour enlever la magie noirePriĂšres religieusesConsulter un prĂȘtre exorciste invocation des entitĂ©sPierres de protection occulteBouclier d’énergie ou bulle d’énergieBarriĂšre de feu technique de visualisationProjection astraleTalismanAmuletteParcheminPurification spirituelle avec priĂšreVĂ©ritable sorcier trĂšs rareUn de mes quartz Corinto a emprisonnĂ© un sortilĂšge. Le quartz Corinto est une pierre translucide. En me rĂ©veillant, une occlusion noire avec une tĂȘte de serpent s’est formĂ©e Ă  l’intĂ©rieur. La pierre est devenu presque opaque !Les pierres de protection sont capables d’absorber les Ă©nergies sont les dangers de faire de la magie ?Tout homme qui pratique des incantations et des rituels magiques Ă  des fins perverses le paie dans cette vie et dans les vies d’aprĂšs. Nous parlons d’un phĂ©nomĂšne karmique, que ce soit pour un sort amoureux ou pour la rituels de magie vont dĂ©clencher des phĂ©nomĂšnes trĂšs violents. L’ñme est endommagĂ©e affectant son sont les consĂ©quences de la magie noire ?Les rĂ©percussions de l’utilisation de la magie noire et de la sorcellerie sont innombrables. Que ce soit pour la famille et sa propre santĂ©. Bien sĂ»r, ceci ne sera pas observĂ© immĂ©diatement, car le temps n’existe pas dans l’astral, mais quand les Ă©vĂ©nements se dĂ©clenchent, il sera trop nombreuses personnes s’amusent avec des recettes glanĂ©es par-ci par-lĂ  pour se venger. La plupart des attaques occultes sont menĂ©es par les novices. Pour que la magie se poursuivent, le pouvoir Ă©nergĂ©tique de la personne doit ĂȘtre trĂšs puissant !Quel est le principal objectif des messes noires ?Les messes noires que nous retrouvons dans des cercles Ă©sotĂ©riques sont exĂ©cutĂ©s pour Ă©prouver une victime jusqu’à sa ces messes noires sont surtout politiques ou gĂ©opolitiques. Chacun n'hĂ©site pas Ă  renverser l'adversaire par tous les moyens Ă  sa loi de la transmutationQue vous utilisiez la magie noire dans un groupe oĂč seul, dans le but d’enchanter une personne, les miasmes se colleront Ă  vous. La magie est similaire Ă  l’alchimie. En effet, pour recevoir il faut donner. C’est comme si dĂ©fiait les lois de la nature !Comme on doit donner pour recevoir, des sacrifices ont lieu. Mais au bout du compte, personne n’en sort indemne. Autant pour la victime de la magie noire que pour l’initiateur du sort !La jalousie est le fondement de chaque jalousie provoque des actes de malveillance phĂ©nomĂ©nale. Vous serez dĂ©sormais avisĂ© des consĂ©quences de la magie. Une manipulation des forces occultes entraĂźne tous le monde dans un tourbillon malĂ©fique. Se dĂ©fendre par la priĂšre, les pierres, les talismans et les amulettes est un fait car vous ĂȘtes victime. Mais n’utilisez pas la magie pour rĂ©gler vos problĂšmes. On sait quand ça commence mais jamais quand ça se finit !Les forces occultes sont en train de se dĂ©chaĂźner sur terre !Quelques cercles Ă©sotĂ©riques se rassemblent afin d’invoquer la fin du monde. Il s’agit d’une guerre contre l’humanitĂ© visant Ă  rĂ©duire la population sous prĂ©texte que c’est la seule maniĂšre de sauver la terre !L’égrĂ©gore serviteur astral affecte l’énergie terrestre et humaine. Plus l’égrĂ©gore est nourri et plus le mal se propage. C’est ce que nous sommes en train de vos pensĂ©es positives pour contrecarrer les forces occultes. Faites des Ă©grĂ©gores positifs avec ceux que vous aimez afin de rallumer la lumiĂšre sur terre et pour qu’on ne sombre pas dans la guerre. Voici les priĂšres de protection que je vous ai devons fermer les portes au malJ’ignore si vous l’avez remarquĂ©, mais l’humanitĂ© semble basculer ces derniĂšres annĂ©es et les forces occultes se dĂ©chaĂźnent. Ces Ă©grĂ©gores ont ouvert les mauvaises portes et nous devons les fermer dans les plus brefs vibrations nĂ©gatives n'ont jamais Ă©tĂ© si nombreuses. Je voulais le souligner parce que beaucoup de gens pensent qu'ils sont victimes de sorcellerie individuellement, alors qu'il y a un phĂ©nomĂšne mondial. COMMENTRECONNAITRE UN SORCIER OU TON ENNEMI. Se laver la figure dans une calebasse neuve d’eau contenant dissoute une poudre obtenue en Ă©crasant finement un gui ( Loranthus ) de dogue ( Bambara ; Ximenia americana ) et une bonne poignĂ©e de soukola ( Bambara ; Ocimum viride ) . Permet de reconnaitre un sorcier ..
RĂ©sumĂ© Index Plan Texte Bibliographie Notes Citation Auteur RĂ©sumĂ©s Le discours sur la sorcellerie s’impose comme une rĂ©alitĂ© quotidienne de la vie sociale et des rapports humains, y compris dans le milieu urbain des sociĂ©tĂ©s africaines contemporaines. Si le champ de l’imaginaire sorcellaire s’amplifie en milieu urbain, la famille et les proches demeurent traditionnellement considĂ©rĂ©s comme la source principale du pouvoir sorcier. La perception de la sorcellerie comme composante de la modernitĂ© urbaine africaine accompagne l’explosion des pentecĂŽtismes indigĂšnes. La contribution active du pentecĂŽtisme au phĂ©nomĂšne de la sorcellerie, par la diabolisation des esprits paĂŻens, ancĂȘtres et gĂ©nies protecteurs, entretient un vaste marchĂ© de la guĂ©rison, manne des guĂ©risseurs traditionnels ainsi que des Ă©glises indĂ©pendantes, prophĂ©tiques et pentecĂŽtistes. La dĂ©livrance se prĂ©sente alors comme une libĂ©ration de la souffrance et du mal qui passe par l’exorcisme, l’éradication. Sorcery and Deliverance in African Pentecostalisms. – The discourse on witchcraft is essential like a daily reality of the social life and human relationship, including in the urban environment of the contemporary African societies. If the field of witchcraft imaginary increase in urban environment, the family, always linked to the “village”, remain traditionally regarded as the primary source of the witchcraft. The perception of witchcraft as component of African urban modernity societies goes with the explosion of indigenous Pentecostalism. The active contribution of the Pentecostalism to the witchcraft phenomenon, by the demonization of pagan spirits and ancestors, maintains a vast market of healing, manna of the traditional healers as well as independent, prophetic and Pentecostal Churches. Deliverance then appears like a liberation from suffering and Evil which goes through exorcism and de page Texte intĂ©gral Pasteur,Je vous prie de bien vouloir intercĂ©der tous les jours jusqu’à la fin de l’annĂ©e pour la dĂ©livrance de ma famille de la malĂ©diction de mort. La santĂ© de ma mĂšre, tout ce qui bouge dans son corps, tout ce qui est intime, que Satan a placĂ© dans son corps provenant de la sorcellerie et des mauvais esprits, [...] la dĂ©livrance des membres de la famille de l’esprit de la mort et du programme de la sorcellerie. »Williamsville, Abidjan, CĂŽte-d’Ivoire, 2002. 1Comme le soulignait Evans-Pritchard 1972, chez les AzandĂ©, et plus globalement en Afrique, la sorcellerie fait partie de l’ordinaire et n’a rien de mystĂ©rieux. Quels que soient les milieux, le discours sur la sorcellerie s’impose comme une rĂ©alitĂ© quotidienne de la vie sociale et des rapports humains, y compris dans le milieu urbain des sociĂ©tĂ©s africaines contemporaines, souvent en Ă©troite relation avec le village », considĂ©rĂ© comme le foyer de la sorcellerie. Si le champ de l’imaginaire sorcellaire s’amplifie en milieu urbain, la famille et les proches demeurent traditionnellement considĂ©rĂ©s comme la source principale du pouvoir sorcier. La perception de la sorcellerie comme composante de la modernitĂ© urbaine africaine Adam 2006 ; Ashforth 2005 ; Geschiere 2006 ; ter Haar 2007a, s’accompagne d’un autre constat l’imaginaire sorcellaire semble traverser, voire transcender, les univers religieux. En tĂ©moigne le concept d’ insĂ©curitĂ© spirituelle » spiritual insecurity » associĂ© Ă  celui de forces invisibles » invisible forces » Ă  partir desquels Adam Ashforth 2005 tente d’apprĂ©hender, dans le contexte sud-africain, la rĂ©alitĂ© sociale quotidienne d’un monde peuplĂ© de sorciers ». Ce concept hybride, qui rappelle l’expression de forces occultes » utilisĂ©e par Peter Geshiere 1995, renvoie Ă  la notion de guerre spirituelle » spiritual warfare » dans le contexte chrĂ©tien. L’insĂ©curitĂ© spirituelle » ne se rĂ©duit pas Ă  la sorcellerie traditionnelle, elle englobe, un peu Ă  la maniĂšre des catĂ©gories missionnaires, les fĂ©tiches, les esprits paĂŻens, les sorciers, les dĂ©mons et mĂȘme le sida. La protection, voire la lutte, contre ces forces invisibles » entretient un vaste marchĂ© de la guĂ©rison, manne des guĂ©risseurs traditionnels ainsi que des Églises indĂ©pendantes, prophĂ©tiques et pentecĂŽtistes. C’est aussi parce qu’elle participe pleinement de la modernitĂ© africaine » que la sorcellerie accompagne l’explosion des pentecĂŽtismes indigĂšnes et que les catĂ©gories, autant que les frontiĂšres, de ces univers a priori distincts se dĂ©placent. Pour Joseph Tonda 2000 48 Cette “modernitĂ©â€ de la sorcellerie remet un peu en cause la diffĂ©rence culturaliste instituĂ©e entre le dieu chrĂ©tien et le gĂ©nie sorcier du paganisme. » La contribution active du pentecĂŽtisme au phĂ©nomĂšne de la sorcellerie est une composante majeure du succĂšs de ce mouvement religieux en Afrique. 2Le succĂšs des pratiques de dĂ©livrance accompagne l’émergence des MinistĂšres de dĂ©livrance et des camps de priĂšre1 en Afrique depuis le dĂ©but des annĂ©es 1990. Au Ghana, l’attraction des MinistĂšres de dĂ©livrance surpasse celle des shrines anti-sorcellerie et des Spiritual Churches. Cette pratique repose sur une vision dichotomique du monde perçu comme le terrain d’affrontement de la puissance divine contre les forces du Mal. La dĂ©livrance est Ă©troitement associĂ©e Ă  la guĂ©rison divine par le biais de la lutte contre les gĂ©nies, esprits et dĂ©mons considĂ©rĂ©s comme responsables des maux physiques et spirituels » ainsi que de la maladie », mĂȘme si cette notion est centrĂ©e sur une sĂ©rie limitĂ©e de maux. Cette perception du rapport Ă  la maladie, aux autres et au monde, se nourrit d’une sĂ©rie de reprĂ©sentations persĂ©cutives » Ortigues 1966 225 Ă  partir desquelles le fidĂšle se pense en proie aux puissances malĂ©fiques dans tous les instants de sa vie. La dĂ©livrance se prĂ©sente alors comme une libĂ©ration de la souffrance et du Mal qui passe par l’exorcisme, l’éradication. La diabolisation des esprits paĂŻens, ancĂȘtres et gĂ©nies protecteurs, est le principal ressort de l’expansion des pentecĂŽtismes africains. Comme l’observe Adam Ashforth 2005 312 Ă  partir de l’Afrique du Sud Ancestors are also under increasing assault from the varieties of Pentecostalism that are spreading rapidly throughout Africa. » 3Cet article s’appuie d’abord sur une sĂ©rie d’enquĂȘtes menĂ©es au sein de la Church of Pentecost quasi simultanĂ©ment dans trois pays le Burkina Faso, la CĂŽte-d’Ivoire et le Ghana depuis 20012. Au Ghana, comme en CĂŽte-d’Ivoire, la dĂ©livrance est une pratique courante que l’on peut observer soit en tant que sĂ©quence intĂ©grĂ©e au culte hebdomadaire, ou lors de veillĂ©es, soit dans l’espace des camps de priĂšre », qui sont des structures indĂ©pendantes associĂ©es Ă  l’Église. En CĂŽte-d’Ivoire, l’apparition des camps de priĂšre peut ĂȘtre perçue dans la continuitĂ© historique des villages thĂ©rapeutiques » conçus par les prophĂštes guĂ©risseurs » comme Albert Atcho et la communautĂ© de Gregbo Piault 1975 ; AugĂ© 1990. L’influence des Ă©vangĂ©listes amĂ©ricains et leurs tĂ©moignages de guĂ©rison personnelle sont Ă©galement Ă  l’origine de l’émergence des quelques grandes figures nigĂ©rianes et ghanĂ©ennes qui n’ont cessĂ© de gĂ©nĂ©rer des vocations de prophĂštes-guĂ©risseurs » healing prophets » dans leur pays et les pays voisins. Ce dynamisme crĂ©atif a produit plusieurs gĂ©nĂ©rations de leaders pentecĂŽtistes ghanĂ©ens, mais aussi ivoiriens et burkinabĂš, de sorte que mĂȘme les Églises les plus classiques » sont amenĂ©es Ă  prendre en compte ce constant renouvellement. Qu’ils aient une surface sociale internationale ou qu’ils soient des leaders en leur pays », les croyants-guĂ©risseurs », prophĂštes » ou prophĂ©tesses », ces nouvelles figures hors normes et indociles, illustrent les rapports ambigus que les Églises pentecĂŽtistes entretiennent avec la sorcellerie. 4Le pentecĂŽtisme ghanĂ©en est aussi connu pour ses camps de guĂ©rison et de dĂ©livrance Larbi 2001, des institutions thĂ©rapeutiques qui font appel Ă  des techniques d’exorcisme et Ă  une relecture des catĂ©gories de la sorcellerie. Les postures des MinistĂšres de dĂ©livrance sont trĂšs diffĂ©rentes de celles des Églises pentecĂŽtistes dites classiques » qui n’acceptent pas la possibilitĂ© qu’un converti puisse ĂȘtre possĂ©dĂ© par des dĂ©mons. La Church of Pentecost, comme d’autres Églises de sa gĂ©nĂ©ration Assemblies of God, Christ Apostolic Church, Apostolic Church, qui Ă©taient encore les Églises pentecĂŽtistes majeures jusque dans les annĂ©es 1970 n’encourage pas les MinistĂšres de dĂ©livrance, considĂ©rant que le baptĂȘme de l’Esprit apporte par lui-mĂȘme salut, guĂ©rison et dĂ©livrance Onyinah 2002 1153. Nous verrons cependant comment, face Ă  la frilositĂ© des Églises pentecĂŽtistes classiques », les camps de priĂšre et les MinistĂšres de dĂ©livrance, sous la direction de leaders atypiques, intĂšgrent dans la pratique de la dĂ©livrance des techniques du corps et de nouvelles reprĂ©sentations de la sorcellerie inspirĂ©es de la littĂ©rature Ă©vangĂ©lique amĂ©ricaine, dont les presses africaines se font le relais. Ces guĂ©risseurs aux pouvoirs multiples s’inscrivent dans des rĂ©seaux transnationaux en marge de l’orthodoxie de l’Église Ă  laquelle ils sont pourtant associĂ©s et disposent d’une popularitĂ© qui rivalise avec l’autoritĂ© pastorale. Dans ces structures marginales, le double jeu du pentecĂŽtisme vis-Ă -vis de la sorcellerie africaine est encore plus perceptible. Il est mĂȘme l’un des plus puissants attraits des centres de priĂšres. Pasteurs contre fĂ©ticheurs une histoire ancienne 5L’histoire des pentecĂŽtismes africains est marquĂ©e trĂšs tĂŽt par la lutte contre la sorcellerie qui est l’un des ressorts de l’évangĂ©lisation. Parmi les prĂ©curseurs du pentecĂŽtisme en Afrique de l’Ouest, le prophĂšte W. W. Harris, parcourant la CĂŽte-d’Ivoire et le Ghana dĂšs le dĂ©but du XXe siĂšcle, convertit, baptise, incite les villageois Ă  renoncer Ă  la sorcellerie et Ă  brĂ»ler leurs fĂ©tiches. Plus tard, les pasteurs s’engagent Ă  leur tour dans la lutte contre la sorcellerie comme prĂ©alable Ă  la conversion. Dans le duel pasteurs/fĂ©ticheurs qui s’engageait alors, la puissance du mal n’est pas simplement supprimĂ©e, elle est inversĂ©e » turned around » c’est-Ă -dire retournĂ©e » contre son agent qui est chassĂ© » et finalement soumis Ă  une puissance supĂ©rieure Leonard 1989. Le face-Ă -face pasteurs/fĂ©ticheurs se traduit donc par un rapport de forces et illustre l’ambivalence originelle de la puissance divine perçue comme une force magique supĂ©rieure Ă  celle des sorciers mais relevant de la mĂȘme nature. Comme le fait remarquer Adam Ashforth 2005 181 concernant l’Afrique du Sud Conversions to Christianity, that is to say, which the missionaries proclaimed as the result of their earthly labors empowered by their Christian God, were often seen by the locals as a product of sorcery or other mystical forces. » Ce premier malentendu de la rencontre missionnaire marque l’histoire des christianismes africains. 6Dans leur guerre spirituelle et par le discours de la recrudescence » de la sorcellerie, les Églises pentecĂŽtistes alimentent cet imaginaire sorcellaire, voire le rĂ©activent et l’intĂšgrent, tout en prĂ©tendant lutter contre. La Church of Pentecost du Ghana, dont la naissance mĂȘme est liĂ©e au dĂ©bat sur la guĂ©rison divine4, est traversĂ©e par les courants nĂ©o-pentecĂŽtistes d’aujourd’hui et son histoire rĂ©cente est jalonnĂ©e par une sĂ©rie de dĂ©bats portant sur la dĂ©livrance, sa pratique, ses techniques et son encadrement institutionnel. Le statut de ces fidĂšles pas ordinaires, croyants-guĂ©risseurs » ou simples visionnaires », est perçu de maniĂšre ambivalente par les Églises, comme l’Église de PentecĂŽte ou les AssemblĂ©es de Dieu, qui ont optĂ© pour des structures pyramidales. Les dirigeants considĂšrent avec mĂ©fiance la rĂ©putation charismatique d’un croyant-guĂ©risseur » puisque son charisme lui permet en quelque sorte de court-circuiter les modes de promotion hiĂ©rarchique. Les fidĂšles leur accordent volontiers le titre de prophĂšte » ou plus simplement de guĂ©risseur » et s’accordent Ă  leur reconnaĂźtre un pouvoir supĂ©rieur Ă  celui des fonctionnaires » de l’Église, prĂ©cisĂ©ment du fait qu’ils sont en contact direct avec Dieu ou le Saint-Esprit tandis que les pasteurs obĂ©issent Ă  un ordre hiĂ©rarchique et sont soumis aux pesanteurs de l’orthodoxie. 7La profession de foi anti-sorciĂšre » Tonda 2000 50 des pasteurs et des convertis intĂšgre, non sans ambivalence, les reprĂ©sentations traditionnelles africaines qu’elle reformule en faisant de la figure du diable l’interface entre les deux systĂšmes de croyance Embrayeur de communication entre le systĂšme sorcellaire traditionnel et une dĂ©monologie moderne dominĂ©e par les rapports de force, le RĂ©veil du Diable participe surtout Ă  la rĂ©activation d’un schĂ©ma persĂ©cutif du Mal qui encourage, sur un mode euphĂ©misĂ©, l’accusation de l’autre proche aussi bien que la diabolisation de l’étranger, Ă  commencer par l’inconverti. C’est Ă  ce prix que le Diable devient l’agent double de la conversion » Mary 1998. Pour Birgit Meyer 1998b, qui parle depuis le Ghana, la dĂ©livrance, synonyme de rupture totale avec le passĂ© », comprend deux dimensions la premiĂšre correspond Ă  la dĂ©livrance du passĂ© personnel immediate past, la seconde Ă  une libĂ©ration de la malĂ©diction ancestrale » ancestral past, une conception persĂ©cutive » du Mal qui se transmet Ă  travers les gĂ©nĂ©rations. Ainsi, les tensions familiales Ă©tant attribuĂ©es Ă  la sorcellerie ou aux esprits ancestraux Akan spirits, siis buudu5, Mami Wata, la rupture avec le passĂ© implique parfois concrĂštement la rupture des liens familiaux. Comme le rĂ©sume la formule de Birgit Meyer 1998a 75 Le DĂ©mon Ɠuvre Ă  travers les liens du sang ; le Dieu chrĂ©tien les rompt. » C’est la plasticitĂ© de ces catĂ©gories qui permet de les maintenir aussi efficaces dans le registre pentecĂŽtiste que dans leur usage initial. Les biographies et les rĂ©cits de vocation des croyants-guĂ©risseurs sont Ă  l’image de cette plasticitĂ©, mĂȘlant Ă  la fois les ressources des guĂ©risseurs » traditionnels, de leur initiation Ă  l’islam ou de l’hĂ©ritage catholique, et celle de la puissance de l’Esprit. L’ambivalence des discours tient aux multiples sources qui sont mobilisĂ©es, mĂȘlĂ©es et bientĂŽt confondues au point, parfois, de brouiller les pistes qui ont amenĂ© Ă  ces discours complexes et parfois contradictoires. Sorcellerie et dĂ©monologie les plans de l’ennemi » 8L’influence du mouvement nĂ©o-pentecĂŽtiste pĂ©tri de littĂ©rature amĂ©ricaine a fortement modifiĂ© le paysage religieux ouest-africain depuis les annĂ©es 1990. Les pays anglophones comme le Ghana et le Nigeria jouent un rĂŽle majeur dans la diffusion des nouveaux concepts religieux tels que celui de la malĂ©diction ancestrale », selon lequel la conversion ne garantit pas la protection contre le pouvoir malĂ©fique des ancĂȘtres. Certaines Églises se sont appropriĂ© ces thĂ©ories, regroupĂ©es sous le terme de witchdemonology, qui comprend la lutte contre la sorcellerie, les dĂ©mons et la malĂ©diction ancestrale. Le terme witchdemonology est une combinaison d’un terme empruntĂ© Ă  la culture traditionnelle africaine, revisitĂ©e par l’anthropologie anglo-saxonne Evans-Pritchard, dĂ©signant la sorcellerie proprement dite, witchcraft – et non sorcery qui dĂ©signe la magie –, et du terme occidental demonology. La witchdemonology est le produit d’une hybridation, au sens de Bakhtin6, des notions occidentales et africaines relatives Ă  la sorcellerie Onyinah 2002 118. Les termes sorcier » witch et sorcellerie witchcraft sont utilisĂ©s comme des synonymes de dĂ©mon et de mauvais esprit evil spirit. Ainsi, les prĂȘtres traditionnels priests7 sont assimilĂ©s Ă  des sorciers. Cette thĂ©orie, inspirĂ©e entre autres par les amĂ©ricains Kenneth Hagin et Peter Wagner et sa notion de spiritual warfare, implique un lien direct entre les mauvais esprits anges dĂ©chus, les dĂ©mons et les catĂ©gories de gĂ©nies africains abosom pour les Ashanti qui peuplent la brousse forĂȘts, riviĂšres, arbres et l’imaginaire akan traditionnel. Cette vision du monde est Ă©galement vĂ©hiculĂ©e en Afrique par les ouvrages de Derek Prince 1998 148 pour qui la sorcellerie est la cinquiĂšme colonne dans la sociĂ©tĂ© et dans l’Église ». La possibilitĂ© qu’un chrĂ©tien, converti, ayant reçu le baptĂȘme d’eau mais aussi le baptĂȘme de l’esprit, reste victime de la malĂ©diction ancestrale qui pĂšse sur sa famille, est au cƓur du sujet Demons might be in a person before one became a Christian. Moreover, demons might enter a person after he/she has become a Christian » citĂ© par Onyinah 2002 116. L’évangĂ©liste amĂ©ricaine Rebecca Brown 1986 233 va plus loin, en suggĂ©rant que des dĂ©mons satanistes » infiltrent rĂ©guliĂšrement et dĂ©truisent des Ă©glises chrĂ©tiennes. Le sorcier c’est toujours l’autre, le proche. 9Le concept pentecĂŽtiste de la malĂ©diction ancestrale » implique que la consĂ©quence des pĂ©chĂ©s ou considĂ©rĂ©s comme tels commis par les anciens » retombe sur la lignĂ©e descendante. La thĂšse est relayĂ©e par certains pasteurs pentecĂŽtistes ghanĂ©ens comme Owusu Tabiri8. Elle a pour complĂ©ment pratique la nĂ©cessitĂ© de la dĂ©livrance associĂ©e Ă  la rupture des liens du sang breaking ou obubu en twi qui passe par l’identitfication des dĂ©mons ancestraux rooting the Devil » Tabiri 2004 63. Les effets de la malĂ©diction ancestrale sur une personne se traduisent par des maladies chroniques, des accidents psychopathologiques mental breakdown, des excĂšs Ă©motifs, des allergies, des pertes financiĂšres rĂ©pĂ©tĂ©es, une succession de morts non naturelles telles que les accidents ou les suicides dans l’entourage de la personne, des divorces rĂ©pĂ©tĂ©s ou des troubles du comportement tels de la mauvaise humeur, des excĂšs de colĂšre ou, Ă  l’inverse, une rĂ©serve excessive. Les traits de caractĂšre et les alĂ©as de la vie quotidienne sont ainsi interprĂ©tĂ©s comme les effets de la malĂ©diction ancestrale ce sont les plans de l’ennemi », les plans de sabotage » de Satan pour Ă©prouver les chrĂ©tiens et les dĂ©tourner de leur destinĂ©e prophĂ©tique », c’est-Ă -dire du plan de Dieu » pour chaque individu. 10Dans ses aspects pratiques, la dĂ©livrance consiste Ă  identifier les esprits dĂ©moniaques ou Ă  les reconnaĂźtre en fonction de symptĂŽmes dĂ©crits par la plupart des manuels de dĂ©livrance d’inspiration pentecĂŽtiste ou charismatique tels qu’en produisent les centres d’éditions africains, souvent ivoiriens ou nigĂ©rians Adekoya 1997. L’exorcisme proprement dit la fuite des dĂ©mons passe par l’imposition des mains et parfois une lutte au corps Ă  corps avec le possĂ©dĂ© », associĂ©es Ă  un usage pragmatique d’extraits bibliques, choisis en fonction de la maladie », comme l’illustre, dans le contexte catholique charismatique, le cĂ©lĂšbre traitĂ© de Meinrad P. Hebga9 1986 54-65, 2006. La sorcellerie en questions 11Ces techniques de lutte contre la sorcellerie se retrouvent au Burkina Faso, voisin du Ghana, associĂ©es Ă  des innovations qui empruntent aux mĂ©thodes du marketing et visent cette fois un public urbain et scolarisĂ©. À Ouagadougou, le Centre d’intercession, de dĂ©livrance et d’évangĂ©lisation CIDE a mis au point un questionnaire destinĂ© Ă  identifier les mauvais esprits » en mettant davantage l’accent sur la consultation individuelle comme prĂ©alable Ă  la dĂ©livrance collective qui aura lieu plus tard, lors du culte hebdomadaire. La consultation, qui se dĂ©roule souvent dans la cour du Centre, passe par un entretien avec le leader qui propose au malade » de rĂ©pondre Ă  une sĂ©rie de questions afin de cerner la cause de son mal. Les questions portent sur l’environnement familial de la personne y a-t-il un membre de votre famille, arriĂšre-grand-pĂšre ou arriĂšre-grand-mĂšre, tante ou oncle, qui fut prĂȘtre ou prĂȘtresse des fĂ©tiches, ou un roi, reine, y a-t-il un imam, un guerrier ? » ; les antĂ©cĂ©dents de santĂ© avez-vous une maladie hĂ©rĂ©ditaire ? » ; les appartenances religieuses antĂ©rieures avez-vous dĂ©jĂ  participĂ© Ă  des rites ? », avez-vous dĂ©jĂ  participĂ© Ă  des danses culturelles, danses des masques, [...] ou autre forme d’idoles, bonne aventure, magie blanche, horoscope, astrologie ? [...] Ă  des groupes transcendantaux tels que la Rose-Croix, Eckankar ? »10. 12Le patronyme d’une personne peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme une source de blocage » pour le converti Parce que ici, presque chaque famille est liĂ©e Ă  une idole, explique le pasteur les Sawadogo, les ZabrĂ©, les Ouedraogo, etc. On adore quelque chose, comme le cheval, et ça joue sur la vie chrĂ©tienne. Il y a aussi un animal que la famille Ă©vite Ă  cause d’un dieu. » Les patronymes mossi se rapportent en effet Ă  des personnages historiques de la dynastie des Ouedraogo, symbolisent des pouvoirs magiques sawadogo11 ou un hĂ©ritage ancestral ainsi zabrĂ© dĂ©signe les guerriers mais peut aussi ĂȘtre associĂ© Ă  un trait de caractĂšre12. Les porteurs de ces patronymes peuvent ĂȘtre victimes de cet hĂ©ritage ancestral perçu comme malfaisant, vecteur de la malĂ©diction ancestrale. La nomination de l’enfant fait partie de cet hĂ©ritage T’a t-on fait qu’un membre de ta famille s’est rĂ©incarnĂ© ? » Le prĂ©nom donnĂ© Ă  l’enfant peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme une source de blocage » lorsqu’il est donnĂ© en hommage Ă  un ancĂȘtre13 Ici c’est comme ça, ils disent que c’est le grand-pĂšre qui est revenu et quand la personne veut se convertir, il y a des problĂšmes, parce que ce sont des dĂ©mons de nĂ©cromancie, ce n’est pas la personne qui est revenue, mais chaque annĂ©e ils donnent un poulet, donc nous prions pour briser tout ça et pour que la personne ne croie plus Ă  ces choses-lĂ  », explique le pasteur. Ces types de blocages » sont attribuĂ©s Ă  une maladie spirituelle », qui affecte directement ou indirectement la relation Ă  Dieu et peuvent expliquer qu’un chrĂ©tien, mĂȘme une fois converti, soit poursuivi et tourmentĂ© par de mauvais esprits. La nĂ©cromancie Ă©vocation des morts pour apprendre d’eux l’avenir est un travestissement du pouvoir que les Mossi accordent aux rĂȘves dans lesquels un ancĂȘtre bienveillant peut apparaĂźtre afin de les prĂ©venir d’un danger imminent Voyez-vous des choses dans vos rĂȘves qui se rĂ©alisent ? », parfois assimilĂ© Ă  l’esprit de mort », qui fait voir des dĂ©funts en rĂȘve. Les pentecĂŽtistes assimilant le monde invisible », oĂč se donnent Ă  voir les ancĂȘtres – tantĂŽt bienveillants, tantĂŽt persĂ©cuteurs –, doubles14 et sorciers, Ă  une vaste supercherie dĂ©moniaque, interprĂštent comme la manifestation de dĂ©mons toute apparition en rĂȘve, voire les rĂȘves eux mĂȘmes Voyez-vous des choses que les autres ne voient pas ? Entendez-vous des voix ? » Ces facultĂ©s attestent de la proximitĂ© de dĂ©mons dans l’environnement de la personne qui entend des voix ce sont des dĂ©mons qui lui parlent mais qui peut aussi les voir, sans se douter qu’elle est seule Ă  voir ce que les autres ne voient pas. 13Le rapport Ă  l’argent joue Ă©galement un rĂŽle important dans l’interprĂ©tation symptomatologique que constitue l’entretien par questionnaire Avez-vous souvent des surprises d’argent ? » ; ĂȘtre dĂ©pensier ou Ă  l’inverse gagner de l’argent de maniĂšre inattendue si tu as 1 000 CFA et tu vois que ça devient 6 000 CFA, il y a quelque chose qui ne va pas », explique le pasteur. La perte d’objets ou Ă  l’inverse la dĂ©couverte d’objets inconnus perdez-vous des objets ? », avez-vous des biens qui ne vous appartiennent pas ? ». C’est quand tu vois dans tes habits ou tes bijoux quelque chose que tu n’as jamais achetĂ©, ça arrive ici », commente le pasteur. La perte d’objets est une Ă©tourderie attribuĂ©e aux dĂ©mons qui parasitent l’esprit de la personne mais il peut s’agir d’un vol destinĂ© Ă  diriger une attaque en sorcellerie, de mĂȘme que la dĂ©couverte d’un objet inconnu, placĂ© Ă  dessein au domicile de la personne. L’objet suspect est considĂ©rĂ© comme le vecteur de la puissance malĂ©fique. Enfin, certains traits de caractĂšre ou de la personnalitĂ© sont Ă©galement attribuĂ©s Ă  l’entremise de mauvais esprits Êtes-vous mĂ©chant, tĂȘtu, colĂ©reux, paresseux ? » Le fait par exemple d’agiter les doigts de maniĂšre mĂ©canique, indĂ©pendante de la volontĂ© », ajoute le pasteur, est considĂ©rĂ© comme un signe nerveux de dĂ©pendance envers un dĂ©mon. CaractĂ©rologie et dĂ©monologie vont de pair. 14Les appartenances religieuses antĂ©rieures du converti font aussi l’objet de l’interrogatoire. L’islam est considĂ©rĂ© comme une fausse doctrine » qui Ă©gare l’individu, notamment par son rapport de compromis avec les pratiques traditionnelles et la sorcellerie. La seule prĂ©sence d’un imam dans la famille du converti peut ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme la source de ses blocages ». Le caractĂšre confrĂ©rique de la Rose-Croix et de la Franc-maçonnerie alimente l’imaginaire sorcelleraire au point que, en Afrique de l’Ouest comme en Afrique centrale, leurs membres peuvent ĂȘtre accusĂ©s de dĂ©tenir les magies internationales les plus redoutables [...] on leur attribue pratiques incestueuses, homosexualitĂ©, meurtres rituels et d’autres pratiques symbolisant la sorcellerie la plus disruptive » Tonda 2002 51. De mĂȘme, les groupes transcendantaux » sont au minimum perçus comme des groupes sectaires dangereux. Au cĂŽtĂ© de ces mouvements notons l’allusion du pasteur aux expĂ©riences de la bonne aventure », de la magie blanche », voire de l’astrologie ou de l’horoscope, qui sont classĂ©es dans la catĂ©gorie des idoles de superstitions ». Le rĂ©sultat de ce questionnaire est censĂ© permettre de diagnostiquer l’origine du mal. Que le malade » soit un fidĂšle rĂ©gulier ou un non converti, le pasteur lui propose de se prĂ©senter au temple lors du prochain culte afin de recevoir une priĂšre de guĂ©rison. La mĂ©diation du questionnaire introduit une mutation importante par rapport aux procĂ©dures divinatoires traditionnelles. Le pasteur qui engage le dialogue oral dans un entretien par questionnaire se rĂ©fĂšre Ă  l’autoritĂ© de l’écriture et d’un savoir accumulĂ© dans les traitĂ©s et les manuels pratiques de lutte contre la sorcellerie. 15Le recours au questionnaire est une pratique rĂ©pandue dans d’autres MinistĂšres de dĂ©livrance tels que Gem Kakou Ministries, ministĂšre chrĂ©tien fondĂ© par le prophĂšte ivoirien Gem Kakou, qui propose sur son site Internet un test en ligne afin de savoir si l’on est ensorcelĂ©15. Les questions-test portent souvent sur les mĂȘmes thĂšmes. Des thĂšmes qui n’ont rien de spirituel », mais qui pointent les problĂšmes de la vie ordinaire la maladie ; l’environnement familial vous avez des gĂ©nies protecteurs dans votre vie ou votre famille » ; les traits de caractĂšre, qui renvoient, on l’a dit, Ă  la malĂ©diction ancestrale » vous ĂȘtes colĂ©reux ; vous oubliez beaucoup trop vite » ; le rapport Ă  l’argent vous dĂ©pensez plus que vous ne gagnez » ; la rĂ©ussite professionnelle vous Ă©chouez dans tout ce que vous entreprenez » ; les problĂšmes conjugaux vous vous sentez mieux en dehors de chez vous » ; ou encore l’image de soi vous avez une image nĂ©gative de vous », associĂ©e Ă  l’état psychologique dĂ©sintĂ©rĂȘt dans vos entreprises », qui renvoie aux rapports sociaux on vous tient des promesses qu’on ne respecte pas ; l’on vous emprunte mais l’on ne vous rembourse pas ; vous ĂȘtes sujet Ă  la tromperie ». Les alĂ©as de la vie quotidienne sont aussi considĂ©rĂ©s comme des indices vous ĂȘtes rĂ©guliĂšrement victimes d’accidents ; pertes rĂ©pĂ©tĂ©es et mystĂ©rieuses de vos objets ; vous arrivez rĂ©guliĂšrement en retard Ă  vos rendez-vous importants » ; ainsi que le dĂ©cĂšs de proches pertes rĂ©pĂ©tĂ©es et mystĂ©rieuses de membres de votre famille ». Une rĂ©ponse par l’affirmative Ă  une ou plusieurs de ces questions permet d’identifier l’esprit importun, voire plusieurs, responsables des maladies », blocages » ou malĂ©dictions » qui pĂšsent sur la personne. À l’issue du questionnaire en ligne sur le site Gem Kakou Ministries, quelles que soient les rĂ©ponses cochĂ©es par l’internaute, le rĂ©sultat qui s’affiche va dans le mĂȘme sens Si vous ĂȘtes concernĂ© par trois Ă©lĂ©ments de la liste du formulaire, vous subissez une influence dĂ©moniaque, si vous ĂȘtes concernĂ© par sept Ă©lĂ©ments de la liste du formulaire vous devez rĂ©agir urgemment. » Ainsi, par le biais de cette innovation technique, un chrĂ©tien ivoirien, Ă  Abidjan – ou Ă  Paris – peut Ă  tout moment se connecter et recevoir un diagnostic » en ligne16, mĂȘme s’il s’agit davantage d’une mĂ©thode de prosĂ©lytisme que d’un diagnostic individuel. 16La dĂ©livrance telle qu’elle se prĂ©sente aujourd’hui, individuelle ou collective, se met en scĂšne par une lutte au corps Ă  corps entre le leader, vecteur de la puissance divine, et le fidĂšle qui est souvent une femme17 dont l’agitation est interprĂ©tĂ©e comme la manifestation des dĂ©mons qui le tiennent ». Qu’elles soient intĂ©grĂ©es au culte hebdomadaire ou Ă  un rassemblement public type croisade, les sĂ©ances de dĂ©livrance sont de puissants attraits aussi bien pour les fidĂšles rĂ©guliers que pour les non convertis en quĂȘte de guĂ©rison ou de miracles. Le discours de diabolisation contribue Ă  Ă©vacuer la notion de responsabilitĂ© personnelle au profit des dĂ©mons et mauvais esprits que les pasteurs dĂ©noncent publiquement et incitent Ă  se manifester dans le temple montre-toi maintenant ! » afin de les combattre et de les chasser plie bagages, au nom de JĂ©sus ! », faisant ainsi l’économie de la confession. Ces appels rĂ©pĂ©tĂ©s provoquent les premiĂšres crises de possession au sein mĂȘme de l’assemblĂ©e dont les fidĂšles les plus agitĂ©s sont tirĂ©s de la foule et dĂ©posĂ©s auprĂšs du pasteur et de ses assistants qui entament une priĂšre de dĂ©livrance, laquelle tourne rapidement Ă  la lutte physique. PratiquĂ©e aussi bien par des pasteurs que par des prophĂštes-guĂ©risseurs, plus ou moins intĂ©grĂ©s Ă  l’orthodoxie, la dĂ©livrance repose sur une connaissance du mal qui peut ĂȘtre anticipĂ©e prophĂštes ou rĂ©vĂ©lĂ©e visionnaires et porte aussi bien sur des maux physiques » parmi lesquels la stĂ©rilitĂ© des femmes, l’épilepsie ou la folie » sont les plus frĂ©quemment nommĂ©s que spirituels », qui se traduisent par des Ă©checs Ă©conomiques et sociaux vie familiale, Ă©checs professionnels. Cette perception du mal tend Ă  dĂ©passer la sĂ©paration entre guĂ©rison physique, corporelle et guĂ©rison psychique, spirituelle » dans le traitement des corps souffrants ». 17Techniquement, la pratique de l’imposition des mains, inspirĂ©e de la Bible, s’est enrichie d’une large palette de techniques du corps plus ou moins brutales qui peuvent parfois mobiliser plusieurs personnes autour d’un possĂ©dĂ© ». Ainsi, la dĂ©livrance relĂšve moins d’un tribunal de la conscience que d’un combat total oĂč le pasteur s’engage fortement et physiquement » Mary 2001. Bien que trĂšs frĂ©quente, la chute Ă  terre est une manifestation physique de la dĂ©livrance plutĂŽt controversĂ©e, de mĂȘme que les cris, pleurs et vomissements Fancello 2006. Tout d’abord parce que l’agitation extrĂȘme laisse penser que la dĂ©livrance passe nĂ©cessairement par une lutte acharnĂ©e entre le Saint-Esprit et les mauvais esprits, tandis que les pasteurs affirment que, par la priĂšre et l’imposition des mains, le guĂ©risseur dĂ©livre du mal au nom de JĂ©sus », lequel suffit Ă  mettre en fuite les dĂ©mons. La fonction performative du langage qui caractĂ©rise ce discours de puissance », amplifie le pouvoir magique de guĂ©rison. Mais surtout, l’expulsion des mauvais esprits n’est assimilĂ©e Ă  aucune expulsion rĂ©elle, d’aucune substance interne. Outre la violence des techniques du corps mobilisĂ©es, la dĂ©livrance s’accompagne d’un discours aux mĂ©taphores guerriĂšres. Cette guerre spirituelle » est un combat contre le Mal, et les pasteurs sont des soldats de Dieu » Warriors of God », Prayer Warriors » qui pratiquent la chasse aux sorciĂšres ». Cependant, lĂ  encore, l’autre » agresseur ne se rĂ©duit pas aux sorciers mais englobe l’autre » les musulmans, les paĂŻens, l’étranger, le migrant, l’opposant politique, les amis, la famille. Toutes les sphĂšres de la vie familiale, sociale et politique peuvent ĂȘtre sources de suspicion. 18Au Burkina Faso, le prophĂšte » Emmanuel Sawadogo, dont l’itinĂ©raire est passĂ© par la CĂŽte-d’Ivoire, fait partie des croyants-guĂ©risseurs »18 les plus populaires du pays. Sa technique de dĂ©livrance plutĂŽt musclĂ©e » lui vaut le surnom de boxeur de la foi » Laurent 2003. Dans le registre de l’oralitĂ©, le prophĂšte Emmanuel invite les fidĂšles Ă  une confession prĂ©alable Ă  la dĂ©livrance. Ici, il faut dire son problĂšme » pour ouvrir la voie Ă  la guĂ©rison. Mais c’est le prophĂšte qui donne son diagnostic quasi invariable C’est des dĂ©mons » ya zina ». Comme beaucoup de croyants-guĂ©risseurs », Emmanuel s’inspire des thĂ©ories de la malĂ©diction ancestrale » Si tes parents Ă©taient colĂ©reux, ça se rĂ©pĂšte directement sur toi » mais en conclusion d’une sĂ©ance de dĂ©livrance, il ne manque pas d’évoquer aussi le recours au pardon comme voie d’apaisement des conflits. Le pardon est une condition nĂ©cessaire au salut et Ă  la dĂ©livrance Si vous avez de la colĂšre contre quelqu’un, il faut pardonner d’ici Ă  mercredi kwĂȘ soba sugri, de maniĂšre Ă  ce que l’on puisse prier pour vous. Si votre cƓur a la paix, Dieu exauce vos priĂšres. » L’impĂ©ratif de pardon consiste Ă  l’accorder, sans demande prĂ©alable et sans condition, Ă  la personne envers laquelle on nourrit un dĂ©sir de vengeance ou une rancune tenace, et vise Ă  rĂ©tablir l’entente » wum taaba », une forme de pacification des relations sociales par le compromis. La rancune » est une notion associĂ©e Ă  la sorcellerie et elle occupe une place centrale au cƓur du processus de guĂ©rison d’un prophĂšte-guĂ©risseur » ivoirien comme Sebim Odjo Nkpiti, la “rancune”, cette perversion intime des relations sociales les plus intenses [...] c’est le facteur socio-psychologique sans l’existence duquel il n’y aurait ni sorcellerie, ni malĂ©diction d’aucune sorte » AugĂ© 1990 41. Mais l’accusation directe n’est pas de mise dans les Églises. La dĂ©livrance a pour but de libĂ©rer les individus de l’entremise des dĂ©mons qui les tourmentent sans faire peser sur eux de responsabilitĂ© directe. Lorsque Emmanuel ordonne il faut pardonner », il veut rappeler que, dans un contexte chrĂ©tien cette fois, l’exorcisme des dĂ©mons de la colĂšre » passe par l’acte de pardon, c’est-Ă -dire la libĂ©ration de la rancune et le renoncement au cycle de la violence rĂ©ciproque. Pasteurs ou prophĂštes guĂ©risseurs 19En principe, les pasteurs de la Church of Pentecost, qui sont des fonctionnaires de l’Église », s’en tiennent Ă  un charisme de fonction et n’exercent pas de MinistĂšres de guĂ©rison, lesquels reposent le plus souvent sur le charisme personnel du leader, perçu comme peu orthodoxe dans une Église extrĂȘmement hiĂ©rarchisĂ©e. L’ambivalence des Églises et des pasteurs vis-Ă -vis de la sorcellerie et des esprits paĂŻens est variable selon les rĂ©gions d’Afrique. En Afrique centrale Congo, Gabon, les frontiĂšres entre christianisme et sorcellerie semblent plus floues qu’en Afrique de l’Ouest, au point que Au Congo, l’exorciste officiel de l’Église catholique, l’abbĂ© Isidore Malonga, consultĂ© pour ses pratiques de “guĂ©rison divine”, est dit appartenir Ă  une famille de grand nganga » Tonda 2000 55. Certes, l’Église catholique est souvent perçue comme davantage compromise avec les pratiques magiques traditionnelles que les Églises pentecĂŽtistes qui prĂŽnent la rupture totale avec la sociĂ©tĂ© traditionnelle, ses croyances et ses pouvoirs. Cependant, ces mĂȘmes Églises tolĂšrent des structures telles que les camps de priĂšre, de guĂ©rison et de dĂ©livrance, souvent fondĂ©s et dirigĂ©s par des personnages atypiques dont le charisme est inversement proportionnel Ă  leur statut hiĂ©rarchique. Tandis que l’Église ne leur reconnaĂźt rarement plus que le statut de diacre ou diaconesse ou au mieux d’ancien un statut fermĂ© aux femmes, ces leaders passent pour des personnalitĂ©s charismatiques dont la rĂ©putation internationale est bien supĂ©rieure Ă  celle des pasteurs et apĂŽtres de l’Église. De plus, la prioritĂ© donnĂ©e Ă  la quĂȘte de guĂ©rison donne Ă  la dĂ©livrance une dimension clientĂ©liste qui pervertit, aux yeux de l’Église, le rĂŽle des responsables de camps. 20Si la structure des camps de priĂšre est moins rĂ©pandue au Burkina Faso que dans les pays cĂŽtiers, on recense cependant plusieurs initiatives associĂ©es Ă  l’Église de PentecĂŽte ou, plus souvent, Ă  l’Église des AssemblĂ©es de Dieu. Plusieurs personnages, guĂ©risseurs plus ou moins populaires, occupent aujourd’hui la scĂšne burkinabĂš tels que le vieux Ahmado » dans la rĂ©gion de Kombissiri Église de PentecĂŽte, Emmanuel19 AD, ou parmi les femmes, Maman Suzanne » AD, accueillent des malades » de toutes confessions. Dans la capitale, le Centre international d’évangĂ©lisation de Mamadou Karambiri, l’un des personnages les plus populaires au Burkina Faso, reçoit les malades pour des priĂšres de guĂ©rison. Les croyants-guĂ©risseurs » rĂ©putĂ©s pour leur pouvoir de guĂ©rison » et parfois Ă©levĂ©s au rang de prophĂštes » par les fidĂšles, sont des vecteurs de la puissance divine, comme l’explique AndrĂ© Soubeiga 1999 129 La priĂšre, au nom de JĂ©sus, procĂšde d’un transfert de pouvoir, le Christ dĂ©lĂ©guant son pouvoir et sa capacitĂ© de guĂ©rison Ă  quiconque le sollicite. » Contrairement aux travailleurs de Dieu » dĂ©crits par Joseph Tonda 2002 158, dans le contexte du Congo et du Gabon et qui sont des lettrĂ©s d’un niveau moyen largement au-dessus des nganga [les guĂ©risseurs traditionnels] », les croyants-guĂ©risseurs » que nous avons rencontrĂ©s au Burkina Faso, en CĂŽte-d’Ivoire et au Ghana, sont en gĂ©nĂ©ral d’un niveau d’instruction minimal, souvent illettrĂ©s, et Ă  la diffĂ©rence des travailleurs de Dieu », ce ne sont jamais des pasteurs20. Ces croyants-guĂ©risseurs » sont plus proches de ce que Joseph Tonda 2002 99 appelle des identitĂ©s valorisĂ©es de convertis », engagĂ©s dans des carriĂšres de spĂ©cialistes de la guĂ©rison ». 21La formation du Centre d’intercession et de dĂ©livrance CIDE au Burkina Faso Ă  la fin des annĂ©es 1980 participe du dynamisme crĂ©atif des Églises africaines en matiĂšre de lutte contre la sorcellerie. Le CIDE se forma Ă  partir d’une cellule de priĂšre dans l’un des temples des AssemblĂ©es de Dieu du quartier de la Patte d’Oie secteur 15. La rĂ©putation grandissante de la cellule de priĂšre aboutit Ă  la crĂ©ation du Centre d’intercession, de dĂ©livrance et d’évangĂ©lisation CIDE au milieu des annĂ©es 1980. Dans sa dĂ©claration d’association du 4 juin 1992, le CIDE prĂ©cise qu’il condamne la sorcellerie » et fait de la dĂ©livrance son activitĂ© principale, recevant des fidĂšles de toutes confessions. Mais bientĂŽt, l’indĂ©pendance du CIDE par rapport Ă  l’Église des AssemblĂ©es de Dieu et l’aspect clientĂ©liste de la frĂ©quentation du Centre – la conversion n’étant pas une condition de la guĂ©rison –, l’Église tente de rĂ©intĂ©grer le Centre dans ses activitĂ©s Normalement, les AD ne reconnaissent pas la dĂ©livrance, mais quand ils ont vu comment on faisait, ils ont vu que c’était pas mauvais. Et ils ont acceptĂ© ça », raconte le pasteur en charge de l’assemblĂ©e du quartier Ouaga 2000 oĂč est installĂ© le temple actuel du CIDE. 22Ces prophĂštes guĂ©risseurs et guĂ©risseuses, inscrits dans un rĂ©seau rĂ©gional, apparaissent comme des personnages d’autant plus marginaux qu’ils ne se pensent pas eux-mĂȘmes comme Ă©troitement liĂ©s Ă  l’Église Ă  laquelle ils sont pourtant associĂ©s, ou affiliĂ©s, plus ou moins formellement. À l’image des prophĂštes nigĂ©rians tels que Babamuboni, Egunjobi ou Moses Orimolade dĂ©crits par John Peel 1968 et qui prĂȘchaient de village en village, sans vĂ©ritable affiliation aux Églises Ă©tablies, invoquant le seul pouvoir de la priĂšre. Cette indĂ©pendance relative vis-Ă -vis des Églises locales est un trait commun des guĂ©risseurs » qu’illustraient par exemple la posture du prophĂšte » Sebim Odjo vis-Ă -vis de l’Église mĂ©thodiste AugĂ© 1990, ou Harris en son temps Haliburton 1984. L’échantillon des fidĂšles du vieux » Ahmado, qui n’affiche pas la dĂ©nomination Église de PentecĂŽte », est en fait constituĂ© de villageois de PellĂ© et des quelques kilomĂštres alentour. Certains, comme Ahmado, Emmanuel, ou parmi les femmes, Sister Kate au Ghana, Maman Haggar en CĂŽte-d’Ivoire ou Maman Suzanne et Maman Doris au Burkina Faso, s’affirment avant tout comme des fidĂšles ayant reçu un pouvoir divin dont les voies court-circuitent la hiĂ©rarchie de l’Église au sein de laquelle ils n’avaient souvent aucun statut. Pour donner libre cours Ă  leur don de guĂ©rison, vis-Ă -vis duquel les Églises telles que l’Église de PentecĂŽte ou les AssemblĂ©es de Dieu ont une attitude mitigĂ©e, certains leaders rĂ©vĂ©lĂ©s » ont choisi de prendre leur indĂ©pendance, tel Owusu Tabiri, fondateur du Bether Prayer Camp, qui quitta la Church of Pentecost du Ghana pour fonder la Bethel Prayer Church en 1995. Cette rupture alimenta un long dĂ©bat au sein de la Church of Pentecost sur l’importance de la dĂ©livrance dans la lutte contre la sorcellerie Baidoo 1995. Exorcisms Are a Part of our Culture » 23L’idĂ©e selon laquelle la sorcellerie a considĂ©rablement augmentĂ©e durant ces derniĂšres dĂ©cennies est entretenue dans le milieu pentecĂŽtiste par la plupart des ouvrages de la littĂ©rature Ă©vangĂ©lique essentiellement produite par les Ă©vangĂ©listes amĂ©ricains Prince 1998 ; Joyner21 2004 106. Cette perception est en partie due au fait que dans le milieu pentecĂŽtiste le champ de la sorcellerie s’étend Ă  toutes les formes d’interactions sociales et ne concerne pas spĂ©cifiquement le continent africain When we try to use emotional pressure to manipulate others, it is a basic form of witchcraft [...]. Many of the manipulative tactics promoted as sales techniques in marketing are basic forms of witchcraft » Joyner 2004 108. SĂ©rie d’ouvrages chrĂ©tiens, amĂ©ricains et africains portant sur la sorcellerie 24 La globalisation du champ de la sorcellerie aboutit Ă  la production de nouvelles catĂ©gories d’esprits Ă  caractĂšre psychologique qui se dĂ©clinent Ă  volontĂ© esprit du doute » proche du Spirit of confusion Joyner 2004 106, esprit du chĂŽmage », esprit du souci », esprit de l’ennemi », et bien sur esprit de sorcellerie ». Les entreprises prophĂ©tiques de rationalisation » du diagnostic se nourrissent des sciences occultes » qui sont, au mĂȘme titre que les imaginaires initiatiques de la Rose-Croix ou la Franc-maçonnerie, des produits Ă©sotĂ©riques qui excitent l’imaginaire africain et rĂ©veillent les cosmogonies locales. Attribuer des pouvoirs aux astres, en faire des marqueurs d’identitĂ©, transformer le signe de naissance en un double », solidaire de traits de caractĂšre et dĂ©finissant la personnalitĂ© d’un individu. La lecture d’une rĂ©ussite matĂ©rielle ou professionnelle en termes astrologiques dĂ©finissant les atouts d’une personne placĂ©e sous ce signe assimile ces jeux Ă©sotĂ©riques Ă  des productions symboliques du pouvoir blanc que Joseph Tonda 2002 50 appelle le GĂ©nie Blanc ». La perception africaine du GĂ©nie blanc fait de l’évolution matĂ©rielle et technologique des sociĂ©tĂ©s occidentales le produit de ses sciences occultes Les produits du gĂ©nie scientifique que sont les voitures, les avions, les appareils Ă©lectromĂ©nagers, les moyens de tĂ©lĂ©communications, bref, toutes ces choses “extraordinaires” au sens aussi de choses fascinantes qui suscitent envie, frustrations, jalousies, haines familiales ou de classe, dĂ©sirs de mort de l’autre possĂ©dant, etc. Pour la pensĂ©e “indigĂšne” ordinaire, ces objets traduisent la nature extraordinaire de leur producteur, le “Blanc” [...] ce n’est pas par hasard si des histoires de sorcellerie font de ces choses des moyens par excellence de l’action des sorciers. » 25L’implantation d’Églises africaines » sur le sol europĂ©en participe de cette globalisation de l’imaginaire sorcellaire. Certains aspects indigĂšnes » de leur culture pentecĂŽtiste » transe, dĂ©livrance, guĂ©rison miraculeuse contribuent Ă  stigmatiser, non sans amalgame, l’irruption de ces Églises noires » dans le paysage religieux europĂ©en. Des affaires rĂ©centes comme celle qui a Ă©clatĂ© Ă  Londres Ă  propos de la mort d’un enfant lors d’une sĂ©ance de dĂ©livrance dans une Église congolaise », remettent ces sujets sur la scĂšne mĂ©diatique et font porter le soupçon sur l’ensemble des Églises pentecĂŽtistes africaines assimilĂ©es aux sectes ». Ces pratiques, qualifiĂ©es de satanisme »22 et de magie noire »23 par la presse, ont fait l’objet d’un rapport de la police britannique, restituĂ© par la BBC en juin 200524, dans une affaire concernant l’arrestation de deux femmes accusĂ©es de tortures Ă  l’égard d’une fillette originaire d’Angola. AccusĂ©e de sorcellerie, la fillette fut lacĂ©rĂ©e au couteau, battue et affamĂ©e, en guise de traitement » ill-treatment », des poivrons du Chili furent frottĂ©s dans ses yeux jusqu’à ce qu’elle avoue. Notons que, dans ces circonstances dramatiques qui aboutissent parfois Ă  la mort d’un enfant, l’enjeu, c’est toujours l’aveu et non pas la mise Ă  mort du sorcier. Au domicile de la femme qui s’était chargĂ©e de faire entrer la fillette en Angleterre en la faisant passer pour sa fille, la police trouve des documents relatifs au pĂ©chĂ© sin, au diable devil et Ă  la sorcellerie witchcraft, ainsi qu’un journal personnel, Ă©crit en lingala There was indeed a prophesy she has ndoki [the lingala word for witchcraf] »25. Cette histoire se fait l’écho d’une affaire similaire, le cas d’une fillette originaire de CĂŽte-d’Ivoire, accusĂ©e d’ĂȘtre possĂ©dĂ©e, et dĂ©cĂ©dĂ©e des suites des blessures infligĂ©es au cours d’une sĂ©ance de dĂ©livrance. Ces affaires ont attirĂ© l’attention des autoritĂ©s britanniques sur les Églises africaines, notamment le MinistĂšre de combat spirituel26, un MinistĂšre de dĂ©livrance fondĂ© Ă  Kinshasa en 199327. Le pasteur congolais Modeste Muyulu, prĂ©sident de la Pentecostal Church of the French Christian Community Bethel CCFB, affirme Exorcisms are a part of our culture. » Dans cette Église, composĂ©e d’une centaine de membres originaires d’Angola et du Congo, le pasteur justifie les pratiques de dĂ©livrance par la menace que reprĂ©sentent certains individus ensorcelĂ©s » There are people who are used by the devil to bring a curse or bad luck to other people’s lives, even to kill them »28. Les enquĂȘtes menĂ©es par la police britannique, avec l’aide d’un expert africaniste », font Ă©tat de la disparition de centaines d’enfants alimentant un trafic d’enfants africains. À travers ces affaires de sorcellerie » l’on assiste Ă  la transnationalisation du phĂ©nomĂšne de l’accusation de sorcellerie, comme le suggĂšrent les travaux produits Ă  partir d’autres terrains europĂ©ens ter Haar 2007 6, 103. 26Ces violences de l’aveu ne sont pas sans Ă©voquer le phĂ©nomĂšne des enfants-sorciers » observĂ© au Congo Kinshasa depuis plusieurs annĂ©es, oĂč les Églises du RĂ©veil, ou certains prophĂštes qui s’en rĂ©clament, jouent un rĂŽle non nĂ©gligeable. La mise en cause des enfants est un phĂ©nomĂšne qui s’impose Ă  la rĂ©alitĂ© quotidienne du milieu urbain congolais De Boeck 2000 34. Tenu pour responsable d’une maladie, d’un dĂ©cĂšs ou d’un divorce, l’enfant du diable » est accusĂ© de sorcellerie et devient la victime expiatoire du malheur de sa famille. S’il arrive que certains soient tuĂ©s par des membres de la famille ou des voisins », la plupart des enfants accusĂ©s sont simplement rejetĂ©s et reniĂ©s » ibid. 3929. Dans ce contexte, certaines Églises pentecĂŽtistes accueillent les enfants-sorciers, mais le diagnostic est souvent effectuĂ© par les pasteurs eux-mĂȘmes, parfois Ă  la demande de la famille. Les prophĂštes ou pasteurs nganga contribuent Ă  faire exister le phĂ©nomĂšne de la sorcellerie enfantine La contribution des Églises joue un rĂŽle crucial dans l’incessante production et la mise en Ă©vidence croissante de la figure du sorcier dans l’imaginaire collectif » ibid. 40. Dans leur lutte anti-sorciĂšre, ces Églises s’exposent aux procĂšs engagĂ©s par des institutions civiles Ă©ventuellement laĂŻques ou sociales qui pointent de telles pratiques et rĂ©cupĂšrent les enfants incriminĂ©s30. Le phĂ©nomĂšne des enfants-sorciers illustre ainsi le paradoxe d’Églises prises elles-mĂȘmes dans le piĂšge de l’accusation de sorcellerie alors qu’elles prĂ©tendent lutter contre les sorciers. Entre le sorcier et le contre-sorcier, l’inversion des places est une constante. Le cercle du pasteur et du sorcier 27La reprĂ©sentation de la sorcellerie comme composante de la modernitĂ© africaine Ă©tablit un lien fort entre les univers de croyances multiples qui travaillent les sociĂ©tĂ©s contemporaines. Le combat spirituel » contre le Mal est devenu une catĂ©gorie gĂ©nĂ©rique, qui en fait une rĂ©alitĂ© quotidienne et le principe explicatif de la souffrance et du malheur. La circulation des pratiques d’exorcisme et des affaires de sorcellerie entre l’Afrique et l’Europe participe de cette globalisation de l’imaginaire selon lequel le diable est partout et nulle part ». 28Mais cette globalisation opĂšre en mĂȘme temps des changements significatifs sur le fond et sur la forme. Ainsi le recours au diagnostic, oral ou Ă©crit, par la confession tĂ©lĂ©guidĂ©e ou le questionnaire plus ou moins directif, permet d’inscrire le dĂ©mon dans l’examen systĂ©matique des petits maux du quotidien autant que dans l’univers de l’occulte, en pratiquant une sorte de psychologisation des esprits Csordas 1997. Le recours au questionnaire est une pratique inspirĂ©e des manuels pratiques de dĂ©livrance – qui n’est pas sans rappeler les manuels de confession et les interrogatoires pĂ©nitentiels de l’évangĂ©lisation missionnaire – mais sa diffusion sur l’Internet apparaĂźt comme une innovation qui contribue Ă  transcender les frontiĂšres entre la coutume, le livre et le web, sans pour autant faire l’économie du passage obligĂ© par une communautĂ© de dĂ©livrance. Dans la plupart des Églises pentecĂŽtistes, les accusations de sorcellerie dĂ©signent souvent un membre de la famille proche, l’oncle maternel, le mari jaloux ou la femme rivale, mais elles ne dĂ©bouchent pas sur l’inversion de la violence ou le passage Ă  l’acte. NĂ©anmoins comme le souligne AndrĂ© Mary 1998 Toutes les lectures chrĂ©tiennes qui s’efforcent de donner une version acceptable de la sorcellerie comme facteur de rĂ©gulation des conflits intra-familiaux, instrument d’éradication de la violence et de rĂ©intĂ©gration du sorcier dans la communautĂ©, misent sur les vertus libĂ©ratrices de l’aveu et sur l’apaisement du pardon mais passent sous silence les ressources curatives de la dĂ©charge d’agressivitĂ© sur un autre persĂ©cuteur. » Mais depuis peu, le phĂ©nomĂšne des enfants-sorciers » ou des enfants du Diable » opĂšre, dans un contexte urbain d’insĂ©curitĂ© et d’infortune, une inversion inquiĂ©tante du soupçon et des rĂšgles du jeu de l’accusation qui ciblaient traditionnellement les vieux du village, voire les ancĂȘtres disparus, les femmes Ă©tant toujours assignĂ©es Ă  leur place de sorciĂšres ». Ainsi, la globalisation des catĂ©gories de la sorcellerie et de la dĂ©livrance amĂšne Ă  prendre en compte les formes de renouvellement de ces pratiques, entre autres, par le jeu des questionnaires qui viennent court-circuiter la confession, ou l’usage de l’Internet qui participe de la dĂ©territorialisation des pratiques comme des esprits. Haut de page Bibliographie Adam, Nouvelles considĂ©rations dubitatives sur la thĂ©orie de la magie et de la sorcellerie en Afrique noire », L’Homme, 177-178 279-302. Adekoya, 7 Ă©tapes pour recevoir la dĂ©livrance, Abidjan, Éditions World Wide Jesus Crusade. Ashforth, Witchcraft, Violence, and Democracy in South Africa, Chicago, University of Chicago Press. AugĂ©, Nkpiti, la rancune et le prophĂšte, Paris, Éditions de l’EHESS. Baidoo, S. K. ApĂŽtre1995 What is Deliverance ? », Pentecost Fire, 104 18-20. Bakhtin, M. [1981] The Dialogic Imagination, Austin, University of Texas Press. 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Haut de page Notes 1 Les expressions pour les dĂ©signer sont nombreuses Birgit Meyer 1999 utilise les appellations healing centre ou healing station, tandis que Larbi 2001 utilise celles de healing camps, prayer camps ou prayer centres et Mensa Otabil ICGC celle de Solution centre. 2 Dans le cadre de l’École des hautes Ă©tudes en sciences sociales, de l’unitĂ© de recherche 107 Constructions identitaires et mondialisation » de l’IRD, ainsi que du programme RĂ©seaux transnationaux et nouveaux acteurs religieux en Afrique de l’Ouest », de l’Institut français de recherche en Afrique IFRA d’Ibadan Nigeria. 3 Directeur des Missions internationales de 1991 Ă  1996, l’ApĂŽtre Opoku Onyinah est membre du Conseil exĂ©cutif international et le recteur du collĂšge biblique de l’Église depuis 2002. Il est donc au centre de l’instance qui tranche sur la politique globale de la Church of Pentecost et de celle qui la diffuse. 4 Cette Église est en partie le rĂ©sultat de l’affiliation du jeune ghanĂ©en Peter Anim avec l’Apostolic Church Bradford auprĂšs de laquelle Anim sollicita l’envoi d’un missionnaire en Gold Coast. La collaboration entre Anim et McKeown prit fin Ă  la suite du dĂ©part d’Anim qui, influencĂ© par le fondamentalisme amĂ©ricain, condamnait le recours Ă  la mĂ©decine au profit de la priĂšre de guĂ©rison imposition des mains. Pour une analyse dĂ©taillĂ©e voir Fancello 2006. 5 Si dans la langue mörĂ©, les pasteurs utilisent l’expression siis buudu, en français ils utilisent plutĂŽt l’expression esprits de la famille » au sens de famille Ă©largie » qui n’est pas le strict Ă©quivalent du lignage mais qui renvoie Ă  une catĂ©gorie globalisĂ©e » de la sorcellerie dont la langue française est, avec l’anglais, l’un des vecteurs. 6 In historical, organic hybrids it is not only two languages but also two socio-linguistic thus organic world views that are mixed with each other ; but in such situations, the mixture remains mute and opaque, never making use of conscious contrast and oppositions » Bakhtin 2002 360. 7 L’usage du terme anglais priest par les Ashanti renvoie en fait Ă  l’okĂČmfĂł pl. akĂČmfĂł, fĂ©ticheur charmer, sorcerer lit. celui qui est possĂ©dĂ© », composĂ© avec akĂłm, Ă©tat de celui qui est possĂ©dĂ© ou fetish-dance. Il communique avec les abosom et interprĂšte leur message. 8 Dissident de la Church of Pentecost 1995 et fondateur du Bethel Prayer Ministry International. 9 Meinrad P. Hebga est un prĂȘtre camerounais du courant charismatique, formĂ© Ă  la thĂ©ologie Ă  Rome, mais aussi Ă  la philosophie Sorbonne ainsi qu’à la psychologie gĂ©nĂ©rale et pathologique. Son ouvrage, dĂ©jĂ  classique, qui se prĂ©sente comme un manuel de lutte contre la sorcellerie et participe Ă  la production de mĂ©thodes de diagnostic en matiĂšre de sorcellerie, veut offrir, selon la prĂ©sentation de l’auteur, des moyens spirituels de lutte contre les forces du mal ». 10 Eckankar est un groupe spirituel transcendantal fondĂ© en 1965 par l’AmĂ©ricain Paul Twitchell. Il a son siĂšge Ă  Chanhassen Minnesota. Eckankar est prĂ©sent Ă  Ouagadougou. 11 De sa-wadgho, nuage. AssociĂ©s aux nyĂŽnĂŽsĂ©, les enfants de la terre » tĂȘng-biisi », ils ont le pouvoir de se transformer en vent et de dĂ©clencher tempĂȘtes et tourbillons silmandĂ©. 12 De zab, dispute, querelle, comme dans la phrase a nĂŽga zabrĂ© il aime la dispute. Par extension, combat, bataille, guerre. Bao WĂȘnnaam zabrĂ© chercher, provoquer la colĂšre de Dieu. 13 Notons que le terme rĂ©incarnĂ© » utilisĂ© par les pasteurs est inadĂ©quat car l’ancĂȘtre dont on transmet le nom, le grand-pĂšre par exemple, est davantage un esprit protecteur que la rĂ©incarnation Ă  travers le nouveau-nĂ©. 14 Siiga chez les Mossi, le double, qui est aussi la force vitale, est Ă  la fois sujet et objet de sorcellerie, tandis que chez les Akan, c’est le sunsum qui est l’agent de la sorcellerie mais c’est le kra, force vitale, que les sorciers attaquent. Notons que dans les catĂ©gories pentecĂŽtistes, et respectivement dans les langues mörĂ© et twi, l’expression qui dĂ©signe le Saint-Esprit est composĂ©e des termes Siig-sĂŽngo et Onyame Sumsum, faisant des deux entitĂ©s ambivalentes une composante de l’Esprit divin. 15 Y a-t-il une malĂ©diction dans ta vie ? Test en ligne », qui propose un lien avec le site , Ă©galement gĂ©rĂ© par GKM. 16 Gem Kakou Ministries est implantĂ© simultanĂ©ment Ă  Abidjan et Paris. EnregistrĂ© en fĂ©vrier 2006 au Journal Officiel, il organise en juillet 2006 l’École de la dĂ©livrance » Ă  Paris, un cycle d’enseignements destinĂ© Ă  briser les malĂ©dictions ». 17 Pour une Ă©tude sur le rapport spĂ©cifique des femmes Ă  la dĂ©livrance, voir Fancello 2005. 18 L’expression est de Laurent 1999, 2003 312 qui dĂ©finit le croyant-guĂ©risseur » comme un fidĂšle ayant reçu de l’Esprit saint le don de guĂ©rison, auquel s’ajoute frĂ©quemment, selon les cas, le don de discernement, le don de parler en langues [...], les dons de puissance, d’interprĂ©tation et de prophĂ©tie » et trouve plus appropriĂ© de les nommer croyant wĂ«nnam no-rĂšsa l’interprĂšte de Dieu ou wĂ«nnam tum-tuumda celui qui fait le travail de Dieu ». 19 Laurent 1999, 2003, plus familier de l’Église des AssemblĂ©es de Dieu au Burkina Faso, a consacrĂ© une partie de ses analyses sur les croyants-guĂ©risseurs » Ă  Emmanuel aujourd’hui devenu un personnage public. 20 À l’exception de Mamadou Karambiri, fondateur du Centre international d’évangĂ©lisation, ou de Yao Bio en CĂŽte-d’Ivoire, dissident de l’Église de PentecĂŽte, ou encore de Owusu Tabiri au Ghana, Ă©galement dissident de la Church of Pentecost et fondateur de sa propre Église. Ces pasteurs » trouvent davantage leur lĂ©gitimitĂ© en tant que fondateurs d’Église » qu’au sein d’une hiĂ©rarchie ecclĂ©siale. 21 L’AmĂ©ricain Rick Joyner est fondateur des Morning Star Publications and Ministries. 22 , juillet 2005. 23 Jeune Afrique, AFP/ 16 juin 2005. 24 Girl tortured “for being a witch” », BBC News, 9 may 2005. 25 “Witch” child cruelty trio guilty », BBC News, 3 June 2005. Le terme ndoki dĂ©signe le pouvoir sorcier dans la langue lingala qui couvre une partie de l’Afrique centrale. 26 Le nom de cette Église, qui n’apparaĂźt pas dans les articles diffusĂ©s par la BBC en juin 2005, fut dĂ©voilĂ© au cours d’un documentaire intitulĂ© L’enfant du diable Allemagne, Royaume Uni, Congo, 2006, 43 mn, WDR, rĂ©alisĂ© par Sacha Mirzoeff, diffusĂ© le mardi 19 septembre 2006, sur Arte. Au cours de ce documentaire, Richard Hoskins, africaniste expert auprĂšs de la police britannique, suit la trace d’un jeune garçon, nĂ© en Angleterre de parents congolais, envoyĂ© Ă  Kinshasa par sa famille afin d’ĂȘtre exorcisĂ©. 27 FondĂ© par Elisabeth Olangi, le MinistĂšre de combat spirituel est associĂ© Ă  la Fondation Olangi-Wosho qui a son siĂšge Ă  Kinshasa. 28 Exorcisms are part of our culture », BBC News, Friday 3 June, 2005. 29 En juin 2001, de prĂ©sumĂ©s sorciers de cinq ou six ans ont Ă©tĂ© massacrĂ©s dans la rĂ©gion d’Aru, dans le nord-est du pays, Ă  la frontiĂšre de l’Ouganda, voir LibĂ©ration du 18 juillet 2001. 30 Voir Ă  ce sujet le reportage de Élisabeth Burdot et Édith van Hove, La nouvelle stratĂ©gie du Diable, RTBF, de page Pour citer cet article RĂ©fĂ©rence papier Sandra Fancello, Sorcellerie et dĂ©livrance dans les pentecĂŽtismes africains », Cahiers d’études africaines, 189-190 2008, 161-183. RĂ©fĂ©rence Ă©lectronique Sandra Fancello, Sorcellerie et dĂ©livrance dans les pentecĂŽtismes africains », Cahiers d’études africaines [En ligne], 189-190 2008, mis en ligne le 08 avril 2011, consultĂ© le 21 aoĂ»t 2022. URL ; DOI Haut de page Auteur Sandra Fancello Centre d’études des mondes africains, CNRS, Paris. Du mĂȘme auteur Le mĂ©tier d’anthropologue Ă  l’épreuve de la sorcellerie PrĂ©face de Joseph Tonda. Paris, L’Harmattan, 2016, 345 p., bibl. Paris, L’Harmattan Connaissance des hommes », 2011, 346 p., bibl. Paru dans Cahiers d’études africaines, 215 2014 Trenton, Africa World Press, 2007, biblio., index, 348 p. The Church of Pentecost Ghana Paru dans Cahiers d’études africaines, 172 2003 Tous les textes... Haut de page Droits d'auteur © Cahiers d’Études africainesHaut de page
Ainsi la premiĂšre Ă©tape de votre voyage avec les sorciĂšres est de rĂ©flĂ©chir Ă  ce que cela signifie pour vous d’ĂȘtre une sorciĂšre. Vous devez comprendre ce qui vous attire vers le mĂ©tier. Vous avez peut-ĂȘtre toujours ressenti cela, une sorte d’autre monde, en contradiction avec la vie trĂ©pidante que nous vivons tous. La magie noire est beaucoup plus pratique que vous ne pouvez l’imaginer. En Europe comme en Afrique, et partout dans le monde d’ailleurs, des gens se tournent vers les magiciens pour traiter les Ă©nergies qui influent nĂ©gativement sur leurs vies Ă  travers les factures, le mauvais Ɠil, la magie noire et les rituels qui s’y rapportent. Victimes de malĂ©dictions comment les reconnaĂźtre ? Les effets d’un rituel ou d’une malĂ©diction peuvent ĂȘtre trĂšs nĂ©fastes pour la vie d’une personne, surtout si elle est sensible Ă  l’énergie. Cela arrive Ă  tout le monde mĂȘme si on se dit incrĂ©dule face Ă  certaines choses. Cette activitĂ© obscure n’épargne personne. Et pire, les personnes qui n’ont pas une vision claire et se disent rationnelles, ont souvent tendance Ă  maintenir plus vivant l’effet de la magie noire. Il y a des forces subtiles de diverses sortes et le plus judicieux est de choisir avec laquelle de ces forces vous avez l’intention de travailler dans votre vie, par vos actions et vos choix. Il est difficile de croire que les gens dont cela peut faire du mal aux autres. La tendance dans nombreux cas consiste Ă  neutraliser ces attaques nĂ©gatives. Pour reconnaĂźtre les victimes de la magie noire, il faut observer qu’elles ont des troubles se dĂ©pendance religieuse et une libertĂ© limitĂ©e par ce sentiment de prĂ©diction. Elles vivent en permanence avec la peur et l’incertitude, interprĂštent a la limite de la pathologie tout ce qui leur arrive. Elles ont besoin de rĂ©fĂ©rences et d’explication Ă  tout ce Neutraliser l’effet nĂ©gatif de la sorcellerie qui rĂ©agit sur l’esprit Dans des cas simples, la bĂ©nĂ©diction peut suffire Ă  libĂ©rer la personne. Le plus grand risque est souvent celui de passer d’un piĂšge Ă  l’autre car la personne qui subit cette influence est trĂšs vulnĂ©rable et effrayĂ©e. C’est prĂ©cisĂ©ment cette condition qui fait d’elle une victime. Les magiciens qui exercent pour le bon le font avec leurs croyances et leurs convictions. Cette attitude est pourtant trĂšs limitĂ©e par rapport au pouvoir rĂ©el qui peut ĂȘtre exercĂ© dans des situations similaires. Pour le cas des prostituĂ©es nigĂ©rianes, victimes d’envoĂ»tement perpĂ©trĂ©es par le rĂ©seau de criminels qui les exploitent, par exemple, prĂ©sentaient des symptĂŽmes de vulnĂ©rabilitĂ© trĂšs inquiĂ©tants selon les travailleurs sociaux. Victimes de la magie noire, elles ne sont plus capables d’avoir ne serait-ce qu’une pensĂ©e positive tellement elles sont possĂ©dĂ©e par des esprits malĂ©fiques. La magie noire est l’ensemble de ce qui est nĂ©gatif et est soutenue par des rituels avec l’intention de faire le mal aux autres ou Ă  une personne prĂ©cise. Le but de la sorcellerie et toujours de dĂ©truire des famille surtout la mĂšre pour ne plus produire de descendance. Les gens qui on un faible Ă©tat d’esprit sont les plus souvent facile Ă  ĂȘtre envoĂ»tĂ© par les sorciers car ils ont souvent des failles et sont faciles Ă  convaincre pour sortir de leurs problĂšmes.

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PubliĂ© le 27 septembre 2018 Ă  13h35, mis Ă  jour le 27 septembre 2018 Ă  13h58ANTISOCIAL - L'imaginaire collectif et les films ont fait des sociopathes des tueurs sanguinaires. Pourtant, "sociopathie" ne rime pas toujours avec violence. LCI s'est intĂ©ressĂ© Ă  ce trouble de la personnalitĂ© qui toucherait jusqu'Ă  4% de la population personnes sans aucune conscience ni remords, en aucun cas intĂ©ressĂ©es par le bien-ĂȘtre des autres et prĂȘtes Ă  tout pour arriver Ă  leurs fins... Cela paraĂźt presque improbable, mais un individu sur vingt-cinq serait ce qu'on appelle un sociopathe selon certaines Ă©tudes. La sociopathie est reconnue comme un trouble mental, qui affecte une personne possĂ©dant "une approche avancĂ©e de la manipulation, de l’exploitation et de la violation des droits d’autrui", selon la description faite par la BibliothĂšque Nationale de MĂ©decine des Etats-Unis. Sa caractĂ©ristique essentielle ? Une tendance gĂ©nĂ©rale Ă  l'indiffĂ©rence et au mĂ©pris. "Quelle que soit l’action Ă©goĂŻste, paresseuse, immorale ou douloureuse que vous avez faite, le spectre de la responsabilitĂ© ne vous effleure pas", nous explique Cyril Malka, hypnothĂ©rapeute et % des chefs auraient des tendances sociopathesSi les sociopathes sont dĂ©nuĂ©s d'empathie, ils ont aussi d'autres caractĂ©ristiques marquantes ce sont des personnes trĂšs loquaces, des charmeurs en somme. Ils ont une trĂšs haute opinion d'eux-mĂȘmes. "Leurs Ă©motions sont complĂštement superficielles. A part la colĂšre, les autres n'existent pas", dĂ©veloppe notre spĂ©cialiste. Enfin, ce sont de grands manipulateurs et des menteurs compulsifs. Autant d'Ă©lĂ©ments qui font de ces ĂȘtres aimant avoir le contrĂŽle sur les autres de grands ambitieux au travail, avec toutes les capacitĂ©s pour atteindre un poste Ă  haut niveau. D’aprĂšs plusieurs Ă©tudes scandinaves d'ailleurs, jusqu’à 10 % des chefs auraient des tendances sociopathes. Un patron qui vous mĂšnerait la vie impossible et qui ferait rĂ©gner l'angoisse et l'insĂ©curitĂ© au bureau "Des arrangements, que vous pensiez ĂȘtre clairs et nets, ne sont apparemment plus valables. Les collĂšgues sont dressĂ©s les uns contre les autres. À un moment, vous ĂȘtes le chouchou, l’instant d’aprĂšs, on vous dĂ©molit", dĂ©crit Cyril Malka. En d'autres termes, il est charmant tant que vous ĂȘtes son pion, mais devient dĂ©testable lorsque vous n'avez plus d'utilitĂ© pour aussiDes causes incertaines, mais un destin tout tracĂ©Les causes de la sociopathie restent encore inconnues. Cependant, des facteurs biologiques et gĂ©nĂ©tiques pourraient ĂȘtre responsables. D'aprĂšs une Ă©tude de 2013, publiĂ©e par Frontiers in Human Neuroscience et menĂ©e sur 121 dĂ©tenus amĂ©ricains ĂągĂ©s de 18 Ă  50 ans, le manque d’empathie du sociopathe serait d’ordre neurologique. L'expĂ©rience consistait Ă  montrer Ă  des cobayes des scĂšnes illustrant des douleurs physiques, par exemple un doigt coincĂ© dans une porte ou un orteil coincĂ© sous un objet lourd. On leur a ensuite demandĂ© d'imaginer ce qu'ils ressentiraient si cela leur arrivait personnellement, mais Ă©galement Ă  d'autres personnes. Les tests ont dĂ©montrĂ© que lorsque les personnalitĂ©s hautement sociopathes pensent Ă  leur souffrance, elles expriment une certaine sensibilitĂ©, mais que quand la souffrance concerne un autre individu, les rĂ©gions liĂ©es Ă  l’empathie ne fonctionnent pas. On naĂźt sociopathe, on ne le devient pasCyril Malka Certains spĂ©cialistes parlent d'un trouble qui serait liĂ© Ă  des traumatismes de l'enfance, mais pour Cyril Malka, "on naĂźt sociopathe, on ne le devient pas. MĂȘme si l'enfant sociopathe aura effectivement la plupart du temps une enfance difficile, car c'est un enfant Ă  problĂšme, qui peut aller trĂšs loin dans le comportement criminel, sexualisĂ©, provocant, etc". Finalement, la direction qu'ils prennent est inĂ©vitable et on ne peut pas les faire dĂ©vier", affirme l'auteur de "Élever un sociopathe". Alors, comment pouvez-vous agir si votre enfant prĂ©sente les caractĂ©ristiques de la sociopathie ? "La seule chose que vous, en tant que parent, pouvez dĂ©cider, est quel genre de sociopathe vous allez avoir". Car selon le psychothĂ©rapeute, si vous Ă©voluez dans un milieu violent, vous avez plus de risques d'avoir un sociopathe agressif, criminel et meurtrier. Si vous Ă©voluez dans un foyer harmonieux, vous aurez le plus probablement un "sociopathe Ă  col blanc", personnalitĂ© Ă©crasante qui s'en prendra aux autres, flirtant aussi avec la criminalitĂ©, mais de maniĂšre moins aussiFuyez !Si vous connaissez ce genre de personne ou que vous en reconnaissez une, un seul conseil, "fuyez !", alerte Cyril Malka. Car un sociopathe restera un sociopathe. "Pour la bonne raison que ces personnes ne voient pas de problĂšme Ă  leur façon d'agir. La thĂ©rapie, c'est pour les faibles d'aprĂšs eux". Pire, les sociopathes ayant suivi des thĂ©rapies "ne deviennent que plus dangereux", car ils s'en serviront pour apprendre des astuces et ainsi mieux manipuler ceux qui les entourent. D'autre part, les sociopathes se savent diffĂ©rents mais sont convaincus d'ĂȘtre supĂ©rieurs aux autres n'Ă©tant pas en proie Ă  leurs Ă©motion, ils sont persuadĂ©s d'ĂȘtre maĂźtre de leur vie. "Lorsqu'on les diagnostique comme tel, ils pensent que l'on tente de les amoindrir", conclut le psychothĂ©rapeute. LĂ©a BonsSur lemĂȘme thĂšmeToutTF1 InfoLes + lusDerniĂšre minuteTendanceVoir plus d'actualitĂ©s Voir plus d'actualitĂ©s Voir plus d'actualitĂ©s Fande la saga Harry Potter, tu t’es toujours demandĂ© quelle maison tu intĂ©grerais si tu pouvais rentrer Ă  l’école de sorcellerie Poudlard. Pour le savoir, fais le test. Gryffondor, Serpentard, Serdaigle, Poufsouffle; tous les fans de la saga ont leur maison prĂ©fĂ©rĂ©e. fill="1e1e1c"/>Comm C10aider7une 1e/mov emprise d'une manipulatrice ou d'un manipulate-1.?">Comm C10aider7une 1e/mov emprise m C1ale ou vi92"me d'un manipulate-1.? 4556">Ple="é le !- -708-01-2309rue" - Misrue"jss="ap !- ©Pexels Cñ€ℱZ M7une an>sEntrequi Z M7systĂ©pan an>m C10posĂ©e enorSefĂ©6 1ce et enoatelier. Lorsan>, psycho-suan>, Ă©poEntrnt="_, -tut="_, financi&egt="_;6 et an> Parfois, malas="ap>m C1, 455prise d="ap-Scit1ce d'ĂȘtr1e/mov l'emprise d'un fb> .h3> Cñ€ℱZ M7lectiemiererĂ©sultat &agt="_; dĂ©cet1cher. Tant an>56"ose ne va7pas, nclass=ra7pas dĂ©cider7d> Pss="parvenir &agt="_; Ă©veiller1 wiap-Scit1ce &agt="_; il vaut mieux poser7d>s an>sEntrs et f is-cction" s'empathie. Voiciequelan>s exemp3es" fp ction> .5c> Que m dira//btuasi j4 0ivaisrles"2c&egt="_;n>s an> tuamñ€ℱZxplian>s ? » fp 5 ux-widspaSpac1ng 97cAdCSect1e1"-rertang 5 97cAdCSect1e1"-narrow4 . ction> Es6 c- tuaas envi-colov 4-1.? » fp ction> D1equoi a/btuab so1e1? » fp ction> Que dira//btua&agt="_; ta m illeure7amieasi 0ivait1 wimĂȘm>56"ose ? » fp ction> s exemp3es, maisrils .3t1 eimĂ©6iebarDrramener &agt="_; d>s 6"ose8 essMenu .84"b so1es Ciequi Z M7essMenu 5, cñ€ℱZ M7desmt1etenir tant an>bl>5l0 6 affe92"f et dù₏ℹéveiller1 ñ€ℱZ prit critpan>s an>sEntrs neutr>s ani nñ€ℱinduisMen et nñ€ℱadebndant aucune rĂ©pp-Si"particuli&egt="_;6 . fp ction> Psouie-1s Ă©ctpa>lass="aider7une vi92"me &agt="_; sq0dĂ©f is-colol'emprise fb> .h3> E6 effet, il y a psouie-1s Ă©ctpa>lass="aider7quelanñ€ℱunequi Z M7vi92"me dñ€ℱZmprise. 455prise d="ap-Scit1ce Z M7laetiemi&egt="_;6 et la psou7impo17ante. Maisrcela ne veut7pas dis-can>56ñ€ℱZ M7gagnĂ©. fp ction> So17ir7dñ€ℱunlorelaEntredñ€ℱZmprise Z et demtnd="beaucoup dù₏ℹénergi . fb> Ciednt crut="_m C10 ba vi92"mes, C1. 4a> 1s ani tomb C10daes> 1s toxian>s et mals=in>s et n>56"ange> ou >56aract&egt="_;6 fp ction> Une foiug wiprise d="ap-Scit1ce acquisM, lq rĂŽle7svg ñ€ℱeenss=age Z M7dñ€ℱĂȘtr1e/motenant et np-Sidif. 4ied Il Z M7aloru7impo17antarDrrappeler lque "-Side&agt="_; un manipulate-1, psou7on essaye d="apmpre13s1, psou7on se fait enns17iller0daes .p ction> Il Z M7essMenu 57svgsav3ifrque le manipulate-1, af1e1desmt1etenir Ztlass="Ă©viter7d> . Il tout f is-ccss="aa7re13s17folle ou css="ani fass="ar3ifeequñ€ℱ ñ€ℱZ 1, E17reg wiprise d="ap-Scit1ce et lq momenu o&ugt="_; la7dĂ©cisntredi"partir et se 10-Ă©6 rcolol'emprise sñ€ℱimpose, il peut7Si"patext enr les beaucoup deep>mps fb> . Votr1e/mot0 6 exta7aloru7="noordial. fp ction> Une foiugque la7dĂ©cisntredi"rpmpre qut=" , cñ€ℱZ M7un autr>7prodessus ani sñ€ℱaoorce. Chaan>56as e M7diffĂ©6 11,m C1, ©Pexels .p ction> Apr&egt="_;uetout cela,chil13sarlesp>mps svg wirerSestrucEntr. Se fass="aider7par unetsyctiofessntrnt= psychiatr>, psycho-sn>, psychothĂ©6apeute, 3tc. b0 6 ou cerverse narcisspan> et ce typ-colorelaEntrs toxian>s. D1ecidebafaçon, nclretioduira7pas 3e"2chĂ©ma7duqut= e M7famili&egt="_;6 . fp ction> Impo17antaĂ©gal>m C1colo rerSestruss="aiequi a Ă©cĂ©"dĂ©trust fb> e M"me d>7d> Les"mots &agt="_; Ă©viter7 fb> .h3> Il y a quelan>s mots ZtlahrSies &agt="_; Ă©viter7si 0Lu La7r&egt="_;gl>56ñ€ℱZ M7dù₏ℹévi7er lquegt=ild mots ! E6 tout cas, 7antaan>bl>s f its. Dñ€ℱaueant psou7si 0Lu >> Lis-caussp" Z M1037-link-te2017/11/21/nmovewomm /btooveun-peu-manipulate-1It a-ahrSie-qui-minimiset a-vraie-manipulatblantoxian>-VMOD6WUTCZDNTA4OWO2GFMCWNQ/rSection" "NLu fil fb> .p ction> Le maĂźtr1-mot7si 0Lu5daes5saov tage d> >> ActualitĂ© svgJulie Arcoulin fil ñ€“ .9 4ez-mois="ap-Sidebar fil fp7 . . !- cxMenuparse_end -7 . flexnk" ap>ms c-17er smflexnrow smflexnwrap sm viewBox=" 12Opac1tyOnHlinr"./" target==" ller12-1. wipage d>ms c-17er"7 . saceholderBgux- taraspect-ralib150 / 100;max-width100%4 targeprint-bgImageurl sizer/Zh6xXUo1CaaoNzpNFc5wol0C1Q4=/768x8 5/ al465x240475x230/cloudf>"NLu fp mb 3 ux-c-4eT3s-6lorS€7force dñ€ℱZ17e13s1 d>> 1s dis-c "Mais, est touss 6"ose8 isc Julie Arcoulin, spécibarste enodévelopp>m 1l et relatblan 5, m">e-1 dfocusaun l fait les o1et css="nmov. fp7 . 22..52 c-17er"7 -l="noope7iveupp>rcSie89 0 640 512">ms c-17er"7 . saceholderBgux- taraspect-ralib150 / 100;max-width100%4 targeprint-bgImageurl sizer/z0KPasL6yOUsG-pfawLUFx40_9M=/768x8 5/ al465x29 05475x24-2./cloudf>Comm C103es"manipulate-1s tiarMe-i s ? fp mb 3 ux-c-4eT3s-6lorCidebasemt1e_, l556">m 1l et relatblan 5odétricot1el>s mécanism>s anñ€ℱutilisMen 3es"manipulate-1s css="mieux titext le-1 et fass="tomb r0daesms c-17er"7 -l="noope7iveupp>rcSie89 0 640 512"> 1s-an>sEntrs-anse-poser-MVMYAZQ57FGCZIZLKPEQBOLM3I/ viewBox=" 12Opac1tyOnHlinr"./" target==" ller12-1. wipage d>sEntrs à 7Si" ap>ms c-17er"7 . saceholderBgux- taraspect-ralib150 / 100;max-width100%4 targeprint-bgImageurl sizer/pqk9-vV6CV-HhJZc8Vsp8UCJM4A=/768x8 5/ al2495x16692505x1659/cloudf>"Suiveje0daes?" sEntrs à 7Si"poser. fp mb 3 ux-c-4eT3s-6lorQufocusaes6 c- ? Etrcomm C10sav3ifrsi7on est daes ? Etrcomm C10sfocusaen so17ir7? Julie Arcoulin, spécibarste enodévelopp>m 1l et relatblan 5, répond à 7toutquevos an>sEntrs. fp7 . 22..52 c-17er"7 -l="noope7iveupp>rcSie89 0 640 512">>laiÚges d>ms c-17er"7 . saceholderBgux- taraspect-ralib150 / 100;max-width100%4 targeprint-bgImageurl sizer/iAGt7vat72WAHeY3RnmqBZu7-tI=/768x8 5/ al465x240475x230/cloudf>>laiÚges d>Comm C10déjou1">laiÚges d>lclés css="repérer7 wimanipulatbla et ses aiÚges ! 4556">m 1l et relatblan 5. fp7 . 22..52 c-17er"7 -l="noope7iveupp>rcSie89 0 640 512">ms c-17er"7 . saceholderBgux- taraspect-ralib150 / 100;max-width100%4 targeprint-bgImageurl sizer/ItHv5p75UEE41XjxYwaIVvw8vl8=/768x8 5/ al465x240475x230/cloudf>455dépbndan- affe92"in ou an=il lñ€ℱ mal fp mb 3 ux-c-4eT3s-6lorCidebasemt1e_, Julie Arcoulin aborde qui mt1etient d>s 1s Menumbl-ccss="aes"mau0aisesorais3-1, il sñ€ℱagit et an>.94s soen 3es"p>lass="en so17ir. fp7 . 22..52 c-17er"7 -l="noope7iveupp>rcSie89 0 640 512">4a>lasou7rSesultés depuis 24h1 . 22..52 5 mb 3 mt-1 5-md 5"> ller12Drapucherlasou7tÎt css="repre13s1 c-17er"7 -l="noope7iveupp>rcSie89 0 640 512">mps-numbrSide=-f ireargmss=-dis-eje-ta"mekou-snumider1-ee-rSup 5-OEGZU7OTEREDRO44XUYNXIUMCI/ viewBox=" 12Opac1tyOnHlinr x=" target==" ller12-1. wipage d>mps sfocusaembrSide=, fass=" focusa mss=, dis-c"Jeepfocusa "me" ou se m der1eenorSup 5 ? . 22..52 5 mb 3 mt-1 5-md 5"> u boutarDrapmb0 6 deep>mps s'embrSide=, fass=" ' mss=, dis-c"Jeep' "me" ou se m der1eenorSup 5 ?ms c-17er"7 -l="noope7iveupp>rcSie89 0 640 512">-doit-mv3ifeun-peniveass=-unl-femme-Z5WRWE4SARBRZI3WVZTBX5LB44/ viewBox=" 12Opac1tyOnHlinr x=" target==" ller12-1. wipage d>l8 an= an>3 . 22..52 5 mb 3 mt-1 5-md 5">4a>l8 an= an>ms c-17er"7 -l="noope7iveupp>rcSie89 0 640 512">mps-comm C1-cansexplian>-Q46PJ26CIJD4ZIQW7IPCIJOL6Y/ viewBox=" 12Opac1tyOnHlinr x=" target==" ller12-1. wipage d>mpsrcomm C10ça sfocusaexplian> ? . 22..52 5 mb 3 mt-1 5-md 5">PMenur trop et réfléchif tout lesp>mpsrcomm C10ça s'explian> ?ms c-17er"7 -l="noope7iveupp>rcSie89 0 640 512">s-comm C1-rerSenaitr> c-ItparenuIttoxian>s-57NBW7C2KBCE3ORD5DDT7MRQCM/ viewBox=" 12Opac1tyOnHlinr x=" target==" ller12-1. wipage d>s rcomm C10rerSenaÃts="aiseparenuI toxian>s ? . 22..52 5 mb 3 mt-1 5-md 5">ParenuI pervers narcisspan>s rcomm C10rerSenaÃts="aiseparenuI toxian>s ?ms c-17er"7 -l="noope7iveupp>rcSie89 0 640 512">4a>ltext-ers ass=quoi il Z M7v"vem C15dérSeseillé d>/582082/voici-l rtist>-94-psou-shazame-dnutoovel1s-p>mps?utm_campaign=maillageipm&utm_medium=website&utm_sss=ce=. no7 6errnr". viewBox=" 12Opac1tyOnHlinr"./" target==" ller12-1. wipage d>rles sou shazamé d> ap>ms c-17er"7 . saceholderBgux- taraspect-ralib150 / 100;max-width100%4 targeprint-bgImageurl sizer/JMfEWVRgx3_UzPrXZ4yZGaYdfzw=/768x8 5/nmtrt/ .7-="Voici lñ€ℱartist>rles sou shazamé d>mps2 width=" 10" heigh-="3lorSsrc3-2-1.image/png;base64,iVBORw0KGgoAAAANSUhEUgAAAAMAAAACCAIAAAASFvFNAAAABmJLR0QA8wDzAPNl4f/dAAAACXBIWXMAAAsTAAALEwEAmpwYAAAAFklEQVQI12P8/PkzAwMDAwMDEwMMAAAzfgLdhtgOogAAAABJRU5ErkJggg== sizer/Cb554j2oC0b88SlFDIq4cOf8-Jc=/ 10x3lo/nmtrt/ 10w, sizer/JMfEWVRgx3_UzPrXZ4yZGaYdfzw=/768x8 5/nmtrt/ 768w, sizer/kXOT6 vVBGRp4_cj1N8BVG_0j_c=/1200x8-linmtrt/ lñ€ℱartist>rles sou shazamé d>mps fp7 . / rticleh fill= Z M1037food/582052/rg-rZcideb-dnula-semt1e_-unl-aizza5-8Sie-au-fromage-dnuherve9sirop-dnulpath-pa-noisedebs?utm_campaign=maillageipm&utm_medium=website&utm_sss=ce=. no7 6errnr". viewBox=" 12Opac1tyOnHlinr"./" target==" ller12-1. wipage d>Lwireridebad>/582064/ no7 6errnr". viewBox=" 12Opac1tyOnHlinr"./" target==" ller12-1. wipage d>ms c-17er"7 . saceholderBgux- taraspect-ralib150 / 100;max-width100%4 targeprint-bgImageurl sizer/otD-kXjGbscWF31yTtDyRGiZwNs=/768x8 5/nmtrt/ .7-="Emma à 7Venive Qui Z M7/mn nssvcau compagnon ?2 width=" 10" heigh-="3lorSsrc3-2-1.image/png;base64,iVBORw0KGgoAAAANSUhEUgAAAAMAAAACCAIAAAASFvFNAAAABmJLR0QA8wDzAPNl4f/dAAAACXBIWXMAAAsTAAALEwEAmpwYAAAAFklEQVQI12P8/PkzAwMDAwMDEwMMAAAzfgLdhtgOogAAAABJRU5ErkJggg== sizer/m7hd7FASLDRn8gqTgtAIZHihgX8=/ 10x3lo/nmtrt/ 10w, sizer/otD-kXjGbscWF31yTtDyRGiZwNs=/768x8 5/nmtrt/ 768w, sizer/v3je2-0WFuEJ_r-z6x_KOIGtsSw=/1200x8-linmtrt/ à 7Venive Qui Z M7/mn nssvcau compagnon ? 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Il nlonurt &agr ve; r0 6 dñ€ℱZ17rer en coefrontaEntr79vecs manipulate-1s nlonurvirwi&agr ve; r0 6 taen an> -> champad>s an>sEntrs et fass=a resvc d'empathie. Voici quelan>s exempl>s r-,"_id""A6ACPXDN2RDYTLNFAXORJCG2XQ-3-},{"cypt""cext","cSecent"" \n 6 Que m dirwis-tu si jn vivais ve;n>s an> tu mñ€ℱZxplian>s ? » -,"_id""A6ACPXDN2RDYTLNFAXORJCG2XQ-4-},{"cypt""ad","cSecent""rertaeg03-},{"cypt""cext","cSecent"" tu d>7v"vs="? » -,"_id""A6ACPXDN2RDYTLNFAXORJCG2XQ-5-},{"cypt""cext","cSecent"" chose ? » -,"_id""A6ACPXDN2RDYTLNFAXORJCG2XQ-7-},{"cypt""cext","cSecent"" s exempl>s, mais ils oen 3e m&eacut=;riebad>s choses essenuncll4s ssinsad> ri qun vitmps,s ani sleuriroen tĂŽ5 ou tard. -,"_id""A6ACPXDN2RDYTLNFAXORJCG2XQ-8-},{"cypt""cext","cSecent"" Ci7qui Z M7essenuncl, cñ€ℱZst"deemt1eteniritaen an> possibl> -> l0 6 affecEnf et dñ€ℱ&eacut=;veiller 6 posaen d>s an>sEntrs ne">r4s qui nñ€ℱinduisenu et nñ€ℱadebndaen aucunlor&eacut=;ptrse particuli&egr ve;re. -,"_id""A6ACPXDN2RDYTLNFAXORJCG2XQ-9-},{"cypt""cext","cSecent"" &eacut=;tap>s ass= aider"unlovicEnme &agr ve; se5d&eacut=;fass=arDrl'emprise \n E6 effet, il y . &eacut=;tap>s ass= aider"quelanñ€ℱun qui Z M7v"cEnme dñ€ℱ prise dDrapescien- Zst"la remi&egr ve;re et l . cela nlove">ipas dss=aan> cñ€ℱZst"gagn&eacut=;. -,"_id""A6ACPXDN2RDYTLNFAXORJCG2XQ-10-},{"cypt""cext","cSecent"" 6So7tir"dñ€ℱunDrrelaEntr7dñ€ℱZmprise Zst"complexe et demandeebe urSup dñ€ℱ&eacut=;nergie. 6Ci7doC1 manan>en cruellem C10ae17v"cEnmes, 1s qui tomb oen tr&egr ve;s 2ouv C10ae profil du sauv ur. Cñ€ℱZst-&agr ve;-dss=aanñ€ℱilsr4 de ses d&eacut=;mtrs et ressenunroen unDrcurtt1e_ culpabilit&eacut=;i&agr ve; 4e; d>€ℱZoit dfocusa ute-1 fp7 aa2cent" CĂąFNan>m C10posé"_id5yMOer- vit, psychologpan>,.},"Me2XQ-780"wellig filln"curryintrsM7impo17aen cñ€ℱZst" 3 ccgpescien- Zst"81-9 C10aeGtntrsM7impo17aen cñ€ℱZst" le;5 ou tard. -,"_id""A6Abilln"curryintrsM7impo17aen cgtscs ma"eN;re. b ssiQ","cSeE ve; ce quñ€ℱelle .envie d>7v"vr ' ">rshYojetDN2an> 6 posaen d>s an>sEntrs ne">r4s qui nñ€ℱinduisenu et nñ€ℱadebndaen aucunlor&eacm& fp7 -4 Z M103 556"a LrMen vouss coeseils b0 640 512, d>s et design, d>s astuaisebe uté,7v"aig p" ve; ce quñ€ℱelle .envie d>7v"vr ' "> veVslor&eac56"7sauv r ' ">r4 de ses d&eacut=;mtrs etslor&eac56"7sauv cvtowlñ€ℱinduisls b0 640 512, d>s et design, d>s astuaisebe uté,s peopl>s et royals, etc.","path"" 74 Z M103-,"parenu_id"" "}},"canonicalUrl"" 74 Z M1037-link-te2019/01/08/comm 1-/ quñ€ℱelle im1, 6 la7v"vs="comm rre4€ℱell9 &agr veiLE veq-teC> veq-teC> veq-teC> veq-teC> veq-teC> i m&eacut=XH9icd>s peopl>s et r"npl>suelan>s exempl>s, mais ils oen 3e m&eacut=;riebad>s vouss exempl>s, mais ils oen 3e &Oegr ve;re. -,"_id""late-1sÃE> se OnHsro..4cyO-152 2D oxfCC_W2 et r&eacut=eploym et r&eacut=eploym et r&eacut=ep]t royals,7 6sRinduis d&eac-4-}Whv 6 las exempl>s, mais ils oen 3e m&eacut=;riebad>s vous l0 a"_id""late-1sÃE> se OnHsro..4cy d& vousm C10posée en coeféren- et en atelier. Lorsan> -ñ€ℱune 556nos, psychologpan>,.},"Menadcrumb.{"dis3s-6Last4false," 74 Z M1037""L4 Z M103-},{" 74 Z M1037-link-te""B0 640 512"}]},"ampR sss=cesR3e m&ea veiLE &laB0 64paEntr7dñ€ℱZmprisÃT4paEntr7dñ€ℱZmprisÃT4paEnMK_"cSecent"" s exeen &agr ve; C10ani appo17er"un /mot0 6 en &a=8h ve; cejuaccut=; 32-3] ccgpRJCG2XQ-0-},{"cypt""wellig C1NewsledebrPromo-},{"cypt""cext","cSecent"" Parfois,r 6 Z>Tcz1-2",u5dérS et 7 7u797 = nofMMAAAzfgLdhtgOogAAAABJRU5ErkJggg== se d'ĂȘ512 2ous de Julrie1-/cypt"3-3smtsoul9icdaen -cPit0JRU5E2y"{" Parfois,r s peopl>ox=ct& " Parfois,r ma"7tir"d> ridebasituatntr. Il nlonurt &agr ve; r0 6 -> c6Z Qsise B2Keacutuv&an>s exeen &agr ve;0svg./" tahidden= &agr ve;0svg./" tahidden= 1diNewo4 0LeneekJggg==8técurren05-464ecd>s peopl> C1Nypt" / 9;512 2nk-tllig C1News Zst"comp-sledebQegr. v \w""wellig C1NeA 0svg./L> m petit, il v \ 9sill=r fa5j 0svgt"c.},"rootSecEntr.{"_id"" 74 Z M103-32-32s144TleWoesP8nt"Xy d&vicy-3-32 0 512 filln"currenuColBosvgtinl1e_-fa fa-rss fa-w-14 fa-fw .oro-6="img" viewBox="0 0 448 filln"currenuColor".d=" 64u041-64u041 64u041S0 0 64u041-64u041 64u04 64u04 . -,"_id""A6ACPXDN2RDYTLNFAXORJCG2XQ-8-}Z M103xa-f\S=8técurreinl1e_-fa fa-rss fa-w-14 fa-fw .oro-6=sinkGtkGttr7dñ€ℱZmprisÃT4paEntr7dñ€ℱZmprisÃT4paEnMK_"cSecent"" &l exempl>s, mcy-3-32 0 512 5128Yrr,=-l7/ysté,Tllig C1Np et r&eacut=ll=' ctualité 3iée 6&agr 4 N° d464ecd>s peopl> C1Nypt" 32-3]Š8512"}]}u56noZtis4z'-}Z M103xa-f\S=8técurreinl1e_-fa fa=8técurreinl1e_-MAh4s,r ue et l .p," JDFA1Bpt-13Planñ€F7&sLlitMUsovegory""other-,"subcaen coLt," exeerc;51" " -a vicEnme nñ€ℱZst"pasrapes0-rX 32-3ipu6path fi" .o 32-3ipu6path fi"s astuaisD et design, d>s astuaisD et d,ll+t""ceegr vi5 \w""wellz-nssi" 67 Ăąpeopl>Ruli1" fa=8técu-dVle="shedt""rere-4 dRtR>s chow""welliADM12RDYTLNFAXORJCG""-a nofMMAAAerF2n> -> chamlwivicEnme 6 les rojetaen "s7> cñ€ℱZst"gagn&eacut=;. -,"_id""A6ACPXDN2RDYTLNFAXORJCG2XQ-10-},{"cypt""cext","cSecent"" 6So7tir"dñ€ℱunDrrelaEntr7dñ€ℱ 6ix=" ils oen 3e m&eacut=; d'.7-s5dérNeA C2 27ian> 21uonsie-té,.Xo{\ws astuaisD7-}itnov-e v8eiSEi5 \n gr tuwellig C1NeA 0svg./L> mrtrusZ MwbfabliÃ'> -> c/" tahirmarkcl4rl 9sill= fi-8-}Z M103xa-f\S=8técurreinlill= d7 d>s peopl9u4-1AXORJCG2XQ-2-},{"cypt""cext","cSeceniteur fillhC2 fi-8-}. 0svg./" viePmrele-1 ?","suuinlill=nesigcW-.,"suu C1News ZstnK"P"f-hao5xeerc;51" " -> c6Z Qsise B2Keacutuv&an>s exeea5qg C1oSece&a=84It l .p,"l-6="m .325vicEnme nñ€0svg./" " Ci7qui Z -,"_id""A6ACPXDN2A C2 & ,{ts=aax="0 2TdP8a4ssEntr7q y,"_website""-aarMeuDérNeA 6ix=" ils oen 3e m&eacut=; dfocaqun7cnvu e8aosews 41gr tuwellig C1NeA 0svg./L> remier7r&eacut=;sul1at &agr ve; d&eacut=;clen-her. 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EtsBo n'-s, ni'ga longuroTMfni'ga largex',0BYso1t,J&CtÃÂȘie du c7",OogL4le3WxgRXZEbutoB8cIG-,vMtciBObl-categoZEPBothe0as2fe0categoZEPBLegacy1;/lmh3 d2a,,s =e,8d5199 d2a,JGDn PiPl0 Pi4lFPX2h45Ds27 PiPBGgGJNGo2-07-2015gLs/,2h45DQk"8k"uosellVh-"-'m5ES_d2b"p0-10-27T143600GNMd1E©eMLi1u5"o7-10F20p0Ds2 Pi4lFP15h36Ds27 PiPBGgGJNGo7-10F20p0gLs/,5h36D6l4.RsE/,Ăą"2cBfAL4lmhXZEPBG5-07-22T10 Pi4lFPX2h45Ds27 PiPBGgGJNGo2-07-2015gLs/,2h45DQAL4lmhXZEPBGgGJClmhXZEPBGgyrr6QeGcHWXNwGNMd1E©eMLi1u5"oio3q c9Ds27 Pi4lFPX2assIfNotGjZgMKNUgLFVjVCe9AHUgLs/,Ăą"2cBfAL4lmhXZEPBGgGJClmhXZEPBGgyr se,-PBG-ooit-avoir-un-penis-EQar-une-femme-Z5WRWE4SARBRZI3WVZTBX5LB447ausuBjFH&CH5, \" daiE d-iSdHw5 hXZEPBGgGJB6u-=i,"vtPBGgyrr6"-'m5Ce9AHUgLs7l/S0u5"ob1cCahpD-AitC00wB0R1"e" Ăą",TH al4te35-23BA, d-iAitsG8"u2a8 2E5xVgN,{ d-iAitsG8"u2a1S-rrcOb , d-ivtS-0 Ăą",h2a8r;ri./eWRnn,XcCtsuuuE-BUIRsvtS-0 Ăą",h2a8rehEWA9an..i1;/05;ri./e3ea9si6E4-,Q4im"R SNC7Ee.,9anL-eDF \ 2E5xVgN,{ 2E5xVgN,{ A}oq,7,s =e,s27E-aq, \", e©3f"-is =e27,s =e,s27,s =e,s27,s =e,s27,s =e,s27,s =e,s27,s =e,s27,s =e,s27,s =e,s27,s =e,s27,s =e,s27,s =e,s27,s =e,s27,s =e,s27,C00wB0R1"e" Ăą",TH al4te35-23BA, daiEseex03BcG.",O36C07, =e-tle8Sljz on7,sB'7e; xVgsiettiujGZ12S-rrcOb , d-i2HtsG{ A}oq,7,s =e,s27E-aq, \", e©3f"-i 4Z3b.
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